Les Belles Soeurs

La famille dans « Le Roman de Renart » de Mathis et MartinDans « Le Roman de Renart » de Mathis et Martin il y a beaucoup de thèmes essentiels de valeur existentielle comme la famille, c’est laquelle on va traiter tout de suite, aussi l’amitié, l’amour, la foi, la trahison et bien d’autres. La famille est un sujet qui intéresse de nombreux auteurs pendant les siècles et qui apparaît comme un des thèmes principaux dans presque chaque œuvre célèbre. (Pendant les siècles les divers courants littéraires

lecture: « C'est ma mère qui m'a donné, qui a nourri ce plaisir de lire depuis ma petite enfance ». Depuis, elle vit toujours avec des livres, elle y trouve des choses belles à ses yeux et qui embellissent sa vie. On peut se demander également, si lorsque l'on est né dans une famille où les parents, les frères et/ou sœurs apprécient le fait de lire, on s'oriente naturellement vers la lecture et la considérons comme un loisir ou un art à part entière. Après m'être interrogée sur les façons par

Œuvres : -Romans : * Une vie (1883) * Bel-Ami (1885) * Pierre et Jean (1887) * Mont-Oriol (1887) * Fort comme la mort (1889) * Notre cœur (1889) ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- -Nouvelles et contes: * La Maison Tellier (1881) * Mademoiselle Fifi (1882) * Contes de la bécasse (1883) * Clair de lune (1883) * Miss Harriet (1884) * Les Sœurs Rondoli (1884) * Yvette (1884) * Contes

occasionne-t-il l’exploitation, la ruse, la tricherie et la trahison. L’amour qu’il portait à sa fille est ainsi la cause de ruine, et pire le père n’a jamais eu en retour l’amour qu’il avait offert. Eugène a de la chance, en sera-t-il de même pour ses sœurs ? En tout cas, elles ont de l’amour, sincère pour leur frère, car elle sacrifie leur argent pour lui, pour son bonheur, pour lui sauver la vie. Elles lui témoignent donc leur amour par le geste mais également par la parole. Dans la lettre de Laure

deux épouses des frères Dutâque, qui sont à la tête (4) ADR P157-Dossier veuve Roux. Pharmacie. 195 PEGGY BETTE d’une plomberie depuis 1908. Jusqu’en août 1918, date du décès du deuxième frère (le premier est mort en 1915), les deux belles-sœurs ne font aucune démarche pour vendre, dans l’idée que l’entreprise serait reprise par le frère encore vivant. Ce motif devenant caduc à la mort de ce dernier en 1918, elles n’ont plus aucune raison de garder le fonds de commerce : elles le vendent

éclater la tête du jeune homme contre sa cabane jusqu'au moment où Madeleine lui avoua son amour pour Marin Marais. Le père se calma illico. Il lui proposa la main de sa fille et Marais n'arriva pas à accepter (il travaillait déjà à Versailles avec de belles demoiselles pleines de couleur, de formes et d'amour à revendre, rien à voir avec la pâlichonne Madeleine...). Il continua pourtant à venir chez les St-Colombe, à recevoir des leçons. Un jour, il coucha avec la sœur cadette de Madeleine, Toinette

Flaubert qui le guide sévèrement en littérature. Il rencontre aussi Zola. Interné a la fin de sa vie après une tentative de suicide. Œuvres : « Boule-de-Suif » 1880 ; « Le Horla » 1887 ; « Pierre et Jean » 1888 « Bel-ami » 1885. - Huysmans Joris-Karl (1848-1907) : Œuvres «  les Sœurs Vatard » 1879 ; «  A rebours » 1884. Le Symbolisme : S’efforçant des dépasser les limites offertes parla réalité, il voit dans l’art un moyen d’exprimer la part

jamais je ne ris. Les poètes, devant mes grandes attitudes, Que j'ai l'air d'emprunter aux plus fiers monuments, Consumeront leurs jours en d'austères études ; Car j'ai, pour fasciner ces dociles amants, De purs miroirs qui font toutes choses plus belles : Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles ! Sed non satiata Bizarre déité, brune comme les nuits, Au parfum mélangé de musc et de havane, Oeuvre de quelque obi, le Faust de la savane, Sorcière au flanc d'ébène, enfant des noirs minuits

nous profiterions des belles choses de cette terre! Mais maintenant la bourse s'est effondrée! L'argent ne vaut plus rien ! Pourtant, vous nous aviez fait croire que si nous obtenions de l'instruction, tout nous réussirait! Mais finalement, nous n'avons pas amassé des trésors dans le ciel et nous nous trouvons devant cette guerre d'Har-Maguédon dont nous parlaient souvent les Témoins de Jéhovah! Et ils tueront aussi ceux là ! Il n'y aura aucunes lumières chères frères et sœurs lorsque la grande tribulation

tout te va ! LA BELLE MÈRE – Oui, je sais ! Hier encore, on m’a dit la même chose dans un magasin ! C’est fou à vous tout vous va ! Et puis vous faites si jeune ! Vos filles, si on savait pas que c’était vos filles, on les prendrait pour vos sœurs ! LES DEUX SŒURS - On sait, tu nous as dit déjà. LA BELLE MÈRE - On me le dit tous les jours, c’est pour ça ! C’est fatigant à la longue… des fois même je me demande si j’aimerais pas mieux faire mon âge, comme les autres !  SON des aboiements de chiens C’est