Les Conférences Nationales En Afrique

Le partage de l'Afrique: 1) La conférence de Berlin 2) Les conséquences de la Conférence Contexte: Alors que les pays d'Amérique latine obtiennent leur indépendance au début du 20eme siècle, les Européens entreprennent alors de nouvelles conquêtes coloniales. En 1850 on compte peu de colonies européennes mais la course au colonies va s'accélérer dans la seconde moitié du 19eme siècle. Dans le contexte d'industrialisation de l'Europe, la première motivation semble être économique, mais

masse, les ressources négligées, voire gaspillées, la forte proportion d’agriculteurs à basse productivité, la faiblesse des classes moyennes, l’industrialisation restreinte ou incomplète, l’hypertrophie du secteur tertiaire, faiblesse du produit national par habitant, le travail des enfants, la situation de subordination économique, les très violentes inégalités sociales, l'absence d'accès à l'eau potable, aux soins médicaux, …De plus les pays du Tiers monde ont une faible participation à l’économie

multilatérales et cherchent de nouveaux instruments de régulation à travers la coopération fonctionnelle, le régionalisme, ou l'établissement plus ou moins réussi de directoires (les «cinq Grands» du Conseil de sécurité, le G7, etc. ). De «conseils» en «conférences», de «comités du suivi» en «groupes consultatifs», de «sommets» en «réunions ad hoc» les élites du monde entier, politiciens, diplomates, experts de toute nature parcourent la planète. Une telle mobilisation d'énergie, de temps et d'argent introduit

l’histoire en 2008. Le riz demeure un aliment de base politiquement important des pays asiatiques où il est produit, ainsi que dans un nombre croissant de pays africains. Sur la base de l’estimation FAO , plus de 115 millions de ménages en Asie et Afriques vivent de ces Activités rizicoles 2. Observation de l’offre sur le marché du RIZ 1. les conditions de productions Le riz est la deuxième céréale alimentaire produite dans le monde, avec un volume annuel estimé à 699 millions de

avril.- Conférence de Bandung (ici Nasser et Nehru) qui condamne la colonisation. 1956 Nationalisation du canal de Suez par Nasser. Indépendances du Maroc et de la Tunisie. 1960 Indépendance de l'Afrique noire française. 1961 Premier sommet des pays non alignés à Belgrade (25 pays). 1962 18 mars.-Accords d'Évian. 5 juillet.- Indépendance de l'Algérie. 1963 Mai.-Création de l'Organisation de l'unité africaine (OUA). 1964 Première CNUCED à Genève, Conférence des

L’INTEGRATION ECONOMIQUE AFRICAINE La conférence de Berlin de 1885 a morcelé le continent africain en de petits Etats qui ne permettent pas un modèle de développement autocentré. C’est pourquoi aujourd’hui les gouvernants s’acharnent à réaliser l’intégration économique. L’intégration économique peut être définie comme l’ensemble des procédés par lesquels plusieurs (ou des) pays créent un espace économique commun. Quelles les différentes formes d’intégration ? Quels sont les objectifs de l’intégration

La colonisation intro les étapes de la colonisation XVI° Amérique latine (Portugal et Espagne) et Canada (français et les hollandais) XVII° Amérique du Nord par les Anglais…Comptoirs Français aux Indes…et en Afrique de L'Ouest L'entreprise coloniale ne reprend vraiment qu'après la fin des guerres napoléoniennes 1 l'expansion coloniale. 1.1 les causes de l'expansion 1.1.1 économiques - conquérir des richesses (or..ivoire ou M1° comme le caoutchouc, le coton..) - trouver des débouchés

création des aires sous régionales de sécurité coopérative. 7 C. La consolidation de la paix. 7 1. L’imposition de la paix. 7 2. L’assistance au développement. 7 III. L’ACTION DES NATIONS UNIES EN FAVEUR DE LA PAIX. 8 A. Les succès de l’ONU en Afrique australe et centrale. 8 1. L’Afrique australe. 8 2. L’Afrique centrale. 9 B. Les imperfections et les limites de l’ONU. 10 1. La crise du Sahara occidental. 10 2. La crise du Soudan. 11 CONCLUSION. 12 BIBLIOGRAPHIE. 13 INTRODUCTION. L’ONU

toutes les formes de discrimination raciale, la                            discrimination raciale « ​vise toute distinction, exclusion, restriction ou préférence fondée sur la race, la                            couleur, l’ascendance ou l’origine nationale ou ethnique, qui a pour but ou pour effet de détruire ou de                                    compromettre la reconnaissance, la jouissance ou l’exercice, dans des conditions d’égalité, des droits de                            l’homme et des libertés

posés lors de ces assises. Bien au contraire, les délégués présents à cette rencontre internationale sont persuadés, comme le déclarait à l’ouverture des travaux, Johan Schober, à lors Préfet de Vienne, que « la prospérité, le travail et l’économie nationale de chaque pays ne peuvent être sauvegardés contre les agissements des malfaiteurs de droit commun, que si le bras chargé de la poursuite du criminel trouve, au-delà de la frontière, une main prête à l’aider, travaillant en accord avec lui ».