Les Deux Maîtresses Musset

et blonde.  Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur  Sondé la profondeur et réfléchi l'azur.  Sa beauté m'enivrait ; je n'aimais qu'elle au monde.  Mais je croyais l'aimer comme on aime une soeur,  Tant ce qui venait d'elle était plein de pudeur ! Nous nous tûmes longtemps ; ma main touchait la sienne. Je regardais rêver son front triste et charmant,  Et je sentais dans l'âme, à chaque mouvement,  Combien peuvent sur nous, pour guérir toute peine,  Ces deux signes jumeaux de

organisées par l’Etat deux fois par an. Il s’agissait d’un concours qui se déroulait sur trois jours. Les auteurs disposaient d’une journée pour présenter une trilogie de tragédies suivie d’une comédie. Les pièces étaient représentées une seule fois, ce n’est que plus tard que les pièces qui ont gagnées peuvent être rejouées. 4-Citez deux grands auteurs de tragédies de cette époque avec le nom d’une de leurs pièces Sophocle avec Œdipe Roi Euripide avec Andromaque 5- Citez deux grands auteurs latin

contenir D'en approcher, bon gré ma vie, Car il viendrait une autre envie. O Tétin ni grand ni petit, Tétin mûr, Tétin d'appétit, Tétin, qui nuit et jour criez, « Mariez-moi tôt, mariez ! » Tétin, qui t'enfles, et repousses Ton gorgerin de deux bons pouces, A bon droit heureux on dira Celui qui de lait t'emplira, Faisant d'un Tétin de pucelle Tétin de femme entière, et belle. Clément Marot - Épigrammes (1535) Je vous envoie un bouquet Je vous envoie un bouquet que ma main

première S et ES Durée : 4h Février 2011 Examen de Français I Corpus:  Texte A : Alfred de Musset, On ne badine pas avec l'amour, Acte II, scène 5, 1834. Texte B : Georges Feydeau, Le Dindon, Acte I, scène 4, 1896. Texte C : Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac, Acte V, scène 5, 1897. Texte D : Jean Giraudoux, Amphitryon 38, Acte I, scène 6, 1929.   Texte A : Alfred de Musset, On ne badine pas avec l'amour, Acte II, scène 5, 1834. [Camille est une jeune fille qui sort d'un couvent

du mal (1857) p.14 - Alphonse de Lamartine “Le lac”, Méditations poétiques (1820 ) p.15 - Alphonse de Lamartine “Souvenir”, Méditations poétiques (1820 ) p.18 - Alfred de Musset “Souvenir”, Poésies nouvelles (1850) p.21Préface “Notre richesse, ce sont nos souvenirs” François Hertel. Les souvenirs composent notre histoire, ils font partie de nous, en effet les souvenirs ont une influence sur ce que nous faisons, pensons et

poésie comme quelque chose de très large, on peut exploiter de nombreux thèmes et j’ai choisie de présenter les poésies qui parlent de l’amour dédié à la femme ou l’amour en général, mais également un autre thème qui me plait, celui de la nature, les deux mélangé dans les poèmes que je vais présenter. J’aime la manière dont les poètes arrivent à comparer la femme à un élément de la nature. Je vais donc vous présenter ce thème : l’amour et la beauté de la femme à travers la nature, avec sept poèmes,

officiers mais également de pauvres travailleurs. La France connaît au XVIe siècle une fracture religieuse : la grande majorité du pays reste fidèle au catholicisme, tandis qu'une importante minorité rejoint la Réforme. Le principe de la coexistence de deux confessions dans le Royaume se révèle inapplicable. La guerre ne peut être évitée, signe de l'échec de la tolérance civile. Huit guerres vont se succéder sur une durée de 36 ans, entrecoupées de périodes de paix fragile. Elles s'achèvent avec l'édit

pas vraiment d'importance pour moi mais elle reste tout de même un art. Dans cette Anthologie poétique, le thème que j'ai choisi est le sonnet. C'est une forme poétique comportant 14 vers , la répartitions des strophes est variable:deux quatrains et deux tercets ou un seul sizain . Le sonnet est d'origine italienne , il apparaît en France en 1536. Ce genre a été pratiqué par de nombreux poètes tels que Ronsard ou encore Baudelaire. Le sonnet est pratiqué dans une bonne partie de l'Europe. On distingue

longue (alors que le sonnet est une forme brève !), entre plusieurs personnes (une seule personne fait entendre ici sa voix !), à l'heure des effusions sentimentales sous l'abat-jour de l'intimité (l'amabilité dans ces vers n'est pas toujours ouverte à deux battants !). Cette causerie, qui est sensée contenter l'art de plaire ou de flatter, laisse en javelle bien des souffrances. Mais elle rend compte aussi de la fascination que suscite l'amour : c'est une élégie, renouant avec le mythe d'Orphée et d'Eurydice

Tieghem (Les grandes doctrines littéraires en France) l’édification de la doctrine romantique se fait en trois étapes: 1. La première, du début du siècle jusqu’aux environs de 1820, est dominée par madame de Staël et par Chateaubriand. Dans ses deux ouvrages théoriques: De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales(1800) et De l’Allemagne (1810), Germaine de Staël essaie de définir le romantisme, tout en reprenant certaines idées du siècle des Lumières comme celle