Les Deux Maîtresses Musset

ses contemporains). La plus grande partie des œuvres de Schubert (Lieder, en particulier le Winter Reise, les dernières symphonies (le 2e mouvement de la 9e, La Grande), certains impromptus, l'ultime sonate pour piano D. 960, le Quintette en Ut pour deux violoncelles), est marquée par le rythme sans répit des pas du Wanderer, cheminant en une quête désespérée d'un ailleurs sans cesse poursuivi et jamais atteint. GRAND CORPS MALADE Fabien Marsaud, connu sous le nom de scène de Grand Corps

Ce corpus est constitué de quatre textes, on ne badine pas avec l’amour écrit en 1834 par Alfred de Musset dramaturge et poète du XIXe siècle pendant la période romantique. Cyrano de Bergerac écrit en 1897 et la plus célèbre pièce de théâtre du dramaturge, poète et essayiste Edmond Rostand. Amphitryon 38 écrit en 1929 par Jean Giraudoux qui est un romancier de l'après guerre. Ils portent tous sur l’amour mais chacun présente une différence par rapport aux autres textes. Il s’agira ici d’exposer

 ANTHOLOGIE POETIQUE SOMMAIRE Préface p. 1 Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie de Pierre de Ronsard p. 2 A la marquise de Pierre Corneille p. 3 A Juana d’Alfred de Musset p. 4 Demain dès l’aube de Victor Hugo p. 6 Remords Posthume de Charles Baudelaire p. 7 Don Juan aux enfers de Charles Baudelaire p. 8 Après trois ans de Paul Verlaine p. 9 Epitaphe de Renée Vivien

actes d'Alfred de Musset, publiée en 1834 dans La Revue des Deux Mondes et représentée le 18 novembre 1861 à la Comédie-Française.Musset écrit à l'âge de 24 ans cette pièce en prose après une ébauche en vers et choisit le genre du Proverbe, genre dramatique mondain et mineur basé sur une intrigue sentimentale légère, mais dans le dernier acte il s'éloigne du genre sous l'influence du drame romantique avec la présence de l'échec et de la mort. Histoire du texte En mars 1834, Musset quitte Venise seul

Il entre, et son cheval le met A couvert des voleurs, mais non de l'onde noire : Tous deux au Styx(1) allèrent boire ; Tous deux, à nager malheureux, Allèrent traverser, au séjour ténébreux, Bien d'autres fleuves que les nôtres.

fratricide de son oncle Claudius. Ensuite, le deuxième extrait est On ne badine pas avec l’amour d’Alfred Musset parut en 1834 dans laquelle Perdican se venge de Camille en lui faisant croire qu’il aime Rosette et qu’il va se marier avec elle. Pour finir, le troisième extrait de pièce de théâtre est Les Bonnes de Jean Genet sortit en 1947 où deux bonnes nommées Solange et Claire imitent leur horrible maitresse pour se libérer de la frustration qu’elles ont envers elle. Nous analyserons les procédés utilisés

Objets d'étude : Le théâtre, texte et représentation. Textes : Texte A : Nicolas BOILEAU, Art poétique, III, v. 25 à 33, 1674. Texte B : Alfred de MUSSET, Les Caprices de Marianne, Acte I, scène 1, 1833. Texte C : Eugène IONESCO, La Cantatrice chauve, scène 1, 1950. Texte D : René de OBALDIA, Deux femmes pour un fantôme, scène 1, 1971.   Texte A : Nicolas BOILEAU, Art poétique, III, v. 25 à 33, 1674. [Boileau, poète du XVIIe siècle, définit ici les normes classiques de l'art du théâtre

I/ Auteur : bio, œuvres importantes, théories littéraires A) Biographie Alfred de Musset (Paris 1810- Paris 1857), poète et dramaturge romantique. Brillant élève au lycée Henri IV, il commence dès 1824 à écrire des vers. Après s'être essayé à la médecine, au droit, au dessin, à l'anglais, au piano, au saxophone, il se consacre très vite à la littérature. En 1828 il est introduit dans le Cénacle Romantique ( réunions d'artistes et de jeunes écrivains romantiques rassemblés autour de Charles

Séquence 3 Lorenzaccio, Alfred de Musset Sommaire Introduction 1. Alfred de Musset, biographie 2. Lire – Écrire : la genèse d’une œuvre 3. Écrire – Publier  : un spectacle dans un fauteuil, une œuvre au genre mal défini 4. Publier – Lire : les interprétations des critiques et des metteurs en scène Séquence 3 – FR01 1 © Cned - Académie en ligne I ntroduction A Édition recommandée L’édition que vous devez vous procurer est celle des éditions GF : Musset, Lorenzaccio, présentation par

s'installe à Paris avec sa mère qui s'est séparée de son mari, car elle entretient une liaison avec le général d'Empire Victor Fanneau de la Horie, parrain et précepteur de Victor Hugo auquel il donne son prénom. En septembre 1815, il entre avec un de ses deux frères à la pension Cordier. D'après Adèle Foucher, son épouse qui fut aussi son amie d'enfance, c'est vers cet âge qu'il commence à versifier. Ses écrits sont relus et corrigés par un jeune maître d’études de la pension Cordier. Âgé de quatorze ans