Les Externalités Négatives

2001 relatif à la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes. Externalité : on dit qu’il y a externalité lorsque l’activité de consommation ou de production d’un agent a une influence sur le bien-être d’un autre sans que cette interaction ne fasse l’objet d’une transaction économique. On distingue les externalités négatives et les externalités positives. Flexibilité des prix : Variations des prix provoquées par un excès d'offre ou de demande. Marché :

L’Etat joue un rôle très important dans le bon fonctionnement de ce marché. Nous allons examiner ces techniques tout d’abord à partir des dispositifs mis en œuvre par l’Etat pour faire face à ces dysfonctionnements et ensuite en analysant les externalités qui peuvent se produire en tant que conséquences indirectes de ce mécanisme de marché. 1) A) LES DYSFONCTIONNEMENTS DANS LE MARCHE DE LA TELEPHONIE Un des dysfonctionnements dans ce type de marché, est la mauvaise transmission d’informations

économique accompagne-t-elle le développement ? II Pourtant …. A Elle peut être déséquilibrée (bidonvilles, + fortes inégalités) B Elle peut nuire au développement durable (épuisement des ressources naturelles, détérioration de l’environnement, externalités négatives) I La croissance économique est une condition nécessaire A : Le PIB par habitant est une des composantes de l’IDH (+ taux d’alphabétisation + espérance de vie) + corrélation statistique B Elle permet financer éducation et protection sociale

défaillances de marché c'est-à-dire : « les markets failures ». Les défaillances de marché correspondent aux situations de monopole, aux externalités. L’externalité peut être positive ou négative. Les externalités sont la résultante ou la conséquence de l’action d’un agent économique sur un autre agent économique ou autre groupe d’agents économique. Les externalités ont été mises en évidence par un libéral : A. Marshall. Il met en évidence le modèle néo-classique. Il existe une troisième défaillance

Réduire la déforestation * Prendre des mesures d’adaptation, notamment par l’aide au développement Les entreprises et le Changement Climatique Le « problème » des entreprises Les émissions de CO2 sont une externalité négative. Externalité négative : on parle d’externalité négative, lorsque l’action d’une entreprise ou d’un consommateur affecte d’autres entreprises ou consommateurs, sans être prise en compte par le marché. Qu’est ce qui peut faire changer le comportement des entreprises 

limites. Face à ces phénomènes, l'État voyait son intervention justifier : deux grands phénomènes été identifié. Le premier, les externalités. Celles ci se produisent lorsque un ou des agents économiques procure par leurs activités à la collectivité un avantage ou un désavantage, sans contre-partie monétaire. On distingue deux externalités. Soit l'externalité négative qui est, au sens strict, non voulu pour ses conséquences, exemple : Le tabagisme. Et l'externalité positive qui est au contraire,

CROISSANCE ET DEVELOPEMENT HUMAIN ET DURABLE Je sais que je maitrise le chapitre si : Je sais définir les notions du programme Notions de 1ère ES : Externalités : Effet que l’action d’un agent économique à sur d’autres agent économiques, sans que celui qui la commet n’en soit rémunéré si elle est positive, sans qu’il en paye le prix si elle est négative. Biens collectifs : Bien non rival (possibilité de consommation collective) et non excluable (impossible d’exclure un agent éco de la consommation)

préférence des consommateurs pour le bien produit par l’entreprise a diminué.12. L’analyse économique des externalités. A. Lorsqu’il n’y a aucune externalité négative du fait du comportement des producteurs, la fonction du coût marginal social (CmS) se déplace « en-dessous » de la fonction d’offre du bien.B. Une taxe calculée sur le prix du bien et intégrée dans ce prix constitue une externalité négative au sens de l’analyse économiqueC. Si un industriel pollue en produisant un bien, la fonction de coût

au marché. [...]. La première défaillance du marché concerne les « externalités » : l’autoroute dont le bruit empêche les riverains de dormir, les rejets industriels qui polluent l’atmosphère, les sols et les rivières, mais aussi les abeilles qui pollinisent les arbres fruitiers sont des exemples classiques d’effets, positifs ou négatifs, engendrés par l’activité d’autrui. Il existe des façons de réduire ces externalités négatives : en imposant des normes contraignantes ou taxer leurs auteurs, de

peut être induite par son accroissement, donc par la croissance. En clair, la croissance ne permet pas de mesurer les externalités négatives, à partir du moment où sa mesure reste fondée sur un indicateur de flux. C’est notamment ce que déplore D. Meda, dans Qu’est-ce que la richesse ? ; et plus précisément, le fait que le PIB ne puisse pas prendre en compte les externalités négatives, implique que la croissance ne peut pas être considérée comme un gage de bien-être et le PIB comme un indicateur de