Les Connecteurs Logiques

transistors peuvent constituer des circuits logiques, qui, assemblés à leur tour, constituent des processeurs. Les transistors MOS sont ainsi réalisés dans des tranches de silicium (appelées wafer, traduisezgauffres), obtenues après des traitements successifs. Ces tranches de silicium sont alors découpées en éléments rectangulaires, constituant ce que l'on appelle un « circuit ». Les circuits sont ensuite placés dans des boîtiers comportant des connecteurs d'entrèe-sortie, le tout constituant un « circuit

personnages, présence d'indicateurs (connecteurs) temporels, passé simple ou présent de narration. Descriptif : Présence d'indicateurs spatiaux (lieu), ordre de la description (progression du regard), présence de verbes d'état et de perception, noms enrichis par des expansions, imparfait pour la description au passé et présent pour la description au présent. Explicatif : Emploi d'un vocabulaire spécifique et technique, objectivité du locuteur, présence de connecteurs logiques et parfois chronologiques, présent

raisonnement basé sur des faits vérifiables ou des données objectives ; dans ce cas-là, les arguments sont irréfutables (on ne peut pas dire que ce n’est pas vrai) car ils sont liés à des données scientifiques. Les arguments sont montrés de façon logique et la rigueur est essentielle et implique la mise en ordre des arguments. Les modes de raisonnement - La forme de raisonnement la plus utilisée est le raisonnement par déduction : les arguments se suivent logiquement et vont du général au particulier

compare très vite « de même que nous appelons sauvages etc... » ici sauvages n’est pas péjorative puisque ici il désigne le fait être proche de la natureDeuxièmement de la ligne 10 à 12 le raisonnement par analogie commence. Nous retrouvons des connecteurs logique « à la vérité » des subordonnés relative et bien évidement des doublets. Cette phrase nous montre bien que Montaigne cherche la vérité, il remet en cause les européens en utilisant le « nous ». Il démontre les produits naturel qui sont tout

articulations ou connecteurs logiques jouent un rôle important dans la construction d'une argumentation ; ils articulent les arguments en chaînons élémentaires et mettent en relief l'ordre dans lequel ils se suivent, aidant ainsi à comprendre le cheminement de la pensée. Ils permettent d'organiser les arguments entre eux pour constituer un raisonnement. On retiendra surtout les connecteurs logiques exprimant : relation logique ADDITION ADJONCTION GRADATION PARALLÈLE COMPARAISON connecteurs logiques :

formuler l’idée (quitte à la corriger par la suite) * Après relecture du texte, repérer connecteurs logiques & ponctuation * Déterminer leurs fonctions logiques * Résumer idées données par connecteurs * Définir termes importants (rapidement) * Repérer répétit° & chgmts de pers., modes, temps & formes * Etablir un plan de texte comprenant connecteurs, idées, fonct° logiques & comprenant sous-parties. II. Rédaction au propre 1. L’introduction : Auteur

 La typologie textuelle Texte Définition Structure Tps verbaux Liens logiques Caractéristiques Fonction Exemples de textes (Genre) Narratif Le T.N rapporte des évènements réels ou fictifs et se déroule dans le temps. Il met en scène des personnages. La structure narrative: - Le schéma narratif - Le schéma actantiel - Les temps du passé : Imparfait / passé simple - Le présent de narration - Les indicateurs spatio-temporels (ancrage spatio-temporel

quels moyens Rabelais plaide-t-il l'œuvre en sa faveur ? procédés importants : “c’est pourquoi” (l.1) : locution conjonctive de conséquences ; Rabelais formule une mise en garde et aborde de quel façon il faut lire son ouvrage “alors” (l.2) : connecteur logique , adverbe ; exprime une conséquence. “la drogue qu’il contient” (l.2) : métaphore, qui met en relation la boite et le contenu du livre “la drogue” car si le lecteur lis bien il pourra retrouver le vrai contenu. “c’est-à-dire” (l.3) : locution

. . . . . . . . . . . 12 A Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 B Exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 II Connecteurs logiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 A Négation d’une proposition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 B Équivalence de deux propositions . . . . . . .

faire émerger le problème philosophique spécifique que pose le texte (c’est-à-dire que se pose l’auteur) et la « réponse » argumentée que fournit l’auteur. Il faut donc veiller avant toute chose à problématiser le texte et à rendre explicite la logique de l’argumentation de l’auteur. Le danger du commentaire de texte est de tomber dans la simple paraphrase – alors attention ! Démarche : Interroger le texte c’est-à-dire ne rien tenir pour « évident »…de cette façon on pourra relever les présupposés