Les Chocs Pétroliers

de consommation, avec la diffusion de biens d’équipement des ménages (produits blancs des appareils ménagers comme le réfrigérateur, le four ; les produits gris de l’électronique et de l’audiovisuel : téléviseur…). * de 1973 -1990 : Après les chocs pétroliers la croissance dépressive est une période de montée du chômage mais de pouvoir d’achat élevé dans les pays développés. On parle parfois de « Trente Piteuses » après 1973 avec la désindustrialisation et les délocalisations. * 1990-2008 : le développement

boursier de 1929 marque la fin d’une forte croissance économie américain et sanction les dérives de la spéculation. Effondrements de 1ere économie mondiale >>>> bloque le commerce international = monté du chômage et de l’endettement Chocs pétroliers de 1973 a 1979 = hausse de l’économie d’énergie puis coups de fabrication Donc baisse des prix, les entreprise moins compétitives ferme = hausse du chômage et baisse de prod. Mise en place de politique de déflation = hausse impôts et baisse

des traditions. En France, trois crises se superposent : une crise étudiante qui part de l’université de Nanterre pour s’étendre à Paris, suivie par une crise sociale avec des grèves dans tout le pays qui débouche sur une crise politique. Les chocs pétroliers de 1973 et 1979, mettent officiellement fin aux Trente Glorieuses et font entrer le monde industrialisé dans la crise : augmentation du chômage, naissance de nouvelles inégalités sociales. II) Description de 2 de ses oeuvres les plus connues

uniquement monétaire + salaires flexibles = F.A. von Hayek refuse l’intervention de l’Etat. =A. Laffer etG. Gilder : théoriciens de l’offre = la nouvelle école classique R.F. Lucas B- les mauvais résultats des politiques keynésiennes au moment des chocs pétroliers ont entraîné une remise en cause de ce type de politique au début des années 90. = stagflation = France 1981 échec politique de relance = inflation , chômage et déficits publics Si au moment où Milton Friedman annonçait « Nous sommes tous

Bretton woods : asymétrique 1 once d’or = 35 USD Avec une parité USD/FRF : 1 USD = 5 FRF Donc chaque monnaie doit maintenir la parité avec USD pour garder la parité avec la once d’or. 3. Stabilisateur automatique des changes flottants Chocs économique : le taux de change joue un rôle d’amortisseur Exemple un choc négatif sur la compétitivité : diminution des exportations * Baisse de Y => baisse de i => dépréciation de la monnaie Pour les taux de changes fixe : exportation diminue

dans une nouvelle ère où la notion de savoir vendre va devenir encore plus importante. 3) Economie de marché : C’est en 1973, date du premier choc pétrolier, que l’économie va prendre un nouveau tournant. Il va y avoir une forte inflation des prix du pétrole d’environ 14%. Ce choc sera suivit d’un deuxième choc en 1979. L’effet de ces deux chocs pétrolier sur l’économie n’est pas sans conséquence. Cette économie est appelée économie de marché, les prix sont déterminé par rapport à l’offre et à la demande

jours…) 1) La fin des « 30 Glorieuses » a) les causes conjoncturelle= immédiate -1er choc pétrolier en 1973 : prix du baril de pétrole augmente (*4) -Ralentissement de la croissance (moyenne de 2°/°) -Hausse du chômage -Hausse de l’inflation : faible croissance + inflation = STAGFLATION -2° choc pétrolier (en 1972 : 10 $ le baril de pétrole et après, 100$ en 1979). Les chocs pétroliers sont arrivés à cause de l’instabilité du Moyen-Orient. 1er choc à cause de la G. du Kippour et

annuels moyens des dépenses finales des ménages est de 3%, avec un maximum de 6,5 en 1969 et un minimum négatif de 0,2 en 1993 Les Trente Glorieuses se caractérisent par une consommation de masse (plus de 4% de croissance annuelle). Le premier choc pétrolier de 1974 marque la rupture avec la période de précédente : de 1974 à 1987, le taux de croissance de la consommation tourne aux alentours des 2%. A partir de 1988, la croissance restera inferieur à 2,4 pour s’établir aux alentours des 1%. Les dépenses

prévu du printemps arabe.   La région n’a enregistré que 2,3% de croissance en 2013 contre 7% en 2012.   La Mauritanie a réalisé une croissance de 6,7%, ce qui reflète, lit-on dans le rapport, l’accroissement des investissements dans les secteurs pétroliers et miniers et l’appui des donateurs.  Le Maroc qui est passé de 2,7% en 2012 à 4,7% en 2013 est, à l’instar du Nigeria, tiré par une forte demande intérieure qui est un signe du développement des classes moyennes et de la  transition économique

pétrole et du gaz sont entre les mains de grandes firmes multinationales occidentales qui investissent de grandes sommes dans la recherche de nouveaux gisements. Elles n'hésitent pas à passer des contrats très intéressants pour elles avec les États pétroliers en développement : posséder des ressources énergétiques est un avantage réel pour un pays pauvre, mais ces ressources provoquent des convoitises. Le transport de matières premières énergétiques participe à l'augmentation des flux de marchandises