Les Amours Des Dieux Par Francois Boucher

Berguin, http://remacle.org/bloodwolf/tragediens/euripide/medeefr.htm Delacroix, Médée sur le point de tuer ses enfants, Louvre, 1838 Paul Cézanne, Médée d’après Delacroix, 1880-1885, Kunsthaus Zurich 4 1. Prologue : la Nourrice (v. 1-44) Plût aux dieux que le navire Argo n'eût pas volé par-delà les Symplégades1 bleu sombre vers la terre de Colchide2, que dans les vallons du Pélion le pin ne fût jamais tombé sous la hache et n'eût armé de rames les mains des héros valeureux qui allèrent chercher pour

moins timide, Part et se croit libre en quittant La rive où sa mère l’attend Dans le nid qu’il a laissé vide. Il voltige autour des palais, Orgueil de la cité prochaine, Et voit ses frères qu’on enchaîne, Se débattre dans des filets. Les amours et la liberté, Puni par la captivité Des doux sons de sa voix touchanté. De l’Olympe il voit l’aigle altier Briser, pour sortir d’esclavage, Son front royal et prisonnier Contre les barreaux de sa cage. Vers sa mère il revient tremblant

science-fiction et ses personnages proposent-ils une vision du monde ? Perspectives d’étude : le genre littéraire de la science fiction, la dimension apocalyptique de l’œuvre, le concept de héros. Lectures analytiques : 1- L’incipit du roman : de « François Deschamps soupira d’aise » à « deux ou trois mille kilomètres à l’heure », édition Folio pp.11-14. 2- Le portrait de Jérôme Seita : de « Jérôme Seita vint s’asseoir » à « Le printemps entrait avec elle », Folio pp.31-33. 3- Le renouveau :

personnages renvoient à la fable comme avec les femmes au fond qui comme les muses jugent la tapisserie. Le second plan est remplit de lumière avec une profondeur qui créée la troisième dimension. La tapisserie reprend le motif d’Arachné avec les amours des Dieux et des Humains dans une structure en abyme. -Mercure et Argos (1659) : c’est un tableau surélevé car placé en haut de porte. Les personnages ont leurs attributs symboliques et la scène représente leur intrigue. Le veau représente la nymphe Io

branche aînée, mais non la plus riche et la plus fameuse, d'une famille d'ancienne noblesse : son grand-père, Eustache, avait été chambellan du roi René d'Anjou ; il avait pour oncles Guillaume de Langey, homme de guerre, diplomate, ambassadeur de François Ier, et historien ; Jean Du Bellay, évêque de Paris, cardinal, ambassadeur de Henri II ; Martin Du Bellay, gouverneur général de Normandie ; René Du Bellay, évêque du Mans. Son père avait eu quatre enfants (René, Catherine, Jean et Joachim). Il

(frères, beaux-frères, époux)  la tension dramatique amenée par le langage (les phrases à double entente, les anticipations prophétiques, les malédictions, les hypotyposes…)  les conflits de valeurs et l’opposition des stratégies argumentatives François Hubert, février 2013 francois.hubert@ac-strasbourg.fr 2 ŒDIPE 1. Sophocle, Œdipe – Roi, v. 300 – 462. Traduction Hachette, 1898. Source : Hodoi. Tragédie jouée peut-être vers 430 av. J.-C, qui servit un siècle plus tard de modèle à Aristote

aèdes ont le pouvoir de créer par les mots et ce pouvoir, , est . révèle le pouvoir de la : Alors qu’Orphée et Eurydice viennent de se marier, Eurydice est mordue par un serpent. Orphée, descend aux enfers et parvient à charmer et à émouvoir les dieux en exprimant sa douleur d’avoir perdu sa bien-aimée, accompagnée de sa lyre. ▶ LE MOYEN ÂGE. Comme la poésie antique, la poésie médiévale est Les œuvres sont et par les trouvères et les troubadours (du XIe au XIIIe s.), dans la cour du puissant

Par la fatigue du cilice, Par le chapelet récité, A ce point votre âme s’emplisse D’enfantine crédulité, Que, ployant sous les disciplines Et mortes avant le cercueil, Vous vous sentiez bien orphelines En voyant vos habits de deuil ! François Coppée Soleil et chair I Le soleil, le foyer de tendresse et de vie, Verse l'amour brûlant à la terre ravie, Et, quand on est couché sur la vallée, on sent Que la terre est nubile et déborde de sang ; Que son immense sein, soulevé par une

J’oppose quelquefois, par une double image, Le vice à la vertu, la sottise au bon sens, Les agneaux aux loups ravissants, La mouche à la fourmi, faisant de cet ouvrage Une ample comédie à cent actes divers, Et dont la scène est l’Univers. Hommes, dieux, animaux, tout y fait quelque rôle, Jupiter comme un autre. Introduisons celui Qui porte de sa part aux belles la parole : Ce n’est pas de cela qu’il s’agit aujourd’hui. Un bûcheron perdit son gagne-pain, C’est sa cognée ; et la cherchant en vain,

le faire venir jusque dans ce palais, J'irai plus loin encore ; et pour faire connaître Qu'il a tort en effet de me nommer un traître, Scène III 23 Théâtre complet Et que je ne suis pas un tyran odieux, Que l'on fasse parler et le peuple et les dieux. Si le peuple y consent, je lui cède ma place ; Mais qu'il se rende enfin, si le peuple le chasse. Je ne force personne, et j'engage ma foi De laisser aux Thébains à se choisir un roi. Scène III 24 Théâtre complet Scène IV Jocaste, Etéocle