Les Beaux Gosses

Les chiens sont les plus beaux animaux de la planètebwjrdbjabdjwhfjwnfknwifnwiw fianfsihfisbfinsbfisnfisnfisnovjsocjsonfsonfvosnvosgnsonvosn- fosngos fnosnfosjfianfisnkfnsknfsjbfeibfiehfisbfjabfjsbfisbfisbifebb- fisbfisb dkabkbdiwbfjwbfjsbifbfjabcjabafwufhwjhfiahfishbfujsgfuehbfei- kffbefishvnvksksjssjdjndnd LIVRES NUMÉRIQUE CINÉMA THÉÂTRE JAZZ SÉRIES PHOTO ART ROCK ARCHITECTURE DANSE CLASSIQUE de Pierre Assouline EN SAVOIR PLUS La République Des Livres par Pierre Assouline ACCUEIL

et le but du journalisme, c’est de faire du tirage. Selon moi, soit ils sont tombés dans la drogue, genre ecstasy, laquelle a annihilé leurs tendances violents, et/ou dans la délinquance organisée ; soit ils se sont mariés et rangés, auquel cas les gosses d’aujourd’hui n’ayant plus trop les moyens de sortir, il n’y a guère de renouvellement des générations, plus de jeunes pour porter leurs chaussures, les Doc Martens, vous savez, et la race des hooligans s’est lentement dirigée vers l’extinction, comme

les yeux. Une jeune femme se tenait devant lui, serrant doucement sa main entre ses doigts fins et mats. Une bohémienne. Fluette, elle disparaissait presque dans les replis de ses vêtements sombres. — Je vais lire ton avenir. Elle le fixait de ses beaux yeux noirs. Regard dense, profond, bienveillant sans être souriant. Autour d’eux, la foule les frôlait en défilant. Le regard de la jeune femme descendit alors sur la main de Jonathan. Ses doigts chauds et doux écartèrent lentement les siens, d’une

choses qu’il trimballe, il ne contrôle rien. Il perd la tête et ne peut plus fuir. (Cendrars dit avoir vu le diable ce soir-là.) Pendant ce temps, on voit la femme se faire en beauté, elle n’a pas de pudeur et éclate de rire, et sort vêtue de ses plus beaux atours, munie d’un fouet. Elle achève pauvre Martin. L’après-midi de la même journée, la femme trône avec ses jumeaux et Martin fait la lessive. Elle se lève de temps en temps et va batifoler avec des gens (toujours différents) dans le buisson derrière

fruitiers : des oliviers, des amandiers, et même un bananier, chose inconnue dans la région. Quand il trouvait un nid dans un arbre, il était heureux. Il considérait les oiseaux qui venaient dans ses champs comme ses protégés. Il avait chassé les gosses qui s’en prenaient à ces oiseaux paisibles et mis durement à l’amende leurs parents en tant qu’anflouss. Ceux-ci durent morigéner leur progéniture car plus personne ne pilla les nids. Attenant à sa maison, un petit verger produisait des clémentines

retard. Mais sûrement, quand elle a vu que le boulot était mauvais, elle a pensé que c'était là la raison pour laquelle je le lui avais cédé. La même rouquine, au temps des mises à pied, ne tenait pas du tout à ce qu'on en exempte celles seules et avec gosses. Simone Weil, La condition ouvrière (1951) 46 Je ne trouve rien d'autre. Robert me refuse un travail parce que, dit-il, je louperais la moitié. Je vais donc simplement causer avec le magasinier, bien contente en un sens, car je suis à bout

| |C'était un lundi, en fin de matinée, aux cuisines scolaires du boulevard Carl Vogt, entre deux piles d'assiettes, au milieu | |d'enfants joyeux et turbulents face à des animatrices bienveillantes bien que parfois excédées par les cris des gosses. Comme je | |m'étonnais de la discrétion de la Franc-Maçonnerie contemporaine, de notre Atelier, notamment, sur les problèmes de société en | |général, des sujets sur lesquels tant de nos prédécesseurs s'étaient imposés vers la fin du dix-neuvième

a rompu avec son chum et perdu son emploi. La vie n'a plus de sens pour elle. Elle ne sait plus quoi faire. Un gars approche. - Faut pas pleurer. Tu es jeune. Il peut t'arriver plein de belles choses. - Comme quoi? - Tu pourrais faire de beaux voyages. Découvrir le monde. - Ouais, mais je suis seule. Je n'ai pas d'argent. - Ben viens avec moi. Je vais t'emmener en Europe. - Comment ? - Tu montes dans le bateau. Je te cache. On ne paie pas et je vais te nourrir tous les jours

dans une nouvelle phase de travaux visant à l’accueil, dès 2007 de l’Ecole nationale des Beaux Arts N u Projet artistique Les Subsistances sont un lieu de confrontation et d’expérimentation consacré aux nouveaux langages du spectacle vivant : danse, théâtre, nouveau cirque, musique... Elles développeront aussi des activités dans le domaine des arts visuels en collaboration avec l’Ecole Nationale des Beaux-arts en 2007. Elles proposent à des artistes un temps de résidence et un soutien financier

l’art afin d’accompagner cette évolution des programmes. De plus, des classes spéciales seront créées dans des domaines artistiques comme le théâtre et les arts plastiques, en partenariat avec les conservatoires d’art dramatique et les écoles des Beaux-arts. Les élèves qui intégreront ces classes seront choisis sur des critères de motivation uniquement. La République Des Enfants – Mémoire de fin d’études 10 Réaffirmer la nécessité d’un contact avec les œuvres, les artistes et les institutions