Leconte De Lisle Parnasse

représentation (XVIIème), mais traduisent la vérité du poète. 2) Le Parnasse a) Sa genèse Ce terme désigne une tendance, un nouvel esprit poétique, du milieu du siècle, incarné par un groupe de poètes (Banville, Sully Prud’homme, Coppée, José Maria de Heredia, …) sensibles à la théorie de Théophile Gautier : “l’art pour l’art”. ce nom vient d’un recueil collectif publié en 1866 : Le Parnasse contemporain. Le Parnasse est aussi le nom d’un mont de la Grèce qui, dans la mythologie grecque

romantique et le relâchement formel de cette poésie : des auteurs comme Gautier, Banville ou Leconte de Lisle écrivaient avec le souci d'atteindre une perfection formelle sans faille. La conception moderne de la poésie fut inaugurée à la moitié du siècle par Baudelaire, avec la publication des Fleurs du mal (1857), texte fondateur d'une nouvelle esthétique. Tout en utilisant, comme le recommandait le Parnasse, des formes fixes traditionnelles tel le sonnet, Baudelaire bouleversa les anciennes conceptions

réaliste possible. IV) Parnasse - Vers 1860 un groupe de poètes se détourne des effusions romantiques. Leur nom est issu de celui de la montagne où séjournaient, selon le mythe grec, Apollon et les Muses. - Les principes parnassiens => - Culte rendu à la perfection formelle. - Description souvent exotique ou antique. - Théorie de « l’Art pour l’Art » - 5 Auteurs majeurs: - Théodore de Banville (1823 – 1891) - Théophile Gautier (1811 – 1872) - Leconte de Lisle (1818 – 1894) - Sully

jusqu’à écrire juste pour la plaisir d’écrire. C’est le cas des écrivains du Parnasse. Bien qu’en opposition avec les Romantiques, car à la recherche d’une formalité poétique, ils se rapprochent aussi par un rejet de l’engagement politique et social. Théophile Gautier créera d’ailleurs le mot d’ordre du mouvement Parnassien : « l’art pour l’art ». Les ténors de ce mouvement tels que Théophile Gautier ou Leconte de Lisle souhaitent se détacher du lyrisme et de l’emploi constant du « je », propre aux

célèbre et sacré " Prince des poètes " deux ans avant de mourir le 30 mars 1844. Les Poèmes saturniens sont des vers de jeunesse que Verlaine composa alors qu’il était encore au lycée. L’influence des poètes qui lui sont chers, Hugo, Baudelaire ou Leconte de Lisle est visible dans ses vers est fondue dans une poésie aux accents déjà très personnels. Outre le prologue et l’épilogue, le recueil compte vingt-cinq poèmes réunis en quatre sections : « Mélancolia », « Eaux fortes », « Paysages tristes », « Caprices

revue "L'Art", il écrit des articles élogieux sur Charles Baudelaire et Victor Hugo. Il rencontre les parnassiens, François Coppée, Théodore de Banville, José-Maria de Heredia et Leconte de Lisle. Son père meurt la même année.      Il fréquente les cafés et salons littéraires parisiens puis, en 1866, collabore au premier Parnasse contemporain et publie les Poèmes saturniens. On y sent l'influence de Charles Baudelaire.      En 1869, Les Fêtes galantes, des fantaisies évoquant le dix-huitième siècle de

avait initialement retenu, Verlaine avoue une filiation. Il inscrit son recueil dans la ligne de l’héritage baudelairien et de la mélancolie postromantique dont il est porteur. « L’épigraphe pour un livre condamné », qui avait été insérée dans Le Parnasse contemporain du 28 mars 1866, qualifiait Les Fleurs du mal de « livre saturnien, / Orgiaque et mélancolique ». En reprenant un des termes clés de cette trinité de la malédiction, Verlaine circonscrit un domaine dans lequel il s’inclut. Cependant

facilement se passer Le parnasse (1856-1876) Sur le Mont Parnasse, situé en Grèce à proximité de Delphes, s'assemblaient, selon la mythologie, les neuf Muses, sous la conduite d'Apollon. Ainsi, le mot "Parnasse" sert à désigner le lieu de réunion des poètes. En le choisissant, les initiateurs de ce mouvement poétique veulent se placer sous l'appui de la Muse poétique et de la tradition grecque (apollinienne). Comme tous les mouvements littéraires du XIXème siècle, le Parnasse a voulu se situer par

XVIe siècle 2.1 La poésie lyrique 2.2 La poésie engagée 2.3 Autres personnalités 3 La poésie du XVIIe siècle 3.1 La poésie baroque 3.2 La poésie classique 4 La poésie du XVIIIe siècle 5 La poésie du XIXe siècle 5.1 Le romantisme 5.2 Le Parnasse 5.3 Charles Baudelaire 5.4 Les poètes de la fin du siècle 6 La poésie du XXe siècle 6.1 Les héritiers 6.2 Les novateurs 6.3 Les individualités 6.4 La poésie-chanson 7 Notes et références 8 Annexes 8.1 Articles connexes 8.2 Liens externes

termine au milieu du XIXème siècle, supplanté par le réalisme et le Parnasse. Les auteurs principaux de ce mouvement sont : Lamartine, Vigny, Hugo, Musset, Chateaubriand, et Nerval. Le Réalisme est un mouvement littéraire et culturel de la seconde moitié du XIXème siècle. Il est naît par réaction au mouvement romantisme vers 1850, et se termine vers 1950 en étant supplanté par le surréalisme, le symbolisme et le parnasse. Les artistes réalistes manifestent le désir de représenter la réalité