Les Effarés Commentaire

même homme brouille les repères habituels : s’il sommeille un juge dans l’assassin, n’y a-t-il pas quelque assassin tapi secrètement dans l’âme du juge ? Le grave magistrat, chargé de proposer un sort à cet étrange inculpé, se montre d’ailleurs « effaré ». La nouvelle de Jean Lorrain, « L’Un d’eux », explore quant à elle les ambivalences du désir. La rencontre avec un être masqué, au sortir d’un bal costumé, déclenche chez le narrateur un mélange de crainte et d’attirance. Ce sentiment trouble provient

«le dernier rempart de la convention élégante et beurrée» (page 274), Fagerolles et Bongrand. Mais ‘’L’enfant mort’’ est mal accueilli : «Et les jeunes blaguaient la grosse tête, un singe crevé d’avoir avalé une courge, évidemment ; et les vieux, effarés, reculaient.» tandis que Claude est considéré comme «un fou qui s’entêtait depuis quinze ans, un orgueilleux qui posait pour le génie, qui avait parlé de démolir le Salon, sans jamais y envoyer une toile possible !» (page 278). Il est donc d’abord

BARTLEBY THE SCRIVENER - COMMENTAIRE N°3 - P 63 à 75 Suite à l’accroissement des occupations de l’avoué celui-ci cherche un nouvel employé, ce qui entraine l’arrivé de l’énigmatique Bartleby. Il travaille bien et ne cause aucun problème, jusqu’au jour où il refuse de collationner son travail. L’avoué fera par la suite de nombreuses tentatives infructueuses pour faire faire autre chose à Bartleby que de la copie, mais celui-ci refusera obstinément. L’homme de loi, touché par Bartleby, n’arrive

il fallait écrire platement ! Javier Marías énumère ensuite quelques-unes de ces horreurs à cause desquelles l'esprit libre s'attire les foudres des ci-dessus foies séchés (je crois que je viens de prendre parti). À cette occasion j'ai découvert effaré qu'il existe des hendiadys et des aposiopèses – je ne savais pas ! – des catachrèses, et même des hypallages. Ô puissant bestiaire ! On ne m'avait pas prévenu. Je n'étais pas au courant. Des pléonasmes et des répétitions, oui, chacun connaît cela

et Favier premier vendeur à la soie. Robineau, aidé par Gaujean, décide de batailler contre le Paris-Bonheur de Mouret, la soie miracle. Lui aussi décide de créer sa faille (soie noire). Mais Mouret baisse le prix du Paris-Bonheur devant les yeux effarés de ses salariés. Puis Robineau baisse. Et ainsi de suite. Finalement, c'est Mouret qui gagne la partie mais Robineau a perdu beaucoup d'argent. Au printemps, Mouret achète l'hôtel Duvillard qui se trouve entre la boutique de Bourras et le « Bonheur

journal de Trévoux Pierre Retat, bibliographie critique des journaux. b) Bibliographie des livres consultés n’ayant pas servi à la réalisation de ce devoir5 Brunel, Pierre, Romantisme européens Madame de Stael, De la littérature 1) Le commentaire a) Présentation des sources  Le Journal de Trévoux est un journal littéraire et scientifique ayant paru de 1701 à 1767. Il a la particularité d’être un journal jésuite et a pour vocation la défense de la religion bien que paradoxalement il se

illustrant l’apogée de la réussite culturelle du siècle de Périclès. Elle a donné lieu depuis lors à d’innombrables réécritures (Sénèque, Corneille, Voltaire, Hölderlin, Gide, Cocteau, Bauchau, Pasolini et son célèbre film de 1967…) et à d’inépuisables commentaires philosophiques et littéraires (Voltaire, G. Steiner, R. Girard…) qui traduisent bien la puissance archétypale de ce mythe grec porté à la perfection sur la scène par Sophocle. 1) La tragédie grecque Ce sont les Grecs qui inventèrent la tragédie

de dire tout, de parler de ces choses qu'elle avait tenues jusque-là enfermées au fond de son coeur, et de ces gens dont le nom bouleversait son âme : - Oui, Henri de Sirmont. Je le sais bien. C'est mon frère. Et je levai les yeux vers elle, effaré de surprise. Et tout d'un coup le souvenir me revint. Cela avait fait, jadis, un gros scandale dans la noble Lorraine. Une jeune fille, belle et riche, Suzanne de Sirmont, avait été enlevée par un sous-officier de hussards du régiment que commandait

une longue bataille dans laquelle Nadar s’est notablement impliqué, l’enregistrement argentique obtient le droit de côtoyer le grand art. Vingt ans après l’annonce de l’invention de Daguerre, l’événement est d’importance et suscite de nombreux commentaires (cf. Hélène Bocard, Les Critiques des expositions de photographie à Paris sous le Second Empire, DEA, université Sorbonne-Paris IV, 1995). Cependant, on le constate, sa portée ne dépasse guère les cercles photographiques : Baudelaire qui, en ce

les relevés de façons à faire émerger le mieux possible les techniques narratives au service du sens Sourirait un enfant malade, il  fait un somme: Nature, berce­le chaudement: il  a froid. 1/Contrairement aux axes données par les nombreux commentaires  disponibles sur le net, j'ai choisi une autre approche, plus technique ● Nous verrons ainsi dans une première partie: comment l'auteur crée une  description lyrique et pathétique ● d'une nature ● d'un jeune homme couché ● d'un soldat mort Nou