Leó Szilárd

Los Alamos dans le Nouveau Mexique. En Europe, les conflits sont nombreux, violents. De part cela, de nombreux scientifiques décident d’émigrer aux Etats Unis, parmi eux on retrouve Albert Einstein, Enrico Fermi, Léo Szilard ainsi qu’Edward Teller. Avant de s’émigrer, le hongrois Léo Szilard décide d’envoyer une lettre au président des Etats Unis de l’époque, Franklin Delano Roosevelt, dans laquelle il précise que les allemands connaissent l’existence de l’arme nucléaire, et pourraient également la

distingue de la recherche appliquée). Devant les enjeux et les difficultés théoriques des recherches sur l’atome, les collaborations internationales se multiplient. Le projet Manhattan en est un exemple particulier : Robert Oppenheimer, Leo Szilard et Enrico Fermi soutenu par l’Etat américain font avancer la recherche. Depuis la fin de la 2nd Guerre mondiale , si la science reste un enjeu de puissance pour les Etats, la collaboration internationale, elle

également la recherche concrétisée du physicienErnest Rutherford et son collaborateur qui expliquent que la désintégration de certains noyaux d’atomes résultait de radioactivité.     Le 2 août 1939, le célébre mathématicien cosigne avec les physiciens Leo Szilard, Edward Teller et Eugen Wigner, une lettre au président américain Franklin Roosevelt expliquant les risques que présenterait l’Allemagne nazie si elle détenait l'arme atomique. C'est à la suite de ce message que ce dernier va créer le "Projet Manhattan"

Washington DC sur la possibilité que des neutrons peuvent être relâchés pendant la fission. Le projet Manhattan, nom de code de l'opération qui consiste à construire la 1ère bombe nucléaire, voit le jour grâce à l'intervention de quatre physiciens : Léo Szilàrd, Edward Teller, Eugene Wigner et Albert Einstein, tous réfugiés juifs. Inquiets de la possibilité des nazis de pouvoir fabriquer l'arme atomique, ils décident d'envoyer une lettre au président des États-Unis pour le prévenir. Le président de l'époque

chloroplaste. En 1928, les progrès récents de la physique montraient que l’on pouvait utiliser les électrons comme on utilise la lumière. A cette époque, deux physiciens, Leo Szilard et Denis Gabor (le premier participera à la mise au point de l’arme atomique, le second inventera les hologrammes) discutent entre eux dans un café: Szilard: «Busch has shown that one can make electron lenses, de Broglie has shown that they have sub-Angström wave lengths. Why don't you make an electron microscope, one could

Brittania En 1928, les progrès récents de la physique montraient que l’on pouvait utiliser les électrons comme on utilise la lumière. A cette époque, deux physiciens, Leo Szilard et Denis Gabor (le premier participera à la mise au point de l’arme atomique, le second inventera les hologrammes) discutent entre eux dans un café: Szilard: «Busch has shown that one can make electron lenses, de Broglie has shown that they have sub-Angström wave lengths. Why don't you make an electron microscope, one could

scientists of many countries, but the conversion of these ideas into the reality of nuclear fission was the achievement of U.S. scientists in the early 1940s. After German physicists split a uranium nucleus in 1938, Albert Einstein, Enrico Fermi, and Leo Szilard concluded that a nuclear chain reaction was feasible. In a letter to President Franklin Roosevelt, Einstein warned that this breakthrough would permit the construction of "extremely powerful bombs." His warning inspired the Manhattan Project, the

Kowarski d´couvrirent que la fission produit aussi des neutrons, qui peuvent de e fait causer d’autres fissions, etc. Une r´action en chaˆ est d`s lors possible. Cette possibilit´ e ıne e e avait ´t´ anticip´e par les th´oriciens Enrico Fermi et Leo Szilard. La voie vers la fission ee e e contrˆl´e, l’´nergie nucl´aire et les armes nucl´aires ´tait ouverte. La deuxi`me guerre mondiale, oe e e e e e contrairement ` la premi`re, fut la cause de progr`s rapides en ce domaine. La premi`re pile a e e e nucl´aire

le cas de la bombe atomique, par exemple, Philippe Breton avait mis les points sur les i: « Contrairement à ce que l'on croit généralement, ce ne sont pas les politiques qui ont "commandé" la bombe aux scientifiques, mais exactement l'inverse. Leo Szilard et Enrico Fermi, tous deux physiciens, durent en fait déployer une grande énergie pour convaincre les autorités alliées, d'une part, de la puissance destructrice potentielle de l'atome ainsi "libéré", d'autre part de l'avancée, réelle et supposée