Les Armes De La Douleur

l’évocation des sentiments, de la douleur ou politique et d’implication Le cri peut être un cri de douleur ou la souffrance est la source d’inspiration. Victor Hugo, un auteur romantique, crie sa souffrance à travers le poème « demain dès l’aube. » Il écrit son poème pour sa fille qui venait juste d’être décédée Il décrit son trajet pour aller voir sa tombe : il se décrit et donne une certaine atmosphère sombre. Ce poème est de nature d’ un cri car Hugo crie sa douleur à la fille qu’il aimait tant

(Corrida) et le cheval c’est le peuple. [pic]Les corps sont disloqués et les visages expriment la douleur. [pic]Construction du tableau en pyramide : notre regard est porté vers la lampe et la bougie (symbole de l’espoir). [pic]La figure centrale du tableau est un cheval blessé, une jument plus exactement, dont le corps est marqué par le viol. À gauche, une femme porte son enfant mort et hurle de douleur. Derrière elle, un taureau, impassible, image de la cruauté et de la force brutale. À droite du

et Républicains. Le bombardement de Guernica : Le 26 avril 1937, jour de marché, quatre escadrilles de la légion Condor, protégées par des avions de chasse italiens, procèdent au bombardement de la ville de Guernica afin de tester leurs nouvelles armes. L'attaque commence à 16h30, aux bombes explosives puis à la mitrailleuse et enfin aux bombes incendiaires. Après avoir lâché quelques 50 tonnes de bombes incendiaires, les derniers avions quittent le ciel de Guernica vers 19h45. Après le massacre

de nombreux dessins et gravures au style extrêmement réaliste. Contexte historique : Œuvre à relier à la 1ère Guerre Mondiale (1914-1918) et à ses conséquences morales et humaines. Elle est la première guerre industrielle. L'usage de nouvelles armes très meurtrières a traumatisé les hommes et les femmes sur le front et à l'arrière. 10Millions de soldats sont morts au combat, des millions d'hommes reviennent du front mutilés ou blessés. La guerre est sur le point de se terminer car elle est devient

brutalité, de l'obscurité dans la corrida. Dans ce tableau, il représente les Nationalistes dans cette guerre. II/B/ Le cheval, quant à lui, incarne la victime innocente de cette corrida. Les différentes figures de l'animal traduisent la terreur, la douleur. Ce cheval représente le peuple opprimé et les Républicains. II/C/ La mère à gauche, celle-ci a le sein dénudé et tient un enfant mort dans ses bras. Nous pouvons constater que ses yeux ont la forme de larmes ce qui accentue le désespoir. Ce symbole

essaye de soulager sa peine. 5. Le poème est composé de 21 strophes de quatre vers chacune, donc de 21 quatrains. Chaque vers contient, soit 12 syllabes, soit 6. Les figures de style. Les champs lexicaux dans ce poème sont : la mort et la douleur. Ta douleur, Du Périer, sera donc éternelle, A + que riche Et les tristes discours B suffisante Que te met en l’esprit l’amitié paternelle A L’augmenteront toujours ! B Le malheur de ta fille au tombeau descendue C suffisante

pouvoir dans son pays. Le 16 avril 1937, c'est un jour de marché à Guernica. Cette ville du nord de l'Espagne est la cible d'une attaque aérienne de la part des Allemands. A la demande de Franco, 4 avions bombardent la ville, pour "tester de nouvelles armes". L’objectif n’est pas militaire, le but est bien de tuer un maximum de civils car, dans la ville de Guernica, il ne restent plus que les femmes et les enfants. En effet, les hommes de la ville sont partis combattre les franquistes. Les bombardements

d'obtenir ses droits dont celui de liberté d'expression. Discours, paroles, mots sont pour l'Homme l'un des outils de communication de ses pensées, ses sentiments, ses désirs, ses regrets, sa haine, sa joie… Mais les mots sont également l'une de ses armes de protection et/ ou d'attaque. Alors y-a-t-il des limites que l'être humain doit respecter pour ne pas offenser autrui lorsqu'il s'exprime? Les mots sont-ils la meilleure arme pour atteindre sa cible? Nous allons tâcher d’y répondre en abordant des

un échec, un désastre ! Partout des morts ! Lorsque j’avançais les sentiments n’existaient plus, la peur, l’amour, plus rien n’avait de sens. Il importait juste d’aller de l’avant, de courir, de tirer et partout les soldats tombaient en hurlant de douleur. Perdu dans le brouillard, le fusil à l’épaule j’errais, la sueur dégoulinant dans mon dos. Le champ de bataille me donnait la nausée. Un vrai charnier s’étendait à mes pieds. J’ai descendu la butte en enjambant les corps désarticulés, une haine

par Hitler afin de soutenir le général Franco. Le 26 avril 1937, jour de marché, quatre escadrilles de la légion Condor, protégées par des avions de chasse italiens, procèdent au bombardement de la ville de Guernica afin de tester leurs nouvelles armes. L'attaque commence à 16h30, aux bombes explosives puis à la mitrailleuse et enfin aux bombes incendiaires. Après avoir lâché quelques 50 tonnes de bombes incendiaires, les derniers avions quittent le ciel de Guernica vers 19h45. Après le massacre