Les Armes De La Douleur

tester leurs nouvelles armes. L’attaque commence à 16h30 et se termine aux alentours de 19h45. Durant deux heures, les troupes d’Hitler et de Mussolini ne lâchent pas moins de 50 tonnes de bombes incendiaires. II- Description Ce tableau doit se lire comme une frise, de gauche à droite. Tous les portraits sont peints de profil, sauf celui du petit garçon. Au premier plan : La femme criant avec son enfant mort dans les bras : Elle exprime une douleur universellement compréhensible

Présenter le contexte : Durant la guerre espagnole, les nationalistes, dirigés par Franco veulent prendre le pouvoir sur les Républicains. Alors, le 26 Avril 1937, leurs alliés les Allemands bombardent la ville de Guernica, pour tester leurs nouvelles armes et en croyant qu'elle contenait des troupes républicaines. Mais, il n'y avait que des civils : des femmes, des enfants et des vieillards car les soldats étaient partis combattre sur le front. Picasso, qui était avec les républicains, fut horrifié et

compliments. Ma foi ! Saurai-je quand poindra ce jour de fête Inconnu de nos têtes, et loué des prophètes ? Les armes des redoutables, l’argent des riches L’intelligence des surdoués disparaîtront. Dans le même panier seront gueux et patrons. Et ce sera impossible d’user des triches. Le pendu verra son bourreau des temps lointains Qui ne pourra plus lui infliger des douleurs, L’opprimé reconnaîtra bien son oppresseur. L’assassiné abordera son assassin. Le raciste sollicitera la pitié

l’horreur qui se déroule devant leur yeux, ils sont impuissants et innocents. Contenu historique: Ce jour là, défoliants, napalm, phosphore: pendant la guerre du Vietnam, l’armée américaine et son allié sud-vietnamienne utilisent massivement des armes chimiques. Quand, le 30 avril 1975, la guerre prend fin, le pays réunifié n’est plus qu’un champs Page 3 de bataille. En quinze ans, le conflit a fait 1,7 millions de victimes, 5 millions de mutilés, tandis que des régions entières sont contaminés

et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par la finesse du contour on peut aussi voir qu’il a dans sa main droite une épée couper qui montre bien qu’il s’est battu. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur ou Picasso voulait représenter le peuple en grand car le cheval et au centre du tableau, une lance transperce son flanc et le blesse à mort. La tête est rejetée en arrière, la bouche semble hurler et laisse visibles les dents et la langue pointue

empressement à trouver une issue politique à son différend avec Néron au sujet de Junie (« La moitié du Sénat s’intéresse pour nous : / Sylla, Pison, Plautus,… », v. 905-06), il se console toutefois dans l’amour (« Sans doute on ne veut pas que mêlant nos douleurs / Nous nous aidions l’un l’autre à porter nos malheurs », v. 297-98). Le trait de caractère le plus remarquable du personnage est sa crédulité. C’est un même aveuglement qui l’afflige face à Narcisse, à qui il fait une entière confiance (« […] je

causer des douleurs volontaires, pour chercher pendant ce temps l’expression du plaisir. Je me suis travaillée avec le même soin & plus de peine pour réprimer les symptômes d’une joie inattendue. C’est ainsi que j’ai su prendre sur ma physionomie cette puissance dont je vous ai vu quelquefois si étonné. J’étais bien jeune encore, & presque sans intérêt : mais je n’avais à moi que ma pensée, & je m’indignais qu’on pût me la ravir ou me la surprendre contre ma volonté. Munie de ces premières armes, j’en

ville basque de Guernica. Durant 3 heures 30,l’aviation allemande bombarde et incendie la ville de façon sanguinaire, utilisant des mitrailleuses contre les personnes effrayées qui tentaient de fuir l’horreur. Le but des nazis était de tester leurs armes, mais en même temps de soutenir Franco en démoralisant une population civile. Il y eut 1654 morts, hommes, femmes et enfants, et plus de 800 blessés, sur une population totale d’environ 7000 personnes. Déjà avant le bombardement, le gouvernement

exclusif à celle-ci. 2. Une prise de conscience douloureuse Pierre prend conscience, réalise que Jean n’est pas son frère et que sa mère a aimé M. Maréchal : il s’explique enfin l’origine de l’héritage. Cette prise de conscience se fait dans la douleur : les manifestations physiques (« frissons », « sentir battre son cœur », »bouche crispée ») de la souffrance de Pierre le prouvent. De plus, les mouvements du personnage montrent son vertige : « il jeta 20 sous », « il sortit », « le besoin de s’asseoir »

est-il « féministe » ? * XVIII : Comment désir et rhétorique s’associent-ils ici pour séduire le lecteur ? * XXIII : Quelle image de l’amour ce sonnet propose-t-il ? - Quelles sont les ressources poétiques de l’auteur pour exprimer à la fois douleur et passion ? * XXIV : Comment cette adresse passe-t-elle de la justification à la confession ? * Du Bellay (« Déjà la nuit en son parc... ») : Comment le poète orchestre-t-il la pointe finale ? Montaigne, Des Coches / Des Cannibales (autobiographie)