Les Choses

« Nous ne voyons pas les choses mêmes ; nous nous bornons, le plus souvent, à lire des étiquettes collées sur elles. Cette tendance, issue du besoin, s’est encore accentuée sous l’influence du langage. Car les mots (à l’exception des noms propres) désignent des genres. Le mot, qui ne note de la chose que sa fonction la plus commune et son aspect banal, s’insinue entre elle et nous […]. Et ce ne sont pas seulement les objets extérieurs, ce sont aussi nos propres états d’âme qui se dérobent à nous

forcément tous les mêmes priorités dans lavie. Penser est toujours facile, mais lorsque on l’expose c’est la que les choses diffère Penser librement c’est rêver, parce que l’homme peut alors penser tout ce qu’il veut même les choses lesplus absurde, mais personne ne sera a quoi il pense. Voyons maintenant ce qui fait que nous nous obtenons ou devons nous obtenir à penser certaines choses. II/Penser librement : Les obstacles à lalibre pensée. Toute personne est libre de penser ce qu’il veut mais parfois

sans l’autre et vice versa. Pourtant, lorsqu’on écoute les gens se plaindre qu’ils ont trop de travail, pas assez de temps, pas assez d’argent et j’en passe, il me semble qu’on est loin de la liberté. Et combien ne veulent ou ne peuvent faire les choses qui leur tenteraient vraiment par peur de tout chambarder, de tout changer, de décevoir, de se tromper, d’être juger, de perdre, de se perdre…. Alors, s’il est vrai que la liberté est un pré requis essentiel au bonheur, il me semble qu’il y en ait

Est-ce que vous croyez au destin ? En tout cas, moi j’y crois. Je pense que toutes les choses qu’ils nous arrivent sont écrites, que les épreuves que la vie nous imposent sont en réalité parfois des bienfaits. Que la vie est dure et que les vraie chances sont rares. Qu’il faut profiter de chaque instants de bonheur sur cette terre, qu’il se trouve dans l’amour ou dans un nouveau projet. Il ne faut jamais oublié que le monde est un endroit magique où chacun d’entre nous aura le droit à son heure de

nos forces ; c'est pourquoi il ne reste que notre volonté, dont nous puissions absolument disposer. Et je ne vois point qu'il soit possible d'en disposer mieux, que si l'on a toujours une ferme et constante résolution de faire exactement toutes les choses que l'on jugera être les meilleures et d'employer toutes les forces de son esprit à les bien connaître. Et c'est en cela seul que consistent toutes les vertus ; c'est cela seul qui, à proprement parler, mérite de la louange et de la gloire ; enfin

toujours des détournements du récit classique ; c’est aussi d’une façon détournée, à travers l’accumulation descriptive d’objets, dans un roman sans aucun dialogue et à la trame narrative évanescente, qu’il s’est livré, dans son premier livre, Les choses, paru en 1965 et lauréat du prix Renaudot la même année, à une évocation de la société de consommation qui peut apparaître aujourd’hui comme une critique sans concession. Le prétexte narratif du roman est formé des tribulations d’un couple de jeunes

à avancer avec votre passé et en tirer des leçons. Tu sais jamais je n'oublierai ce que j'ai été avec toi, ni la belle personne que tu semblais être à mes cotés. Mais surtout je n'oublierai pas ce que nous avons étés tous les deux, parce-que les choses changent et aujourd'hui quand je te vois j'ai du mal à me dire que je t'ai aimé et que tu m'a rendu heureuse. Mais qu'importe puisqu'on a pu toucher un jour, le bonheur d'être ensemble. .J'ai pas mesuré l'ampleur de la situation. Comment deux personnes

Les gens ne s'en fichent pas. Tu ne le remarque peut-être pas, mais ils ne s'en fichent pas. Tes choix ne t'affectent pas seulement toi, ils affectent tout le monde autour de toi. Ne mets pas fin à tes jours, il te reste tellement à vivre. Les choses ne peuvent pas s'améliorer si tu abandonnes. La vie est faite pour qu'on ce batte, y'a toujours pire que nous ailleurs. Si ça ne va pas, défoulez vous, hurler, parlez.. Mais ne baissez jamais les bras.. «Pleurer ne les fera pas revenir. Dire que

aller mieux. Arriver à vivre réellement sans écouter toute ses personnes se lamentant de leurs terribles vies. J'ai tout se dont je pouvais rêver et pourtant la chose dont j'ai besoin le plus, plus que l'oxygène m'a été enlevé. Mais la vie fait les choses pour une raison, à moi de savoir laquelle.

période donnée, mais bien d’un mode de vie rationnel et vertueux. Notre société ne favorise donc, selon moi, pas l’atteinte du bonheur aristotélicien. Les gens sont, de nos jours, axés sur la possession de biens matériels et ils n’accomplissent plus les choses qui sont importantes à leurs yeux. Selon Aristote, le bien suprême ne se développe pas dans les biens matériels, bien qu’il puisse être atteint à travers ceux-ci. Dans notre société, les gens caractérisent souvent le bonheur par la richesse. Pourtant