Les Conflits Asymétriques Géopolitique

d’Afrique. Le volume global des échanges ne représente qu’à peine 5% du commerce extérieur de la France. 1 Contrairement aux conflits qui opposaient différents Etats, une des caractéristiques des conflits qui endeuillent le continent africain est qu’ils se passent à l’intérieur des pays dans lesquels les acteurs se disputent l’espace du pouvoir. Il faut rappeler ici que ces conflits proviennent la plupart du temps des systèmes politiques à parti unique, la plupart du temps dirigés par des militaires qui

au moment même où un grand nombre de ces autres pays, comme les Etats-Unis et le Royaume-Uni, tentent de réduire leurs grands déficits du commerce extérieur en développant leurs exportations3. Tous les ingrédients sont en place pour susciter des conflits commerciaux. Fin septembre 2010, la Chambre des représentants américaine a adopté à une large majorité bipartisane – ce qui est rare – une législation autorisant l’imposition de droits de douanes spécifiques sur les importations chinoises pour contrecarrer

STEINER O. (1975) "insider influences" , provenant de l'intérieur de l'entreprise (motivations basées exclusivement sur la satisfaction des intérêts propres des actionnaires ou des manage rs) ne sont donc pas prises en compte et il y a absence de conflit d'intérêts entre les "intérieurs" appelés les "insiders" (managers et actionnaires). Ce sont alors essentiellement les influences dites externes, appelées par le même auteur "external influ ences", qui prévalent. Les considérations dites "externes"

spéculatives. La question de leur indépendance © Groupe Eyrolles Le fait que les agences soient rémunérées par les émetteurs de titres qu’elles notent et non par les investisseurs soulève la question de leur indépendance en raison de potentiels conflits d’intérêts. Face à cela, les agences ont adopté des règles déontologiques, la demande qui s’adresse à elles dépendant de la confiance des investisseurs dans leur notation et par là même dans leur indépendance. Cependant, ces principes déontologiques

élevés des banques et des États, surtout dans certains pays de la zone euro. De nouveaux risques baissiers ont en outre fait leur apparition. Ils incluent notamment les prix des produits de base  — en particulier du pétrole — et les incertitudes géopolitiques qui s’y rapportent. La surchauffe et l’essor des marchés des actifs dans les pays émergents sont une autre source de risques baissiers. La croissance pourrait toutefois aussi être plus vigoureuse que prévu à court terme, grâce à la bonne santé

spéculatives. © Groupe Eyrolles La question de leur indépendance Le fait que les agences soient rémunérées par les émetteurs de titres qu’elles notent et non par les investisseurs soulève la question de leur indépendance en raison de potentiels conflits d’intérêts. Face à cela, les agences ont adopté des règles déontologiques, la demande qui s’adresse à elles dépendant de la confiance des investisseurs dans leur notation et par là même dans leur indépendance. Cependant, ces principes déontologiques

Développement de l’Education en Afrique ADM : Agence de Développement Municipal ADSL : Asymmetric Digital Subscriber Line [la définition française est « Ligne d'abonné numérique à débit asymétrique ». La traduction officielle est : « raccordement numérique asymétrique » (RNA) ou « liaison numérique à débit asymétrique »]. ADIE : Agence De l’Informatique de l’Etat AfriNIC : African Network Information Centre AISI : African Information Society Initiative [Initiative de la société de l’information en Afrique]

 la valeur des options (de la flexibilité) augmente lorsque la volatilité  devient plus importante (Cf. Figure I‐2). Dans la mesure où une stratégie d’option confère le  droit mais non l’obligation d’acquérir ou de céder un actif, la prise d’option crée un profil de  risque  asymétrique :  ainsi  une  option  réelle  d’achat  permet  de  bénéficier  des  événements  risqués lorsque l’incertitude se résout en faveur de l’investissement envisagé en donnant un  droit  préférentiel  au  détenteur  de  l’option  de  prendre  des  actions 

Cette promptitude est assez remarquable si l’on prend en compte les extraordinaires difficultés d’une négociation planétaire sur un sujet neuf, les incontournables problèmes d’information, de communication, d’analyse qu’il a fallu résoudre, et les conflits d’intérêts qu’il a fallu surmonter pour en arriver là. On peut évaluer l’ambition des objectifs retenus initialement à Kyoto pour les pays industriels (dits de « l’Annexe B », définie dans le glossaire), comme forte ou modeste selon le point de vue

2007 à aujourd’hui. Les hausses sont intervenues soit parce que la demande d’essence s’est accrue (diffusion plus large de l’automobile, nouvelle demande des pays émergents Chine, Brésil), soit parce que l’offre de pétrole a diminué (tensions géopolitiques, guerres : guerre en Irak en Libye), soit parce que l’organisation du marché a été modifiée. L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a fonctionné au début des années 70 comme un cartel, c’est-à-dire que ces pays se sont entendus