Les Elements Structurel De La Puissance Américaine

industrialisés revoyant leur aide publique au développement à la baisse, les années 2000 voient les pays du Sud confrontés à de nouveaux bouleversements nés de la mondialisation. Devant les conséquences souvent dramatiques des plans drastiques d'ajustement structurel mis en place dans les années 80, les institutions financières internationales ont dû chercher une nouvelle approche socio-économique, en adoptant notamment une politique de lutte prioritaire contre la pauvreté. Les politiques du FMI et de la Banque

Marchés américains 1. Environnement économique, politique et social américain Plan : L’intérêt des investisseurs étrangers pour les États –Unis subsiste malgré la récession A. Environnement politique et social 1. Un peu d'histoire 2. Structure politique du pays 3. La population des États-Unis a. Une population jeune b. L'Américain et la religion c. Diversité ethnique 1. Les Hispaniques, première minorité des États-Unis 2. Les Afro-Américains 3. Les Asiatiques B. Environnement économique 1. La

nouveau concept II. Des enjeux différents entre pays du Nord et pays du Sud III. Quelques risques environnementaux IV. Comment préserver l’environnement ? 80 86 88 90 79 Chapitre 9 - Puissance et pouvoir I. Comment définir la puissance ? II. Les fondements de la puissance III. Cadres et manifestations de la puissance 93 97 100 93 Chapitre 10 - Métropolisation et urbanisation I. L’explosion urbaine II. Le phénomène de métropolisation III. Les politiques de réhabilitation urbaine IV. Les inégalités

sécurité, actions illégales, séquestration * Humain : rumeurs, grèves, fraudes, corruption * Politique : nouvelles règlementation, normalisation (huile de palme, * … Contexte porteur : Interne :  * du fait d’inadaptations structurelles et organisationnelles (structures de production et productions/dysfonctionnement organisationnels/processus décisionnels/spécificités locales * Du fait de cultures d’entreprise inappropriées (confidentialité/industrie versus services/formation

se réduit-il qu’à l’accord signé à l’issu de la conférence ? Nous verrons pour y répondre que ce bilan se compose en fait de trois éléments principaux : d’abord bien sûr le texte que l’on nomme « Accord de Copenhague », mais également la possible révélation d’un nouvel ordre international qu’on n’avait pas encore vraiment pu imaginer, puis enfin la nouvelle puissance d’une société civile qui a joué un rôle majeur dans la conférence. I/L’Accord de Copenhague Après 10 jours de négociation entre

affirmation et fin des régimes totalitaires Le 20° siècle est un siècle de guerres ayant dans sa première moitié été témoins des deux guerres mondiales (la première : 1914-18 et la seconde : 1939-45) et par la suite de fortes tensions entre les puissances américaines et soviétiques (appelé Guerre Froide qui a duré entre 1947 et 1989) qui engendreras plusieurs guerres et crises réparti dans le monde tels que les guerres de Corée (1950-53) ou Vietnam (1955-75), ou les crises de cuba (1962) ou Berlin (1949)

l’imprimerie, introduction du zéro et des chiffres arabes, emploi de la poudre et des armes à feu … - Une invention décisive ? La mesure du temps (passage des horloges hydrauliques de l’Antiquité aux horloges à balancier puis à ressort) serait un élément important de l’ascension des sociétés occidentales. Transformations de la société - Cette poussée technique induit une augmentation de la production et l’extension de l’agriculture, ainsi que, corrélat, une augmentation régulière de la population

plus grande désignation de coupable après-guerre fut le traité de Versailles, qui a blâmé le militarisme allemand et les dirigeants politiques qui, d’après Christopher Clark, ont seulement agit en suivant leur volonté de faire de l’Allemagne une puissance mondiale. La crise de 1914 fut donc, tour à tour, une cause du système d’alliances défaillant, du nationalisme, de l’impérialisme économique (comme le prône la théorie marxiste), du comportement belliqueux de l’Allemagne, du culte voué à l’offensive

plus de 300 %. Selon Jacques Brasseul, « le cours des titres augmente aussi plus que les profits des entreprises, qui eux-mêmes augmentent plus que la production, la productivité, et enfin plus que les salaires, bons derniers dans cette course. » Un élément spéculatif se développe, puis devient prépondérant à partir de 1928, date où le cabinet Charles Merrill (aujourd'hui Merrill Lynch) recommande de ne plus s'endetter davantage pour acheter des actions, et indique : « Sans que cela constitue une recommandation

Face à la crise économique, étroitement liée à la « mondialisation libérale » c’est-à-dire au libre-échange généralisé des marchandises et des capitaux, le protectionnisme est devenu un élément de réponse incontournable. Encore reste-t-il à préciser le contenu de ce protectionnisme. Le protectionnisme, en effet, n’est pas, en soi, une politique de gauche. Il a même pu être l’outil de gouvernements conservateurs, voire franchement réactionnaires dont l’objectif était de défendre leurs propres bourgeoisies