Les Ex

qui s’ouvre sous les pieds de DJ obligent à classer cette pièce dans la catégorie des « pièces à machines » qui recourent à l’intervention du merveilleux. ➢ Esthétique baroque et non classique (cf. Corneille, L’illusion comique) ➢ Deus ex machina : procédé caractéristique des pièces de l’Antiquité, par lequel on faisait descendre sur scène au moyen d’une machine le dieu censé permettre et régler le dénouement de l’intrigue. ➢ Caractère spectaculaire des effets ménagés qui vise

la dimension théâtrale apporte du sens au texte. I) Ces deux scènes constituent le dénouement 1) L’intervention du surnaturel Don Juan ne peut être arrêté par les humains donc c’est dieux qui se doit de l’arrêter grâce au spectre et à la statue (Deus ex machina) On voit la scène de la punition alors que l’usage veut que dans la tragédie on ne le voit pas donc parodie de la tragédie. Femme voilée = toutes les femmes que Don Juan a séduit Représentation du temps = allégorie de la mort Spectre relayé

l’histoire débute immédiatement Incipit : les 1ères lignes d’une œuvre narrative Corroborer : comfirmer Personnification : figure de style qui attribue une caractéristique humaine à un objet Déictique : qui désigne une personne, etc ( adj démonsratif par ex) Pléonasme : répétition oiseuse (=inutile) de termes Eponyme : qualifie une œuvre dont le titre est le même que le nom de l’auteur (un personnage éponyme) Analepse : retour en arrière dans un récit Prolepse : anticipation dans un récit Hypocoristique :

 directement dans l'action, sans préambule (voir exemple in Bordas 1°, p. 503 : ​ Lorenzaccio​ )    L' intrigue ( ou 1'action) .  L'ensemble des événements qui se succèdent depuis 1"'exposition" jusqu'au "dénouement". Dans  une œuvre dramatique, l'intrigue est concentrée. Ex., intrigue de ​ Cinna​  (1640) de Corneille :  Emilie, fille adoptive de l'empereur Auguste, conspire contre celui­ci afin de venger son père.  Cinna, son amant, doit tuer Auguste. Mais Cinna est partagé entre son amour pour Emilie et son  estime pour Auguste

d'une grande ville maritime qui donnait à la mer sa plus belle fille... Cl de la puissance Emporté : connotation destin Voc appréciatif Départ magnifique : double sens Métaphore de l’enfantement/mise à l’eau et mère/fille… Machine tragique (deus ex machina) Départ tragique pour Pierre + Climat de liesse et d’enthousiasme du peuple Magnifique : Pierre ou La Lorraine ? Métaphore maternelle troublante : et si Mme R. donnait à la mer son meilleur fils ? ! Comme un énorme monstre courant sur l’eau

d'art manifeste une liberté qui va à l'encontre d'un mode de pensée comme celui des dévots. Par conséquent, Molière a satisfait la morale traditionnelle en châtiant Dom Juan. Le problème est traité matériellement par un coup de théâtre, un Deus ex machina dans la tradition antique. Le dénouement rétablit l’ordre social et moral en châtiant le coupable. Mais Dom Juan meurt comme il a vécu, c’est-à-dire dans l'éclat fantastique d'un moment fait de provocation, d’absence de renoncement et d’absence

situation. C’est de l’exempt (c’est-à-dire un soldat) que provient l’ultime coup de théâtre. Tartuffe est en effet accusé publiquement d’imposture et se voit condamné par la justice. L’on peut comparer l’intervention de l’exempt à celle d’un « deus ex machina » dans une tragédie, c’est-à-dire une force divine qui vient rétablir les éléments au dénouement. Cned – 7FR20CTPA0411 1/9 Question 2 On peut distinguer trois types de comédie à partir des trois extraits proposés par le corpus. On sait

quasi-psychanalitique. Il est le support d’images oniriques complexes qui ne demandent qu’à s’extérioriser. Dans Les Chaises, - il détermine une tension continue et croissante à savoir celle du vide démoralisant - il joue le rôle d’un Deus ex machina qui viendrait non pas susciter un renversement de situation, mais plutôt mettre un terme à une séquence qui menacerait de trop durer. Ainsi, dans l’œuvre, le temps est Mort (donc tragique), car après avoir ramené au seuil de la mémoire des

dominant/dominé. Les conflits d’idée/politique sont essentiellement au XXème siècle avec le théâtre de l’Absurde, engagé : ex Ionesco, Anouilh, Camus, Sartre, Giraudoux. Les conflits intérieurs sont présent de l’antiquité jusqu’à nos jours : Le conflit amoureux : Le Cid de Corneille La jalousie: Phèdre de Racine (tragédie) mais aussi dans la comédie où cette jalousie devient ridicule ex LMF  Quelque soit le type de conflit, il est toujours présent dans une pièce de théâtre : on dit que le conflit est

grande surprise : « Ah! traître! ». Or il suffira d’une phrase de Chrysalde, « C’est Monsieur de la Souche, on vous l’a déjà dit », pour qu’Horace comprenne le machiavélisme d’Arnolphe et sa propre erreur. Molière recourt à la technique du « deus ex machina », héritée de la comédie antique. Un personnage, souvent un dieu ou un envoyé des dieux, descendait d’une « machine » sur scène, et venait tout arranger en révélant la vérité : une naissance secrète, un enfant enlevé… Or ce procédé n’est guère