Les Fondements Du Mercantilisme

Friedman poursuit deux objectifs : * Donner des fondements microéconomiques à un concept macro fonction de consommation (peut-on appliquer le même raisonnement ?) * Remettre en cause les politiques de soutient de la demande. Elles reposent sur l’idée du multiplicateur de dépense qui fonctionne sur la base d’une PmC stable. Il suffit de démontrer que la PmC n’est pas stable pour mettre en cause les politiques de relance. A- Les fondements théoriques : On retrouve un consommateur qui répartit

capitalisme. On assiste dans tous les pays européens à l’émergence d’une classe bourgeoise et du libéralisme, sauf dans les pays de l’Europe de l’Est. Enfin, on assiste à la généralisation des échanges économiques. Le mercantilisme que l’on doit à Colbert, puis le libre échange sont des fondements des systèmes européens. On a d’ailleurs une seule unité monétaire qui est l’or. B) Les limites du système Elles se trouvent tout d’abord dans la suprématie alternée des grandes puissances, ce n’est donc pas

cela permet des revendications contre un pouvoir autoritaire. Ex : Inde : Le mode de régularisation peut être électoral mais cela ne passe pas par une régularisation politique car existe un réseau entre structure nationale et régionale. Ce sont des fondements plutôt claniques. Les clivages permettent au groupe d’organiser le pouvoir pendant un régime autoritaire. -le niveau d’instruction de la population avec le degré de généralisation de la scolarisation : favorise t il l’instauration d’un régime

secrétaire) qui avait construit une parabole signifiant que la société positiviste à laquelle pense Auguste Compte reposera sur les industriels, les entrepreneurs, les financiers, les ouvriers spécialisés, les agriculteurs et artisans. a- … Les fondements de la pensée positiviste chez Auguste Comte… Il commence son travail en rédigeant une vaste synthèse du savoir, beaucoup plus favorable à l’ordre, au changement dans l’histoire. Il parle de « catéchisme positiviste ». il applique un vocabulaire

… pc i f u e r ci e et e r tr qi ur t n a f oai m yn e a s o ie v i r e 170% (Anderson & van Wincoop, 2004). Au-delà de l'identification de l'"effet-frontière", ce puzzle (Obstfled & Rogoff, 2000) devrait d'ailleurs motiver la recherche sur les fondements du "bloc" que semblent parvenir à préserver les Etats-nations. Ensuite, une nation regroupe des individus qui ont des préférences homogènes. Cette hpt s pr e l cséhatd pooe uefnt ndu léclcv ou de faire yo èe e t e a cén e rpsr n oco ’ti o et e h

richesse d’une nation (pays) ont évolué dans le temps. Leur histoire s’appelle les théories de la valeur. Milieu du XVIIIe siècle Entre XVI e et XVII e il y avait le courant mercantiliste parmi lesquels Jean Bodin et Antoine Montchrestien. Le mercantilisme : c’est l’enrichissement d’un royaume par la conquête des métaux précieux parce qu’un royaume riche est puissant. Le côté commercial mercantiliste se manifeste dans l’intérêt de la puissance militaire du royaume. Au XVIII s naît l’école physiocrate

l’incrimination de la sodomie dans l’État du Texas. Les relations de ce type pouvaient faire l’objet de sanctions pénales au Texas, jusqu’à cette décision. Les personnes incriminées ont contesté la constitutionnalité de cette loi texane, sur le fondement du droit au respect de la vie privée (entre autres). Pour trancher dans le sens de la condamnation de cette loi texane, la Cour Suprême a fait référence à la jurisprudence de la CEDH. Par la suite, décisions portant sur la peine de mort concernant

technocratie/eurocrate (travailleur européens des institutions) qui ne prend pas en compte l’opinion de la population.  Cette construction européenne se fait-elle délibérément indépendamment des citoyens ? Chapitre 1 : Les fondements de la construction européenne Section 1 : Les fondements historiques empire Romain : ensemble de nation qui pratique le commerce (méditerranée). empire de Charlemagne (par sa représentation géographique) : articulé autour de la France/Allemagne motif religieux. L’Europe

de Luther en 1521. b. Jean Calvin et l'Eglise Réformée C'est un picard qui reprend les idées de Luther dans son ouvrage qui s'intitule « Institution de la Religion Chrétienne » publié en 1538 à Bâle. Dans cet ouvrage, Calvin reprend les fondements du luthéranisme qu'il radicalise notamment au sujet de la messe et de la grâce. Il développe la théorie de la prédestination. La Foi n'est qu'une manifestation de cette prédestination. Il rejette les images avec plus de force que Luther, cela conduit

frein, de poids mort tout juste bon, dans le meilleur des cas, à élaborer des lois protectionnistes dans les pays dominants et à combler le déficit de la « mosaï que»35 du système de protection sociale. Les forces du libre échangisme et du mercantilisme à la base de la mondialisation ont décrédibilisé l'Etat. Seul compte le jeu du marché qui sait parfaitement assumer les risques financiers et commerciaux. Le marché, synonyme de productivité, d'échanges et de concurrence, déteste prendre des risques