Les Enterrements La Peste

ma femme: je vous vois venir. MADAME JOURDAIN: Descendons-nous tous deux que de bonne bourgeoisie? MONSIEUR JOURDAIN: Voilà pas le coup de langue? MADAME JOURDAIN: Et votre père n'était-il pas marchand aussi bien que le mien? MONSIEUR JOURDAIN: Peste soit de la femme! Elle n'y a jamais manqué. Si votre père a été marchand, tant pis pour lui; mais pour le mien, ce sont des malavisés qui disent cela. Tout ce que j'ai à vous dire, moi, c'est que je veux avoir un gendre gentilhomme. MADAME JOURDAIN:

Vexin français (entre paris et Rouen), dans lequel on a gardé trace des registres paroissiaux du 18e siècle (ni brûlés, ni détruits par les autorités municipales). Ces registres étaient tenus par le prêtre du village (actes de baptêmes, mariage, enterrements). Formules standard utilisées dans tous les registres paroissiaux : ex baptêmes : date et lieu de naissance, nom et prénom de l’enfant baptisé, nom du père et mère, nom de parrain et marraine. L’obligation de baptême existe, on s’arrange pour faire

siecle noir pour le theatre. Il a néanmoins l'essor du miracle mais avec une production trop basse. Les raisons sont hsitoriques car ce siecle est un siecle noir, il enchaine plein de grand malheur, la guerre de cent ans, enormment de famine, la peste qui fait des ravages avec bcp de mort. C’est cela qui explique qu’il y a moins de théâtre puisque moins de ferveur. Cette grande innovation des miracles se dvp et est pratiquement le seul témoignage de théâtre au 14ème siècle, ce siècle de crise

défunt, on ne sait comment. Etait-ce un suicide comme il en arrive fréquemment dans ces histoires de stars, ou bien un meurtre ? Toujours est-il que la mort occupe une place indéniable dans Les Ensorcelés, puisque la première scène du film est un enterrement. Sans doute un moyen de signaler qu’Hollywood n’est pas le monde rose auquel on pourrait s’attendre, mais bien au-delà, quelque chose d’encore plus sombre et labyrinthique que la vie que nous pouvons vivre, nous pauvres mortels. Labyrinthique ?

une redevance en nature au clergé ou au seigneur), les trois autres quarts allant à l’entretien de l’église, des pauvres, des orphelins, et à l’évêque ; de revenus assurés par le droit d’étole (c’est-à-dire une rémunération pour les mariages, les enterrements…) ; enfin, il pouvait espérer des dons (cf. doc. 16). Dans des conditions normales, il avait de quoi vivre. Parfois, avec les progrès des défrichements et la montée de la population, une paroisse top grande se divisait en de nouvelles paroisses ;

Suzanne: (Sanglotant) : Oui, merci monsieur. Robert adorait travailler avec vous. Sylvie: Toutes mes condoléances ma chère, sachez que votre mari était un homme merveilleux… Suzanne (Relevant sa tête, d’un ton agressif) : Comment osez-vous venir à son enterrement alors que vous n’avez fait que gâcher notre vie de couple ! Sylvie: Mais Madame, ne vous méprenez pas ! Je voulais seulement être présente en ce jour de deuil. Suzanne: Comme vous dites, en ce jour de deuil ! Je pleure mon amour perdu et vous, vous

sacrifice par le feu d’un animal après immolation, qui fut pratiqué par les Grecs dans le cadre des rituels chtoniens, comme par les Hébreux. En 1894, Bernard Lazare avait utilisé le terme pour parler des juifs brûlés vifs pendant la peste noire, au Moyen Âge : «Quand la peste noire ou la faim sévissait, on offrait les Juifs en holocauste à la divinité irritée.» (‘ ’L’antisémitisme. Son histoire et ses causes’’ ). Cependant, pour la tradition juive, un holocauste est un sacrifice

MONTPESAT, LE COMTE DE VILLAC ; — PUIS L'ANGELY, PUIS LE CRIEUR PUBLIC ET LA FOULE. BRICHANTEAU, se levant, à Gassé qui entre Gassé! — Ils se serrent la main. Tu viens à Blois joindre le régiment? Le saluant. Nous te complimentons de ton enterrement. Examinant sa toilette. Ah ! GASSÉ C'est la mode. Orange, avec des faveurs bleues. Croisant les bras et retroussant ses moustaches, Savez-vous bien que Blois est à quarante lieues De Paris ? BRICHANTEAU C'est la Chine! GASSÉ

sacrifice par le feu d’un animal après immolation, qui fut pratiqué par les Grecs dans le cadre des rituels chtoniens, comme par les Hébreux. En 1894, Bernard Lazare avait utilisé le terme pour parler des juifs brûlés vifs pendant la peste noire, au Moyen Âge : «Quand la peste noire ou la faim sévissait, on offrait les Juifs en holocauste à la divinité irritée.» (‘’L’antisémitisme. Son histoire et ses causes’’). Cependant, pour la tradition juive, un holocauste est un sacrifice offert à Dieu pour lui être

sacrifice par le feu d’un animal après immolation, qui fut pratiqué par les Grecs dans le cadre des rituels chtoniens, comme par les Hébreux. En 1894, Bernard Lazare avait utilisé le terme pour parler des juifs brûlés vifs pendant la peste noire, au Moyen Âge : «Quand la peste noire ou la faim sévissait, on offrait les Juifs en holocauste à la divinité irritée.» (‘’L’antisémitisme. Son histoire et ses causes’’). Cependant, pour la tradition juive, un holocauste est un sacrifice offert à Dieu pour lui