Les Difficultés De La Vie Quotidienne Au Front

conditions de vie. Preuve en est, le travail des enfants est une réalité dans la plupart des pays. De plus, les journées de travail, six jours par semaine pour les plus favorisés, sont épuisantes pour les organismes. Les conditions de travail sont dégradées par l’absence de mesures de sécurité qui multiplient les accidents de travail. [On pourra ici se servir du document 2 pour déduire les conditions de travail des ouvriers au début de notre période d’étude]. Enfin, les lieux de vie des ouvriers

plus particulièrement, la presse Franc-Comtoise, en prenant comme objet d’étude, le quotidien « le Petit Comtois » ? A cette époque, on voit l’émergence de systèmes d’informations, lié à une évolution et d’une pratique de pouvoir, davantage que d’une volonté initiale. L’usage politique de l’information cherche à mobiliser l’opinion pour gagner la guerre, dans le cadre national. Ainsi en façonnant l’information, le front intérieur se doit de tenir dans une guerre toujours plus longue (on parle ici du

après avoir étudié les arts graphiques et travaillé comme dessinateur de lettres dans un atelier de publicité. En 1932, il vend à un magazine son premier reportage photographique. Il est photographe de l’entreprise automobile Renault durant le Front populaire, période qui lui offre de nombreux sujets, tant il aime photographier des scènes des milieux populaires et chercher à capter l’air du temps. Devenu photographe indépendant au sein de l’agence Rapho, il reçoit de nombreux prix après la

presse est corrompue, manipulée par l’Etat pour ne pas démoraliser la population (doc 5) et les lettres censurées : on assiste à un bourrage de crâne. Les Français de l’arrière ne sont donc pas vraiment au courant des horreurs qui se déroulent sur le Front, dont ils ont une vision très déformée. 3. La guerre est omniprésente, même à l’Arrière. En effet, la propagande faite par l’Etat (affiches, publicités etc.) rappelle partout et à tout moment la situation de guerre. La presse ne parle que de

répondent à la mobilisation avec patriotisme et dans les villages, les hommes abandonnent tout pour aller combattre sur le front. A l’arrière du front restent les hommes trop jeunes ou trop vieux pour servir leur patrie, les femmes et les enfants. Les civils vont alors être mobilisés pour soutenir ce que l’on apelle l’effort de guerre. Nous verrons donc comment l’organisation de la vie à l’arrière montre que la Première Guerre mondiale fut une guerre totale ? Nous verrons dans un premier temps l’économie

était leur place. Ils disent qu’ils étaient d’abord terrorisés mais qu’avec les difficultés de la vie sur le front ils devenaient insensibles à la violence, comme ça doit être le cas pour le soldat sur la photo. Les soldats ont réussis à tenir car ils avaient le sentiment d’appartenir à une cause commune et juste, mais également de défendre l’arrière. Ils étaient solidaires entre eux et soudés par la violence du front, ce qui a donc fait naître une culture commune. Cependant une photographie comme

Synthèse histoire La vie dans les tranchées durant la première guerre mondiale La première guerre mondiale (1914-1918) fut un traumatisme dans l’histoire de l’humanité, une complètedésillusion sur l’espoir engendré par le siècle des lumières. Plus de quatre millions de Français se sont battus sur le front, ils ont vécus la « guerre des tranchés ». Une image forte, porteuse de senspuisque les tranchées, chemin de bataille et de protection creusés dans le sol, font référence à la dureté des

chacun des aspects particuliers de différentes tranches de vie. Ainsi, ces textes se répartissent dans 4 grands chapitres intitulés:  La vie quotidienne du soldat: - les bleus et les poilus - les rats - la boue - le confort de l’Etat Major  Le feu: - on assassine des hommes - face à l’ennemi - la mort en face - la peur  L’arrière: - donneurs de leçons illusions de l’arrière retour du nouvelles du front  Réflexions sur la guerre: II - vous êtes dupes

alliance – l’Italie. La guerre de position : Mais à partir de 1915, les deux armées se fixent sur un front. Elles s’enterrent dans des tranchées qui les protègent. Les offensives échouent comme la bataille de Verdun, en 1916, (perdue par les allemands) ou celle de la Somme, juillet/novembre 1916, ou encore la bataille de : Chemin des Dames (avril 1917). En 1915, l’ouverture de nouveaux fronts dans les Balkans et en Italie. La guerre de mouvement : Le 2 avril 1917, les USA entre en guerre au

l'heure). En 1935, il devient membre de L'AEAR ( association des écrivains et artistes révolutionnaires), d'obédience communiste. En 1936, son père meurt, le studio est vendu . A partir de cette date, il se consacre au reportage. Avec la montée du Front populaire, les mêmes idéaux rapprochent Ronis de Robert Capa et de David Seymour, photographes déjà célèbres. Il a également l’occasion de connaître Kertesz, Brassaï et Henri-Cartier-Bresson. Avec Robert Doisneau, il est l'un des piliers de la photographie