Les Fondements Du Mercantilisme

sa doctrine de la prédestination, a créé une inquiétude. La réussite professionnelle fut bientôt interprétée comme le signe visible de l'élection. Ainsi les puritains condamnèrent-ils le repos dans la possession, la jouissance de la richesse. Ces fondements religieux de l'« ascétisme séculier », qui se retrouvent aussi dans le piétisme, le méthodisme, le baptisme, aboutirent à un mode de vie favorisant l'esprit d'accumulation capitaliste en vue de l'investissement. Par la suite, une fois établi, le

poser la question du déclin relatif de la puissance américaine face à l’émergence de nouveaux compétiteurs économiques (Japon et Allemagne). Cela conduira à inscrire au centre de l’agenda de recherche de l’EPI la question de la puissance, de ses fondements économiques et de la façon dont les stratégies de puissance influent sur les relations économiques internationales. De fait, le premier choc pétrolier, la fin des Accords monétaires de Bretton Woods et le climat de détente entre l’URSS et les

libéralisme économique 21 21 Cadrage – « Libéralisme » QC_Liberalisme_Cadrage 2/27 © IEPEI 3.1.1 3.1.2 La critique marxiste du libéralisme économique La critique socialiste du libéralisme économique 21 22 3.2 La critique des fondements philosophiques du libéralisme 24 3.2.1 Un matérialisme libéral… 3.2.2 … qui ne serait jamais que le moindre des maux ? 24 25 3.3 Les enjeux actuels et les limites du libéralisme 25 Cadrage – « Libéralisme » QC_Liberalisme_Cadrage

L'enrichissement provoqué par les grandes découvertes et le développement économique achèvent la désagrégation du monde médiéval : le mercantilisme marque une nouvelle époque. Au début du XVIIe siècle, le Français Antoine de Montchrestien utilise pour la première fois le terme « économie politique » afin de désigner l'ensemble des règles d'enrichissement.        Mercantilisme et colbertisme Pour les mercantilistes, la détention de l'or et de l'argent est la source de toutes les autres richesses. Cette

d’échelle sont constants. Le libre-échange est une politique commerciale qui vise à réduire tous les obstacles à la circulation internationale des biens et services. Les principales théories du commerce international 1. Un courant précurseur : le mercantilisme D’après les mercantilistes, le commerce international engendre un gain national car il permet au pays de dégager un excédent de sa balance commerciale. Le CI est par nature conflictuel : ce que les uns gagnent, les autres le perdent. Dans l’ensemble

la fin ultime qui nous est dévolue, comme collectivité et comme individus. La crise économique qui atteint si cruellement le monde entier n'est que l'aspect extérieur et superficiel de la crise plus profonde qui secoue le monde et menace les fondements même de la civilisation chrétienne. À un moment donné, nous nous sommes engagés dans la voie, séduisante mais fausse, du matérialisme, parce qu'elle brisait l'armature spirituelle de notre société occidentale, et cette voie nous a conduits au désastre

processus d'accumulation capitaliste) ; cette structure qui connaît son âge d'or au XIIe-XIIIe, se maintient jusqu'au XVIIIe. Dès le XIVe le pouvoir royal français s'appuie sur les communautés de métiers et encourage leur expansion. C'est l'esprit du mercantilisme qui renforce les métiers traditionnels ("métiers jurés" ou jurandes) et crée les "manufactures royales" ; l'industrie rurale leur échappe, et de nombreuses villes qui restent libres (Lyon…). (le terme de corporation n'apparaît qu'au XVIIIe. La

moins que les faits temporels sont subordonnés aux faits spirituels. Chez lui, cela se borne à l’affirmation d’un principe : « les rois sont indépendants les uns des autres et de l’empereur mais reste subordonné au Pape. » 2. « Du royaume » : fondement et exercice du pouvoir Selon St Thomas d’Aquin, le pouvoir est un droit naturel qui s’impose pour la raison car une société ne fonctionne pas sans quelque un pour subordonner les intérêts particuliers au bien commun. C’est-à-dire à l’intérêt

pas toujours source d’opulence générale pour tous les pays impliqués dans cette division du travail. Synthèse : La division du travail et l’extension des marchés pour Smith 1. Une conception nouvelle de la richesse : Smith s’oppose au mercantilisme. Pour lui la véritable richesse n’est pas l’or mais les marchandises qui ont le double avantage de pouvoir être consommées et de servir de moyens d’échange. De plus, l’Etat n’a pas à intervenir dans le commerce : de ce fait, il ne faut pas limiter

marchandises et l'aliénation des individus, qui sont pour l'un le vecteur et pour l'autre la source de l'inégalité réelle inéluctablement produite par l'échange. Alors qu'Aristote montrait que c'est seulement la dégradation de l'échange en mercantilisme qui pouvait menacer la société, Marx montre que l'effet pervers de tout échange économique est de produire une illusion partagée par tous ceux qui prennent part au système social. Du fait de l'échange et de la nécessité d'évaluer les marchandises