Les Effares

signifie « c’est un fou ! », certains qu’ils sont de la mort du colonel à Eylau. 11. Expliquez la réaction des « gens de loi », page 25. (idem) Deux réactions successives peuvent être relevées : Tout d’abord, les « hommes de loi », impressionnées et effarés par la vision de la plaie au crâne de Chabert, ainsi que par son aspect général, s’imaginent que le colonel n’a pas dû se remettre d’un tel traumatisme et est devenu stupide après avoir été blessé (« Par là s’est enfuie l’intelligence ») ; puis, ils

ranger en colonnes parfaites et de marcher au pas malgré la fatigue. Ils obéissaient aux SS car si un malheureux faisait un écart, trébuchait ou faisait quelque chose que les SS avaient interdit il serait battu ou mordu par les chiens sous le regard effaré de ses amis ou sa famille. De simples coups de feu étaient tirés en l’air pour essayer d' effrayer les « trainards ». Personne ou très peu de gens étaient tués lors de cette étape. Après quelque kilomètres de marche ils arrivaient au camp. Sur le

la ceinture un couteau, une bourse et un cornet à bouquins. Un jeune home imberbe aux cheveux bruns et bouclés, le visage animé d'étonnement et d'admiration, tend ses deux mains vers l'Enfant sauveur, tandis qu'un berger d'age mur reste là, debout, effaré, la bouche bée, tenant d'une main son outil et pressant contre sa poitrine un grossier chapeau de paille. On remarquera également que les bergers sont réalistes car leur attitude reflète clairement leur situation sociale : eux seuls ont la bouche

fantastique - cadre réaliste : New York, XXè siècle, détails de la vie quotidienne (l.7-8) - intrusion du surnaturel : un mystérieux objet permet de tuer à distance et de s’enrichir - vocabulaire des sensations, de la peur (« regard effarés »l.204, »un frisson d’horreur la parcourut »,l.285, l.296) - Peut-on donner une explication rationnelle, logique ? → oui, la mort d’Arthur serait une pure coïncidence ; Arthur avait souscrit une assurance-vie. - Peut-on donner une explication

silencieusement puis ils partirent sans rien dire. Le lendemain Louis rendit de nouveau visite au jeune cuisinier, il lui expliqua que l’homme de la veille était un critique culinaire très célèbre et qu’il allait promouvoir son restaurant. Victor resta effaré puis il sauta dans les bras de Louis et lui dit tous les remerciements du monde, Louis riait et les deux hommes pleurèrent de bonheur. Quelques jours plus tard, le « Au Sucré-Salé » était dans les plus grands magazines culinaires parisiens et le mois

impuissantes, Et, dressés sur leurs pieds, sentent confusément, A cet appel errant se lever grandissantes La liberté première au fond du coeur dormant, La fièvre de l’espace et des tièdes rivages. Dans les champs pleins de neige ils courent effarés, Et jetant par le ciel des cris désespérés Ils répondent longtemps à leurs frères sauvages. Guy de Maupassant, Des vers Le départ Compagnons, détachez des voûtes du portique Ces dons du voyageur, ce vêtement antique, Que j’avais consacrés

pas consacrer plus de temps à une matière aussi fondamentale ? Et donc toucher du doigt un nécessaire allongement des formations. Par-delà la durée exorbitante d'un bon enseignement de cette matière, nous voyons poindre l'argument des formateurs effarés : « mais nous allons faire fuir les littéraires, notre cœur de cible ! ». À cela deux réponses. Nous sommes peut-être un littéraire atypique mais après un bac A, nous sommes passés d'une maîtrise de droit à un DESS de gestion, truffé de mathématiques

adversaires. Mais lorsque une revanche est finalement organisée et qu'un nouveau et mystérieux personnage apparaît pour sauver nos compagnons d'une nouvelle défaite cuisante, c'est un second récit qui s'engage, un récit d’abîme. Sous les regards effarés de tous, y compris Czentovic, le docteur b vient en effet de battre partiellement le prodige des échecs que l'on croyait pourtant intouchable. Après concertation, il est finalement convenu que le narrateur aille interroger le nouveau venu, ces derniers

par Pierre Rougon, et aux deux branches bâtardes, par Ursule et Antoine Macquart. Elle est la fille d’un riche maraîcher et est orpheline à dix-huit ans: « Cette enfant, dont le père mourut fou, était une grande créature, mince, pâle, aux regards effarés, d’une singularité d’allures qu’on put prendre pour de la sauvagerie tant qu’elle resta petite fille. Mais, en grandissant, elle devint plus bizarre encore... ». Elle a les lèvres charnues et elle est naturelle. Dès sa naissance, Adélaïde a de violente

écartant leur menton de leur gilet, pour que le jus tombât sur le tapis. Charrier, ayant fini son vin avant son pain, demanda à un domestique s’il ne pourrait avoir un verre de champagne. - Il faut attendre, monsieur, répondit avec colère le domestique effaré, perdant la tête, oubliant qu’il n’était pas à l’office. On a déjà bu trois cents bouteilles. *« C’est bien pis aux Tuileries » : le préfet fait allusion à la cohue autour des buffets lors des fêtes aux Tuileries, palais impérial sous Napoléon