Les Conquérants

/ LA CHRÉTIENTÉ MEDIÉVALE, UN MONDE DE CROYANTS ... A / Vivre dans la paroisse, centre de la communauté villageoise. B / Le christianisme, une religion à la recherche du salut. C / Les « chemins du ciel ». II / ... ENCADRÉ PAR UNE EGLISE CONQUERANTE ET DYNAMIQUE ... A / Le renforcement de l’autorité pontificale. B / Des ordres monastiques renouvelés. C / Une Eglise riche et influente. III / ... PRATIQUANT L’INTOLÉRANCE ET LA RÉPRESSION. A / Étendre le christianisme par la Guerre

convient) ligne 5 met l’accent sur la responsabilité des Européens en matière de pillage : les termes «  mercadence » et « trafique » soulignent l’enjeu économique que représente cette conquête tournée vers le commerce et la négociation dont seuls les conquérants ont retiré des bénéfices. Par ce tableau contrasté entre deux cultures, on remarque que Montaigne prend position. Sur un sujet aussi grave, il faut ébranler les sensibilités et c’est ce qu’il fait en évoquant les pratiques des colons européens

Enfants du capitaine Grant (1868), Le Tour du monde en quatre-vingts jours (1873), Michel Strogoff (1876), L'Étoile du sud (1884) ...) que dans un monde imaginaire (De la Terre à la Lune (1865), Vingt mille lieues sous les mers (1870), Robur le conquérant (1886)...) L’œuvre de Jules Verne est populaire dans le monde entier et, selon l’Index Translationum, avec un total de 4223 traductions, il vient au deuxième rang des auteurs les plus traduits en langue étrangère après Agatha Christie[1]. Il

littéraires, il retourne toutefois à Saïgon pour fonder le journal "L'Indochine". Face à la montée du fascisme, il revient en Europe et publie de nombreuses œuvres ayant pour thème l’extrême orient comme : La Tentation de l’Occident (1926), puis Les Conquérants (1928), La Voie royale (1930) et La Condition humaine (1933 ; prix Goncourt). Ensuite, il lutte aux côtés des forces républicaines en Espagne, puis s'engage dans la résistance française sous le pseudonyme de "colonel Berger" et dirige un groupe

qui sont les principales réalisations de son ministère en matière de protection et d’aménagement du cadre de vie. L'écrivain débuta par des poèmes en prose comme Lunes en papier ou Jeunesse européenne (1927). Puis vinrent les grands romans: Les Conquérants (1928), La Voie royale (1930), La Condition humaine (Prix Goncourt 1933), Le Temps du mépris (1935), L'Espoir (1937), et Les Noyers de l'Altenburg (1943), dont l'ensemble constitue un poème solennel et pathétique, dédié à la Révolution.

Dans l'immense territoire Andalous on trouve une grande diversité de paysages : montagne, plaine, désert, plages et de grandes villes. Depuis les temps les plus éloignés l'Andalousie est un lieu de destiné pour conquérants, voyageurs et des civilisations comme les tartesios, romains et arabes, qui ont laissés surtout leur trace indélébiles dans cette terre. Le Guadalquivir, sa rivière plus importante, coupe en deux les régions, qui est unies au plateau central par le pas de Despeñaperros. Les Romains

vers la vérité B- L'art est un langage Extrait du document: Pour Nietzsche, l'art est une affirmation de l'existence. Il permet un total épanouissement, il exprime le mouvement de la vie ou encore une volonté de puissance, qui est une énergie conquérante et créatrice. C'est une force qui pousse l'homme à s'enrichir, à se dépasser. Pour Schumpeter, l'art nous délivre des douleurs de l'existence, mais cette délivrance est toujours provisoire. L'art accorde une trêve à la souffrance. L'artiste, en

culte d'Aphrodite dans l'Orient hellénisé. Alexandre à la lance Cette statuette est l'écho d'un portrait d'Alexandre le Grand réalisé vers 330 avant J.-C. par Lysippe, portraitiste officiel à la cour de Macédoine. Alexandre est représenté en conquérant, la main gauche serrée sur une lance, tandis que la droite tenait une épée. Il portait une coiffe, ajoutée par rapport au type statuaire, qui, associée à la nudité héroïque, évoquait probablement le culte divin qui lui fut rendu après sa mort (323

richesses locales et utiliser la population locale pour sa propre production. Les intérêts de la nation conquérante allaient à l’encontre des intérêts de la population locale et tous les moyens étaient bons pour arriver à ses fins, pillages, esclavage, asservissement. Peut on voir dans ces conflits un aspect positif ? Il est certes difficile à exprimer pour la nation vaincue. Pour la nation conquérante, le positif réside dans son accroissement de richesse. Il est aussi possible de croire que la découverte

résistent à ses avances. Enfin, manipulation et hypocrisie ne sont que les instruments qui permettent à Dom Juan d’affirmer sa domination absolue sur toutes les femmes. Ainsi, son plaidoyer se transforme en un autoportrait orgueilleux. 2- Dom Juan : Un Conquérant : Pour décrire les différentes phases de la conquête amoureuse, Dom juan emprunte le lexique de la guerre au registre épique, et fait de chaque conquête un combat. On observe les différent stades de la séduction à travers les marques chronologiques