Les Effarés Commentaire

d'ignorer ce que font sa main gauche et sa main droite, il reste à la merci du bon vouloir de Lucette. Tourné de trois-quarts gauche face au public, il indique dans des apartés ironiques ses véritables sentiments : «Pourvu qu'elle me lâche !». Commentaire ‘’Un fil à la patte’’ est le plus ébouriffant et le plus échevelé des vaudevilles de Feydeau, tout ce beau monde se croisant en sortant par une porte et en entrant par une autre, les jeux de l'amour, du hasard, de l'ambition dansant leur ronde

une précision à la description du contexte de l’histoire du grand-père et de Rosa, ce fameux 1er décembre 1955. La narration est à la troisième personne, mais le point de vue présenté est celui de Ben, le petit-fils : le texte nous donne ses commentaires sur la prostate qu’il (le G-P) avait attrapée on ne sait comment, ses pensées, ses réactions aux récits de son grand-père au fil de l’album ou à la fin du texte. Cette focalisation permet une identification aisée des jeunes lecteurs : on leur propose

Commentaire les Chatiments, VII, 5,1853 INTRODUCTION « As –tu oublié que ton libérateur C’est le livre ? » (Hugo) Presque à tous les siècles, importance et rôle de la littérature dans l’évolution des idées et des sensibilités des sociétés humaines. Beaucoup d’œuvres au service de la libération de l’homme dans concrètes politiques ou sociales. La peine de mort est un des combats principaux de Victor Hugo, le chef de file des romantiques à la fois lyrique et engagé. Il a déjà écrit le dernier

seraient en passe d’occuper Rouen. Maupassant décrit cette armée en débandade, ainsi que les petits groupes de francs-tireurs qui se poussent du col, font les fanfarons, et tentent de faire croire qu’à eux seuls ils vont continuer le combat…Le peuple est effaré, habitué qu’il est aux victoires et non aux défaites. Tous les commerces sont fermés et les bourgeois attendent avec anxiété l’arrivée des premières troupes ennemies. Les Allemands arrivent et les ordres claquent dans une langue « inconnue et gutturale

recommençait. Les Halles débordaient. Il essaya de sortir de ce flot qui l’atteignait dans sa fuite ; il tenta la rue de la Cossonnerie, la rue Berger, le square des Innocents, la rue de la Ferronnerie, la rue des Halles. Et il s’arrêta, découragé, effaré, ne pouvant se dégager de cette infernale ronde d’herbes qui finissaient par tourner autour de lui en le liant aux jambes de leurs minces verdures. Au loin, jusqu’à la rue de Rivoli, jusqu’à la place de l’Hôtel-de-Ville, les éternelles files de

que je vois tomber à terre. Une giclée de sang sort de son épaule. Je suis écœuré mais je me retiens de tout commentaire, de peur qu’on m’entende. Elle hurle de douleur. Il lui attrape son deuxième bras et la traine sur quelques mètres, jusqu’à un arbre. Il laisse tomber son couteau. Je me demande quel triste sort il lui réserve. Des broussailles, il sort une tronçonneuse. Je suis effaré. Des larmes coulent de mes yeux. C’est incontrôlable. J’ai quand même de la pitié pour cette femme, même si elle

Musset : de l’audace dramatique à la conciliation du romantisme et du classicisme Hamlet Shakespeare Laurence Olivier Comparaison avec Lorenzaccio de Musset → Lecture de l’article « Fortune de Musset » de Sylvain Ledda. → Commentaire : Musset a découvert en même temps que la génération romantique le théâtre de Shakespeare, par de nouvelles traductions qui ne cherchent plus à plier Shakespeare aux règles de la tragédie classique comme au XVIIe siècle, puis sur la scène puisqu’en

autoportrait de clochard céleste Une révolte d'adolescent Un orphelin cherchant amour et protection auprès de la nature 2 A la recherche d'une muse poétique  L'idéal poétique de l'auteur Une fantaisie verbale Une désinvolture de rythmes et rimes Commentaire rédigé Ce poème qui a la forme d'un sonnet, deux quatrains suivis de deux tercets en alexandrins est le dernier poème du Cahier de Douai. Il a été écrit lors de son séjour en septembre à Douai chez les demoiselles Gimbre tantes de son professeur

COMENTARIO LITERATURA (ACTO IV)COMMENTAIRE LITTÉRAIRE RUY BLAS - VICTOR HUGO ACTE IV - L’INTERMÈDE BURLESQUE (SCÈNE 2) LECTURE LITTÉRAIRE (XIXè) SCIENCE DU LANGAGE/LETTRES LLASIC (UNIVERSITÉ DE GRENOBLE ALPES) CRESPO BAILÓN, CRISTINA GIL GAMERO, PAULA (ERASMUS 22/23)Victor Hugo est un romancier, poète et dramaturge romantique français qui est considéré comme le plus grand représentant du romantisme du XIXème siècle. En 1830, il commence une période de grande création littéraire, au cours de laquelle

considère Lord Henry en tant qu’avocat du diable, Basil est un idéaliste qui croit vraiment en la bonté humaine. Il est obsédé par la beauté de Dorian Gray de qui il tire toute son inspiration. 4. Présentation critique du roman 4.1.Les extraits et commentaires 1ère extrait : Ch. VIII, p. 100 « Aussitôt qu’il fut habillé, il entra dans la bibliothèque et s’assit devant un léger déjeuner à la française, servi sur une petite table mise près de la fenêtre ouverte. Il faisait un temps délicieux ; l’air chaud