Les Animaux fantastiques

Trois contes, Mme Bovary - Gautier : Le Roman de la momie - Hugo : Notre-Dame de Paris, Quatre-vingt-treize, Le dernier jour d’un condamné, Les Misérables,Les Contemplations - Maupassant : Boule de Suif, Pierre et Jean, Une Vie, Le Horla, contes fantastiques ou nouvelles réalistes… - Mérimée : Carmen, Colomba , La Vénus d’Ille - Stendhal : Vanina Vanini, le Rouge et le Noir, La Chartreuse de Parme - Verne : tout - Zola : Au Bonheur des dames, Germinal, Thérèse Raquin IV- XXe S. : - Alain-Fournier

Ce texte parle du romantisme féérique entre un monde fantastique et le monde des humains. .Dans Gaspard de la nuit, A. Bertrand explore, à travers de courts poèmes en prose, le royaume du rêve, des hallucinations nocturnes et du fantastique. - Dans le texte, «Ondine», il reprend une vieille légende germanique, selon laquelle un peuple immortel étrange, les Ondins, vit au fond des lacs. Leurs filles tombent parfois amoureuses d'un humain.Nous étudierons ce texte en deux grandes parties :premiérement

composéÉtudiez la tension présente dans cette scène, en vous interrogeant sur la signification symbolique de la métamorphose qui allie le grotesque fantastique à la réflexion philosophique. INTRODUCTIONCet extrait met en scène la métamorphose progressive de Jean en rhinocéros. Cette transformation apparaît tout à la fois ridicule et étrangement fantastique. Elle s'opère lors d'un dialogue serré, véhément et rapide qui oppose deux protagonistes : tandis que Jean, péremptoire et agité, défend la légitimité

376) Le roman de Balzac est hybride : période historique bien déterminée et personnages de l’époque => roman réaliste page 378-379. Mais es également fantastique –> la peau de Chagrin, page 379. Pour Balzac, toute personne est susceptible d’être soumis à la passion or il voit la passion comme un feu interne qui ronge. Conte oriental et fantastique. Le festin chez Taillefer Lecture analytique de l’extrait page 71 à 74 (l. 1807 – 1869) Plan : I- Organisation de la dernière étape du festin A)

grotesque ou fantastique. 1.Le fantastique et le romantique Les châteaux sont à l’image de leur habitant : si le roi est emporté par une folle passion comme dans Peau d’âne, les façades sont imposantes et dans l’obscurité ( illustr ; p223 «  la princesse, outrée.. ». Cette noirceur/ registre fantastique ou gothique représente l’aspect maléfique du pouvoir. On retrouve cette adéquation avec la demeure de l’ogre ou de B.Bleue. La demeure royale peut également être plus romantique que fantastique ( BBD)

le décrit comme repoussé donc on le considère comme repoussant. Dans les chapitres 14 à 22 ® Grenouille est toujours repoussé mais on reconnait son talent. L’auteur utilise des métaphores (tique, araignée et crapaud) et des comparaisons à des animaux pour expliquer que Grenouille est toujours repoussé. Mais il est RECONNU pour son talent, c’est la que Grenouille va réaliser son dessein de devenir le plus grand parfumeur du monde. Commentaire analytique: L’auteur continue de suggérer un

Commentaires I- Mélange de réel et d’étrange Dans cet extrait se mêlent réel et fantastique. Le narrateur utilise l’ironie pour dire que l’omnibus apparaît subitement « sortait de dessous terre » (l.3). La description des hommes présents sur l’impériale caractérise aussi l’étrange dans cet extrait « l’œil immobile » (l.5), « paraissent avoir perdu la vie » (l7). L’opposition entre «ils sont pressé » et « le nombre réglementaire n’est pas dépassé » crée un effet anormal. Le narrateur utilise

l'eau sont associés. Le quatrièmes élément le dirige dans sa trajectoire comme c'est dit à ligne 22. Donc ce qui le motive c'est l'envie de se réchauffer ce qui fait référence au feu à ligne 28-29. Il est donc soumis à ses pulsions et donc à un état animal il n'est qu'un corps qui souffre du froid d'ailleurs il n'est même pas nommé même au moment ou on identifie la fosse et toujours pas la personnage principal. Preuve du naturel sur l'humain. Tout ce qu'on l'on connaît sur lui est l'anaphore du "sans"

représenter les scènes et donc l’histoire nous paraît plus réelle et plus intéressante. Dès le début de la nouvelle le narrateur installe une atmosphère tendue en employant un champs lexical de la peur comme « frisson » ou « un gros serpent noir », animal qui fait plutôt peur. Cela crée des tensions et du suspens, ce qui nous incite à lire le texte jusqu'à la fin. Malheureusement il me semble que le titre étant « la peur » on s’attend à une fin terrible voir terrorisante. On s’attend même à ressentir

l’anxiété. Sonorités [i] [f] Rythme V 1509 1/2/3/3/3 L’onde s’approche,se brise et vomit à nos yeux » : accu de verbes, rythme du mvt des vagues Fantastique Effet produit par le monstre : panique générale « ciel, terre, ait, flots, tt fuit » Perso des éléments nat Vision rapprochée, en « travelling » Vivace, fortissimo 1524 : 2/4/2/4 1525 : 2/1/3/3/3 fantastique Combat héroïque d’H Vision rapprochée, détails décrits pr renforcer horreur Descrpt° effrayante du montre rime « bondissant/mugissant » « Gueule