Le Vin Du Solitaire

fait partie d’un groupement de neuf poèmes rassemblés sous le nom de « Rhénanes », s’inspirant d’un voyage qu’il a fait en 1902 en Rhénanie. Dans la première strophe, on pourrait croire que le poète se situe dans une auberge près du Rhin buvant du « vin ». Il tremble sous l’effet de l’alcool avec « trembleur comme une flamme » Dans la deuxième strophe, l’auteur crie « Debout » aux gens qui, dans cette auberge, l’entourent et chantent, dansent une ronde. Il ne veut plus de laisser porter par l’alcool

encore " Son visage triste et beau, a la lueur de mon flanbeau". Nous avons aussi des rimes embrassées qui sont plus fréquentes qui suivent le shéma ABBA qui s'expose au 4 dernier vers des strophes de ce texte comme " Dans notre salle solitaire, devant ma table vin savoir, un enfant vetu de noir, qui me resembler comme un frère . Chaque partie raconte une histoire bien définie. Ce poème aborde encore une fois le fait d'avoir un double qui est vêtu de noir et qui est défini comme un frère par apport

parties :  Spleen et Ideal, Tableaux parisiens, Le Vin, Fleurs du mal, Révolte et La Mort. Cette construction reflète son chemin, sa quête.  Spleen et idéal  qui présente les deux aspects contradictoire de sa personnalités. Les trois sections suivantes en découlent, car se sont des tentatives de réponse au spleen, des essais de Baudelaire pour atteindre son idéal. Le poète s'aventure dans « les paradis artificiels » pour échapper au Spleen : les drogues (Le Vin) puis tente de trouver une forme de réconfort

l’idée qu’il faut imposer sa loi, la loi et la volonté de l’adulte, et cela au risque de l'arbitraire. Enfin Mlle Giraud promet à la mère beaucoup de difficultés avec son enfant si elle ne change pas à cet égard. L’enfant : il est blond, joueur, solitaire, il aime l’activité du port, les bateaux et leurs mouvements. Il câline sa mère dans une continuelle nécessité d’être rassuré par sa présence, il aime sa mère et sait se conduire avec elle, en "petit homme". Il oppose aux consignes du professeur

inconnus: « chaste » p65 ''Don Juan aux enfers'' => qui réprime ses désirs sexuels « taciturne » p149 ''Le jeu'' => qui reste volontiers silencieux, renfermé; qui n'est pas d'humeur à faire la conversation « frivole » p161 ''Le vin des chiffonniers'' => qui est léger, sans constance ni sérieux « glaive » p177 ''Le reniement de Saint-Pierre'' => épée courte à deux tranchants. « despote » p190 ''Le voyage'' => chef d'état qui s'arroge un pouvoir absolu, arbitraire

entrailles de la terre, en haut des montagnes, dans des grottes. Au niveau politique, organisation clanique, proche de la horde (absence d’assemblées pour les conseils et de lois). Chacun fait la loi dans sa famille. Polyphème est un solitaire parmi ces solitaires car ne les fréquente pas et vit à part. Proche de l’animal, se confond avec la nature (ne ressemble pas à un mangeur de pain mais plutôt au sommet boisé d’une montagne). Abandonné de ses compagnons après sa mutilation, ses seuls vrais

(1813) et en Allemagne avec Goethe « Les souffrances du jeune Warther » (1774). Cependant on trouve des premiers pas du Romantisme à partir du 18e s par rousseau dans « Les rêveries du promeneur solitaire » (1776-1778). Romantisme, nom donné à un mouvement de libération du Moi, de l’art, qui, en France s’est développé sous la Restauration et la Monarchie de Juillet, par réaction contre la régularité classique et le rationalisme philosophique (lumière)

Dans un endroit reculé et solitaire, par une après-midi où l’orage menace, le poète boit sans plaisir un breuvage au goût désagréable. L’orage survient ! Des visions se développent, de plus en plus saugrenues. Devant ce spectacle envoûtant de l’orage, Arthur est comme un chercheur d’or ou un pêcheur de perles qui auraient entrevu le trésor qu’ils recherchent sans pouvoir s’en emparer. Le poème est obscur quand on l’étudie en détail, mais on peut se contenter d’une lecture superficielle, qui

baudelairienne Ce thème suit une lente maturation. -> Tardif et à peine ébauché dans la première éditi on de 1857 : dans Spleen et idéal , nous pouvons relever "le soleil", "le crépuscule du soir", "le crépuscule du matin" ; dans Le vin , nous avons "le vin des chiffonniers ». -> Ajout des dix poèmes des Tableaux parisiens en 1861. -> Autre poème en 1868, "recueillement". Ce thème sera par la suite largement développé dans les poèmes en prose Le spleen de Paris (1862). 3) Un thème clé

subitement de faire abattre et d'enterrer cent soixante mille vaches parmi les plus fortes laitières. Ils décident d'arracher la vigne car, si on ne l'arrachait pas, le vin serait trop bon marché, c'est-à-dire ne pourrait plus produire des morceaux de papier en assez grand nombre. A choisir entre les morceaux de papier et le vin, ils choisissent les morceaux de papier. Ils brûlent le café, ils brûlent le lin, ils brûlent le chanvre, ils brûlent le coton. Devant l'énorme bûcher de coton, des chômeurs