Les Courtilles

il y était. Le texte C nous « lâche » au milieu des halles puis très rapidement le lecteur suit Florent dans les ruelles de l’endroit. Enfin, le texte D, de manière moins marquée et moins réaliste que les trois autres, place l’action entre « la Courtille » et « la Villette » (en 1761). Ce dernier ne me fait le même effet de réel étant donné que ma réalité de l’endroit évoqué est quasiment nulle et également du fait que peu de repères matériels sont donnés. En dernier lieu et faisant office de

vivait avec une servante. Il eut en outre pour maîtresses les femmes et les filles de ses fermiers ; ce qui ne l’empêcha point d’avoir deux enfants de sa femme ; on devrait compter trois, en me comprenant. » On comprend dès ce paragraphe que M de courtil n’est pas le père de René mais qui aurait dû l’être. S’il n’avait pas été comme il était avec sa femme, elle ne se serait pas réconfortée dans les bras de M. de Bourneval. En même temps, M de Courcils pensait être le père de René. Monsieur de Courcils

“ Tortoni ” ou chez un de nombreux cafetiers, glaciers ou restaurateurs à la mode. Il faut donc nuancer d’ores et déjà l’image d’un peuple aviné, dont le seul but de promenade serait de s’enivrer grâce au vin moins cher hors des barrières. Le séjour à la Courtille est donc à considérer comme le couronnement d’une promenade champêtre en dehors des barrières, où la danse, la boisson et un bon repas attendent les promeneurs . Une autre façon populaire de se promener en quittant la ville, et en imitant ainsi

répétitions. « Les lépreux » , Gaspard de la nuit, Aloysius Bertrand : Travail raffiné du vocabulaire : « l’aiguail » = la rosée, « l’anachorètes » = ermites, Maladrerie = lépreuries, lieu de soin pour les lépreux. « adamites » = d’Adam, « courtils » = petit jardin attenant à une ferme. « nasses » = paniers pour la chasse ou pêche. « le rosaire » = chapelet de prières. Il y a une dimension visuelle du poème, travail sur le blanc typographique (une ligne entre chaque paragraphe) donne l’impression

beaucoup plus parcellisé, les parcelles sont limitées par des haies constituées d’arbres et de buissons. Les chemins creux relient un habitat dispersé. Plusieurs hameaux constituent une paroisse avec une production diversifié ce qu’on appel les zones de courtils, ce sont enfaite des jardins et vergés parfois cultivé de blé pour les plus grand. On trouve également des céréales surtout du seigle, du Sarazin et de l’avoine pour les cheveux. Sur certaines terres, dites froides, des prairies qui permettent d’entretenir

Haute-Bretagne Rennes II 2 Voir Plan en appendice 0-1 -2/10- laquelle l'Évêché de Paris autorise la Collégiale Sainte-Opportune de mette en culture les marécages qu'elle possède jusqu'à la fin du XVIe siècle, on observe peu de modifications. Les courtilles et cultures situées à l'intérieur de l'enceinte de Charles V à la fin du XIVe sont les premières touchées par l'urbanisation (Fig 1)3. Comme les propriétaires des terrains cédés pour la construction des villes nouvelle à notre époque, les propriétaires

(de juillet à décembre) : Le raisin est un fruit blanc ou noir dont les variétés sont multiples. Pour ce qui est du raisin de table nous avons : Les petits grains : le chasselas, le muscat de Hambourg, le muscat d’Alexandrie, l’admirable de Courtiller et le servant. Les gros grains : la dattier de Beyrouth, l’Alphonse Lavallée, l’italia et le gros vert. Les principales régions françaises productrices de raisin de table sont : le Vaucluse, les Bouches-du-Rhône, l’Hérault, le Gard et la vallée

I, qui présente le héros de la série. Le texte qui vous est proposé est composé de l’incipit du prologue et de celui du chapitre I. PROLOGUE Dans la nuit du vendredi 2 février 1761, un équipage avançait péniblement sur la voie qui conduit de la Courtille à la Villette1. La journée avait été sombre et, à la tombée du jour, de lourds nuages avaient éclaté en pluie et en tourmente. Quiconque aurait eu l’idée improbable de surveiller cette route eût remarqué ce chariot tiré par un cheval étique2. Sur

sans regret (2). J'avais fait par comblance (3) Girond' largue capé (4), Soiffant picton sans lance (5), Pivois non maquillé (6), Tirants, passe à la rousse (7), Attaches de gratousse (8), Combriot galuché (9), Cheminant en bon drille, Un jour à la Courtille, – 66 – J'm en étais enganté (10). (1) Sans crainte ni inquiétude. (2) Sans peur. (3) Par surcroît. (4) Une jolie maîtresse. (5) Buvant du vin sans eau (6) Du vin non-frelaté. (7) Bas, escarpins. (8) Beau jabot de dentelle. (9) Chapeau galonné

afin de rentrer dans le bois, il se trouve en présence d’un de ces demi-vilains, demi-valets qui, par charité ou pour quelque redevance, obtenaient la faveur de vivre de la vie des moines, qu’ils servaient ou dont ils gardaient les terres et les courtils. On les désignait sous le nom de Frères convers ou convertis à la vie monacale ; gens peu considérés, et qui méritaient rarement de l’être davantage. Celui-ci avait la charge de tenir en laisse deux veautres ou lévriers. Bientôt le premier valet