Les Amants magnifiques

| | Voici le printemps La douceur du temps Nous fait des avances Partez mes enfants Vous avez vingt ans Partez en vacances Vous verrez agiles Sur l'onde tranquille Les barques dociles Au bras des amants De fraîches guinguettes Des filles bien faites Les frites sont prêtes Et y a du vin blanc {Refrain:} Ah ! le petit vin blanc Qu'on boit sous les tonnelles Quand les filles sont belles Du coté de Nogent Et

insupportable à Emma. Cependant tout cela semble exagéré. En particulier le décalage entre la profondeur du désespoir d'Emma et la banalité de ce à quoi elle le compare. Cet image minimise la gravité de ce qu'elle vit. Bien que cette comparaison soit magnifique par sa force et sa concentration, elle décrédibilise un peu Madame Bovary dans son refus d'assumer sa condition. Le sentiment d'ennui est exprimé de manière riche et par des procédés esthétiques différents exploités finement par l'auteur pour mieux

fléau : l’alcool. Ce roman nous amène à la conclusion que c’est en travaillant dur, même si l’on part de rien, que l’on arrive à une situation stable et qu’il faut prendre garde à ses fréquentations car c’est Coupeau, son mari, et Lantier, son ancien amant, qui la poussent dans la misère. On en apprend donc beaucoup grâce à un seul personnage car la persévérance est l’une des qualités nécessaires pour réussir socialement dans le monde actuel. Ensuite, vient un deuxième point, la richesse du roman et

bicéphale !– Mais non ! ce n'est qu'un masque, un décor suborneur,Ce visage éclairé d'une exquise grimace,Et, regarde, voici, crispée atrocement,La véritable tête, et la sincère faceRenversée à l'abri de la face qui ment.Pauvre grande beauté ! le magnifique fleuveDe tes pleurs aboutit dans mon cœur soucieux,Ton mensonge m'enivre, et mon âme s'abreuveAux flots que la Douleur fait jaillir de tes yeux !– Mais pourquoi pleure-t-elle ? Elle, beauté parfaite,Qui mettrait à ses pieds le genre humain vaincu

la main possessive. Le poète, lui, voit dans cette femme la puissance du désir et de l’imagination. « Si ce que j’aime m’est accordé/Je suis sauvé » et « Si ce que j’aime se retranche […] je suis perdu ». Chacun est libre de voir en cette femme une amante, une sœur ou autre. Mais une profonde frustration est à prévoir si un homme n’y trouve pas ou plus son compte. Le poète évoque aussi ‘’la solitude’’. C’est pour contrer cette dernière que l’homme se crée sa femme portative. Pour se défouler, pour

sa femme pendant longtemps et a remarqué qu'elle le trompait avec Laroche-Mathieu. Il mit alors en place un plan après avoir attendu la limite de temps pour que l'adultère soit accepté. Il rentra dans le petit logement que sa femme louait, où les amants ne pouvaient pas s’échapper et les policiers ainsi que Du Roy ont prit en flagrant délit sa femme avec Laroche-Mathieu. Du Roy demanda alors à Suzanne si elle était prête à s'enfuir pour se marier avec lui et élabora un plan afin qu'elle demande à

printemps de 182. Tout Rome était en mouvement : M. le duc de B**, ce fameux banquier, donnait un bal dans son nouveau palais de la place de Venise. Tout ce que les arts de l'Italie, tout ce que le luxe de Paris et de Londres peuvent produire de plus magnifique avait été réuni pour l'embellissement de ce palais. Le concours était immense. Licence : Domaine public 1 VANINA VANINI... ... OU PARTICULARITES SUR LA DERNIERE VENTE DE CARBONARI DECOUVERTE DANS LES ETATS DU PAPE C'était un soir

des poèmes. Il écrit un recueil dédié à la femme qu’il aime, Lou. En effet, le recueil, dont le poème « Si je mourais là-bas… » est extrait s’intitule Poèmes à Lou. On remarque d’emblée le réseau lexical de l’ « amour ». Apollinaire, l’ « amant » semble vouloir offrir à Lou, sa « bien-aimée », un bouquet « de fleurs » débordant de « couleurs ». On note aussi l’évocation de détails intimes. L’écrivain évoque les « jolis seins roses » de Lou, sa « bouche » et ses « cheveux ». Grâce à l’écriture

lui, d'une chenille, sortait lentement et royalement du port. Et le peuple havrais massé sur les môles, sur la plage, aux fenêtres, emporté soudain par un élan patriotique se mit à crier : "Vive la Lorraine !" acclamant et applaudissant ce départ magnifique, cet enfantement d'une grande ville maritime qui donnait à la mer sa plus belle fille. Mais elle, dès qu'elle eut franchi l'étroit passage enfermé entre deux murs de granit, se sentant libre enfin, abandonna son remorqueur, et elle partit toute

qu’a pris son amant : elle lui avait défendu de tenter une entreprise aussi délicate. Mais il faut épargner à ce qu’on aime jusqu’à la moindre inquiétude : il n’y a point à balancer ; on obéit à l’amour, en désobéissant à l’amante. Le devoir est tout en amour comme en guerre, et le péril n’est rien. Plus la démarche est téméraire, plus Ismène sera sensible… Ah! que l’amour donne de courage! Ah! que cette preuve de tendresse lui sera chère, et qu’elle en saura un jour bon gré à son amant! Isménias, près