Les Causes Du Romantisme

manque de profondeur. Voltaire répondait avec toujours autant de sapience que son but était de vulgariser ses ouvrages pour les mettre à la portée de tous, et non employer un langage érudit au service d’une minorité. Il combattit en faveur de plusieurs causes qui font figure de leitmotiv dans la pléiade de ses œuvres. Tout d’abord, la religion ou devrait-on dire le fanatisme religieux. Cette formule célèbre « il faut écraser l’infâme » est un pamphlet contre l’intolérance et l’obscurantisme religieux

à écrire et meurt très jeune. Il est considéré comme un poète maudit, il s’est drogué pour calmer sa maladie et sa dépression mais non pas pour l’inspiration. B. Mouvement littéraire (contexte culturel) 1. Le Romantisme Modernisation de la poésie au 19ème s. Le Romantisme commence au 2ème quart du siècle est un mouvement centré sur l’individu et l’exaltation des sentiments. La poésie admis un renouvellement des formes (on écrit bc en alexandrin, première liberté en utilisant le trimère

la seconde moitié du XIXe siècle qui avait pour but de valoriser l’art poétique par la retenue, l'impersonnalité et le rejet de l'engagement social et politique de l'artiste. Le Parnasse apparaît en réaction aux excès lyriques et sentimentaux du romantisme imités de la poésie de Lamartine et de Musset (voire aussi les romanciers et dramaturges tels que Nerval et Hugo), qui mettent en avant les épanchements sentimentaux aux dépens de la perfection formelle du poème[1] Pour les Parnassiens l'art n'a

Le Réalisme. Les réalistes rejettent l'idéalisme et le sentimentalisme du romantisme ainsi que le formalisme bourgeois du classicisme. Le terme « réalisme » vient du latin « realis » signifiant « réel » (de « res » = chose, réalité). Au sens large, une oeuvre réaliste s'applique à représenter les hommes et le monde tels qu'ils sont: son esthétique est donc fondée sur la représentation

autres, et qu’elle mène le combat, armée, triomphante en contraste avec la mort autour d’elle. —> Les gamins de Paris A droite, devant la Liberté, figure un garçon. Symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice et du sacrifice pour les nobles causes, il évoque, avec son béret de velours noir d’étudiant, le personnage de Gavroche que l’on découvrira dans Les Misérables (Livre de Victor Hugo) trente ans plus tard. —> Le personnage à la droite de la liberté avec un haut-de-forme pourrait être

idéalisation de la femme raffinée. Les chevaliers combattent pour faire leurs preuves pour leur dame. Dans le combat, il n'y a pas de véritable barbarie. La femme aimée est souvent mariée et cet amour demeure platonique. Cette idéologie annonce déjà le romantisme (XIXe siècle). Poésie Elle est souvent associée à la musique (ballade et chanson) et donc à l'époque des trouvères et des troubadours. Les productions littéraires et orales sont peu écrites. Théâtre Ce sont les thèmes religieux qui sont repris

(…) traditionnelles » (Gresle et Al., 1990). Parmi ces lois générales, l’anthropologie médicale porte une attention spécifique aux modalités de penser la maladie et de la soigner, c’est-à-dire aux « conceptions populaires et professionnelles, aux causes des problèmes de santé, à la nature des traitements (…), aux thérapeutes qui appliquent ces traitements, aux processus par lesquels les individus recherchent de l’aide et aux institutions qui régissent l’espace socioculturel de la santé » (Massé,

manière réaliste. L’extrait étudié, qui décrit la mort d’Emma Bovary, en est un concentré. En quoi cette scène s’oppose t elle au Romantisme ? L’opposition ressort dans un premier temps de la mort elle-même puis d’Emma. En premier lieu, la description, par sa dimension à la fois réaliste, religieuse et théâtrale met en exergue l’opposition de cette scène avec le Romantisme. Tout d’abord, c’est par son aspect réaliste et concret que la mort est anti-romantique. Flaubert, fils de médecin, décrit

menace et la contrôle, la marquise devient ainsi, un instrument politique pour ses propres ambitions d’accès au pouvoir. De même, Louise Strozzi le devient aussi, par la provocation de Salviati face au Prieur de Capoue qui était son frère, et qui va causer la colère de Pierre Strozzi, qui décide de venger sa sœur. Celui-ci blesse presque mortellement Salviati, qui demande au Duc vengeance, et crée, encore une fois, un conflit politique entre les républicains et les nobles. Enfin, l’enjeu le plus

et prend la place de la duchesse dans le coeur du jeune homme. Elle contraint Frabrice aux ténèbres. Fabrice reçoit dans ce roman de nombreuses leçons de vie tout en étant à la recherche du bonheur. Une oeuvre ambivalente entre réalisme, romantisme. C'est une œuvre difficile à définir et à classer dans un genre particulier car elle comporte des aspects qui correspondent tout à fait au mouvement romantique, mais c'est avant tout et surtout une oeuvre ambivalente. Car elle est à la fois