Les Enfants du silence

|Attitudes et postures attendus | |13h55 |Accueil individuel , chaque enfant après être passé aux |On s’allonge comme on aime, on doit être calme, ne plus faire de | | |toilettes s’installe sur un tapis (ou une couverture) |bruit. | |14h05 |Tous les enfants sont arrivés et installés. Bien séparer|L’attitude idéale…. | |

désigne une femme parmi d’autres : « mère sacrée » : expression superlative >< « l’Afrique abhorrée ». Refus de la part des brigadiers d’accepter les adieux des enfants à leur mère : registre pathétique accentué par le polyptote : « on les chassa » et « la mère les vit chasser » avec une forme active du verbe qui souligne l’impuissance des enfants et de la mère devant la force et les représentants de l’ordre. c) Une personnification, voire animalisation de Saint-Lazare : l’hospice parisien devenu un

cannette pour les enfants) en brique pour les parents • Prévoir une glacière ➢ Disposition • les enfants sont sur le même banc que leur catéchiste • les parents sont derrière ❖ Accueil (organisation de la procession) : Mme BYRAM ➢ Procession d’entrée : • 1 enfant ……………….. (de Mme BONTE) apporte le livre « Evangélière » • 1 enfant ……………….. (de Mme PECCATUS) apporte le cierge • 1 enfant …………….. (de M

Sujet 3 : écriture d'invention 1. Le soir de ma cinquantième année, je suis descendu dans la cave pour aller chercher une autre bouteille de champagne. Ma femme, mes deux enfants et leurs conjoints, quelques amis aussi attendaient qu'on découpe le gâteau acheté chez le « meilleur pâtissier » comme d'habitude, que j'ouvre les cadeaux, somptueux à n'en pas douter. Mais qu'avaient-ils pu trouver de nouveau pour m'épater ? J'avais déjà tout ! Je suis resté là planté à me demander à quoi tout ça rimait

Titouan Parc--Bernard 2nd 1Rapport de lecture : 1. Présentation de l’auteur et de son époque : L’auteur du « Cri de la mouette » est Emmanuelle Laborit. Emmanuelle Laborit est née le 18 octobre 1971 à Paris. Née  sourde , elle est la petite-fille du  scientifiqueHenri Laborit  ( 1914 - 1995 ) et la fille du psychanalyste et psychiatre Jacques Laborit

au nom des femmes qui vivent le martyr en silence elle est celle qui parle porte-parole Premier livre fin avril 2010. est son premier. Le titre de l’œuvre est lourd, il est programmatique et explicite, ce n’est pas toujours le cas. Le titre nous informe directement sur le projet de l’auteur. Le titre est en capitales d’imprimerie, et, il importe une formule < AU NOM DES > qui explique qu’elle va parler au nom des femmes qui vivent le martyre en silence. Elle se présente en quelque sorte comme

Mondor. Situation observée: Entretien entre une infirmière du service et un patient. Mr R, est un patient âgé de 57ans hospitalisée en soins intensifs depuis 10 jours suite à une transplantation bi-greffe rénal. Il est divorcé depuis 3ans, a 4 enfants qu'il ne voit pas et vit seul à son domicile. L’hospitalisation de Mr R s’est très bien passée. Durant son hospitalisation, il s’est montré très discret, ne parlant pas de sa famille et ayant très peu de visites. Au vu des résultats encourageant

de Suna vivait la famille Kanda, famille composée par un couple et leur enfant, qu'ils avaient appelé Yû. Elle était parfaitement ordinaire et n'avait aucun problème particulier, que ce soit sur le plan social ou financier. Yû, quant à lui, grandissait tout à fait normalement, aimé de ses parents, comme tous les autres enfants du village dont la plupart étaient ses amis, avec lesquels il s'entendait très bien. Les autres enfants du village...N'y en avait-il pas d'autres hors du village. Par ailleurs

situation que je vais relater s’est déroulée à l’hôpital de jour pour adulte de Vesoul. II. Présentation de la patiente Me S. est née en 1967, elle habite Navenne. Elle est l’ainée d’une fratrie de trois filles. Me S. est divorcée et est mère de deux enfants (19 ans et 15 ans) qui habitent en Bretagne avec leur père. Me S. souffre de dépression depuis 20 ans. Une orientation vers l’hôpital de jour fut proposée à Me S. afin de lui permettre de consolider son état de mieux être et pour l’aider à se réinsérer

bourgeois, traverse toute la ville chaque semaine pour faire prendre à son enfant sa leçon de piano… L’extrait que nous devons expliquer se situe au début du roman. C’est un incipit « in media res » puisque au moment où l’histoire commence, l’enfant d’Anne est en train de prendre un cours de piano qui ne se passe pas très bien… I. Intensité dramatique de cet incipit/ Caractéristiques de cet incipit/spécificité… a) Tension enfant/prof - l'enfant refuse de répondre à la question du professeur sur le