Les Deux Maitresse Alfred De Musset

l’époque où ce livre parut, la vie publique et littéraire d’Alexandre Dumas était à peu près terminée ; aucun des traits de son modèle ne pouvait donc échapper au portraitiste qui nous le dépeint ainsi : La France a deux Dumas, comme elle eut deux Corneille. Le père est le plus jeune des deux ; l’enfant prodige est mort, l’enfant prodigue a survécu, et, depuis qu’il existe, a dépensé, sans compter, sa gloire en fusées, son génie en monnaie et sa monnaie partout. Il nous a trop amusés pour que nous lui

Alphonse Allais Vive la vie ! (Oeuvres anthumes) BeQ Alphonse Allais Vive la vie ! La Bibliothèque électronique du Québec Collection À tous les vents Volume 257 : version 1.01 Du même auteur, à la Bibliothèque : Deux et deux font cinq Pour cause de fin de bail À se tordre L’affaire Blaireau Plaisir d’humour Faits divers Vive la vie ! Édition de référence : Paris, Librairie Marpon & Flammarion, [1892]. AVIS AU LECTEUR En dehors du plaisir que j’éprouve à embêter les

■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ ■ PRÉFACE Mon Directeur Général m’avait demandé, alors que j’étais jeune fonctionnaire, de lui préparer un projet de discours pour une inauguration. J’avais mis en exergue dans le texte deux citations de Sun Tsu, philosophe chinois du VIe siècle avant notre ère (L’art de la guerre), qui était une de mes lectures du moment. Ayant eu le privilège d’être dans la foule qui assistait au discours, je goûtais à ce plaisir secret d’entendre mes

théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours .....................................................91 Séquence 6 Mettre en scène la variété du comique .............................................93 Séquence 7 Parcours de lecteur : Alfred de Musset, Lorenzaccio, 1834 ..............121 Séquence 8 L’évolution du tragique : des héros aux personnages ordinaires .....129 Séquence 9 Histoire des arts : De l’espace sacré antique à la scène moderne ....152 Vers le bac : « Monologue et solitude

au renversement général » ! Les figures d’analogie Deux figures d’analogie permettent à Jean Giono de donner une dimension extraordinaire à son personnage. C’est le cas, tout d’abord, des comparaisons qui permettent de rapprocher deux réalités différentes au moyen d’un outil de comparaison. La fête dans le château est par exemple représentée « comme un lointain tonnerre ». La métaphore est une analogie implicite puisqu’elle associe deux éléments sans outil de comparaison. L’association des

les hommes recherchent d'être heureux. Cela est sans exception, quelques différents moyens qu'ils y emploient. Ils tendent tous à ce but. Ce qui fait que les uns vont à la guerre et que les autres n'y vont pas est ce même désir qui est dans tous les deux accompagnés de différentes vues. La volonté ne fait jamais la même démarche que vers cet objet. C'est le motif de toutes les actions, de tous les hommes, jusqu'à ceux qui vont se pendre. Et cependant depuis un si grand nombre d'années jamais personne

théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours .....................................................91 Séquence 6 Mettre en scène la variété du comique .............................................93 Séquence 7 Parcours de lecteur : Alfred de Musset, Lorenzaccio, 1834 ..............121 Séquence 8 L’évolution du tragique : des héros aux personnages ordinaires .....129 Séquence 9 Histoire des arts : De l’espace sacré antique à la scène moderne ....152 Vers le bac : « Monologue et solitude

aussi la mort sera funeste, pour lui apprendre à ne pas s'enorgueillir de mes infortunes ; associé à mon mal, il prendra, en le partageant, une leçon de mesure.» Or le roi, bien qu'absent, est toujours vivant. La nourrice se propose d'aider sa maîtresse à satisfaire cet amour coupable : Phèdre s'y refuse. Malgré cela, sous le sceau du secret, la nourrice dévoile à Hippolyte la passion de sa belle-mère. Le jeune héros s'enfuit, horrifié par la passion que lui voue la reine. Phèdre maudit sa nourrice

ferme dans le petit village de Roche près d'Attigny où elle avait grandi et durement travaillé, avait été élevée à la dure, avec des hommes. À cinq ans, elle avait perdu sa mère, à dix, sa grand-mère ; sa jeunesse s’était passée avec son père et ses deux frères (des mécréants), sans autre horizon que le village de Roche... La ferme, qu’elle exploita seule ensuite, allait brûler en 1863, être reconstruite en 1873, la famille y habitant alors. Fière, indépendante, forte, elle refusa de suivre le capitaine

ferme dans le petit village de Roche près d'Attigny où elle avait grandi et durement travaillé, avait été élevée à la dure, avec des hommes. À cinq ans, elle avait perdu sa mère, à dix, sa grand-mère ; sa jeunesse s’était passée avec son père et ses deux frères (des mécréants), sans autre horizon que le village de Roche... La ferme, qu’elle exploita seule ensuite, allait brûler en 1863, être reconstruite en 1873, la famille y habitant alors. Fière, indépendante, forte, elle refusa de suivre le capitaine