Léon VI le Sage

Table des matières À MADAME LA COMTESSE DE NAJAC. I — Où l'on tue le veau gras pour fêter le retour d'un enfant économe. II — Déballage aux flambeaux. III — Le crime du savant professeur Meiser. IV — La victime. V — Rêves d'amour et autre. VI — Un caprice de jeune fille. VII — Testament du professeur Meiser en faveur du colonel desséché. VIII — Comment Nicolas Meiser, neveu de Jean Meiser, avait exécuté le testament de son oncle. IX — Beaucoup de bruit dans Fontainebleau. X — Alléluia

Exil, nomadisme et solitude dans l'œuvre poétique de Saint-John PerseExil, nomadisme et solitude dans l'œuvre poétique de Saint-John Perse Autor(en): Henry, Albert Objekttyp: Article Zeitschrift: Versants : revue suisse des littératures romanes = Rivista svizzera delle letterature romanze = Revista suiza de literaturas románicas Band (Jahr): 10 (1986) Persistenter Link: http://doi.org/10.5169/seals-287543 PDF erstellt am: 14.05.2022 Nutzungsbedingungen Die ETH-Bibliothek ist Anbieterin der digitalisierten

3 – L’exacerbation des rivalités dans la péninsule Dans les années 1490, une série d’évènements convainquent Charles VIII : il se décide à lancer l’aventure italienne. Dès 1492, la papauté, aux mains d’un pape ambitieux mais amoral, Alexandre VI Borgia, souhaite créer une principauté nouvelle en Romagne ( autour de Bologne ), que le pape souhaite donner à son fils, César Borgia. Les Médicis ( qui ne sont pas princes ) sont en position de faiblesse à Florence, bien qu’ils soient au pouvoir

l'Ancien Testament (Exode, Lévitique et Deutéronome) et celles du droit romain. Les clercs médiévaux ne retiendront que la partie pénale: parmi les 15 titres conservés, 3 traitent des délits sexuels: IV « Des adultères », V « De ceux qui souillent » et VI « Des noces incestueuses ». Dans un ordre croissant, l'adultère est le délit le moins grave (la Lex Julia de adulteriis permettait de tuer les adultères ou, faute de punition familiale, de les accuser pour obtenir la peine publique). La protection du

alors rois des Lombard, il conquière la Bavière en 778. Il se bat contre les Saxons, les Arabes, les Avares, il fait une conquête extraordinaire, il conquière l’Europe d’aujourd’hui. Au Noël de l’an 800, il est couronné empereur à Rome par le Pape Léon III. 3. Organisation de l’empire. On renoue avec une législation écrite, de nombreux capitulaires, sont adoptés en conseil royal, il y a environ 250 capitulaires. Il choisit comme capitale Aix la Chapelle. Il organise son empire en 300 comtés de

de Darius, conquis par Alexandre, ne se révoltèrent point contre les successeurs du conquérant après sa mort 2.6 V. Comment on doit gouverner les États ou principautés qui, avant la conquête, vivaient sous leurs propres lois ? 2.7 VI. Des principautés nouvelles acquises par les armes et par l’habileté de l’acquéreur 2.8 VII. Des principautés nouvelles qu’on acquiert par les armes d’autrui et par la fortune 2.9 VIII. De ceux qui sont devenus princes par des scélératesses

Platon devint le disciple de Socrate durant neuf ans, de -408 à -399, jusqu'à la condamnation de Socrate, qui avait résisté, entre autres, aux Trente Tyrans, refusant « d'obéir aux gens de l'entourage de Critias qui lui ordonnaient de leur amener Léon de Salamine, un riche démocrate, pour qu'il fût mis à mort »[p. 18],[p. 19]. À la suite de cette rencontre, Platon abandonna l'idée de concourir pour la tragédie grecque et brûla toutes ses œuvres. Il transmit l'enseignement de son maître tout en se

Platon devint le disciple de Socrate durant neuf ans, de -408 à -399, jusqu'à la condamnation de Socrate, qui avait résisté, entre autres, aux Trente Tyrans, refusant « d'obéir aux gens de l'entourage de Critias qui lui ordonnaient de leur amener Léon de Salamine, un riche démocrate, pour qu'il fût mis à mort »p. 18,p. 19. À la suite de cette rencontre, Platon abandonna l'idée de concourir pour la tragédie grecque et brûla toutes ses œuvres. Il transmit l'enseignement de son maître tout en se l'appropriant

qui courent sur son compte ? C’est qu’un jour, ayant été proclamé le plus sage des hommes par l’oracle de Delphes, il a voulu s’assurer si l’oracle disait vrai. Il a interrogé les hommes les plus sages, les hommes d’État, puis les poètes, puis les artisans. Il a trouvé, et leur a démontré que, se croyant sages, ils ne l’étaient pas. Il a ainsi reconnu qu’il avait au moins sur eux cette supériorité, c’est que, n’étant pas sage, il ne croyait pas non plus qu’il l’était. Les jeunes gens qui le fréquentaient

courent sur son compte ? C’est qu’un jour, ayant été proclamé le plus sage des hommes par l’oracle de Delphes, il a voulu s’assurer si l’oracle disait vrai. Il a interrogé les hommes les plus sages, les hommes d’État, puis les poètes, puis les artisans. Il a trouvé, et leur a démontré que, se croyant sages, ils ne l’étaient pas. Il a ain- si reconnu qu’il avait au moins sur eux cette supériorité, c’est que, n’étant pas sage, il ne croyait pas non plus qu’il l’était. Les jeunes gens qui le fréquentaient