Le Vieux Grand Père Et Son Petit Fils

majeurs du romantisme. (RACONTER HISTOIRE) Quel est ce chevalier qui file si tard dans la nuit et le vent ? C'est le père avec son enfant ; Il serre le petit garçon dans son bras, Il le serre bien, il lui tient chaud. « Mon fils, pourquoi caches-tu avec tant d'e$oi ton visage ? — Père, ne vois-tu pas le Roi des Aulnes ? Le Roi des Aulnes avec sa traîne et sa couronne ? — Mon fils, c'est un banc de broui&ard. — Cher enfant, viens, pars avec moi ! Je jouerai à de très beaux jeux avec toi, Il

Chraïbi La Civilisation, ma Mère !... © Éditions Denoël, 1972. ISBN 978-2-07-037902-6 Ouvrage adapté par l'association SÉSAME et réservé au seul public handicapé "empêché de lire". Quatrième de couverture Retour à la table des matières Deux fils racontent leur mère, à laquelle ils vouent un merveilleux amour. Le plus jeune d'abord, dans le Maroc des années 30. Menue, fragile, gardienne des traditions, elle est saisie dans des gestes ancestraux, et vit à un rythme lent, fcetal. Radio, cinéma

STENDHAL : LE ROUGE ET LE NOIR Explication linéaire d'un extrait du chapitre 4 du livre premier (« Un père et un fils ») Portrait de Julien Sorel : de « Julien, quoique étourdi par le coup » à « au sujet des platanes » (édition biblio lycée, pages 37-38) Rappel : cette explication n'est pas à livrer telle quelle le jour de l'oral : elle serait trop longue, et l'oral n'est de toute façon pas un exercice de récitation du cours. Il vous faudra cependant bien la comprendre et bien l'assimiler, d'une

Paroles de sages Recueillies par Patrick Giani Si la lecture de ce livret vous a plu, merci d'envoyer 5 E ou plus en chèque, ou un petit billet entre deux cartes (ça passe bien!) à : Aquarius 178 rue George Sand - 34130 MAUGUIO Merci d'avance ! Et n'oubliez pas d'en faire profiter votre entourage ! Vous apprécierez sans doute les autres livrets et les livres écrits par Patrick Giani. Voici l’adresse de son site: http://www.giani.fr 1 VA CALMEMENT Nota : il existe plusieurs traductions

César (ou Gaius Cæsar) naquit le 31 août de l'an 12 ap. J.-C, sans doute à Antium. Il était le troisième fils de Germanicus, neveu et fils adoptif du futur empereur Tibère, et d'Agrippine l'Ancienne, petite-fille de l'empereur Auguste. Détail qui n'est pas sans importance, le petit Caius, descendant direct d'Auguste, se trouvait également être, par sa grand-mère Antonia, l'arrière-petit-fils du vaincu d'Actium, le lunatique Antoine. (Voir Tableau généalogique). Alors que son troisième descendant

le Roi dans la salle des Maréchaux aux Tuileries quand les princes se rendaient à la chapelle, il sollicita la faveur d’une entrevue particulière. Cette audience, très promptement accordée, n’eut rien de particulier. Le salon royal était plein de vieux serviteurs dont les têtes poudrées, vues d’une certaine hauteur, ressemblaient à un tapis de neige. Là, le gentilhomme retrouva d’anciens compagnons qui le reçurent d’un air un peu froid ; mais les princes lui parurent adorables, expression d’enthousiasme

Laurent Laurent est présenté dès l'abord comme un personnage tout à fait à l'opposé de Camille. C'est « un grand gaillard », « d'une beauté sanguine », « un vrai fils de paysan, d'allure un peu lourde, le dos bombé, les mouvements lents et précis, l'air tranquille et entêté ». Son portrait physique est développé au début du chapitre V. Tout son être dégage une puissance qui renvoie au mythe panthéiste de la terre et de l'animalité. Selon cette sorte de classification qui rattache les êtres aux

1) Biographie de l'auteur François Cavanna est né le 22 février 1923 à Nogent-sur-Marne . -Son père Luigi Cavanna (1880-1954) dit Vidgeon (diminutif de Luigi en dialetto qui se traduirait par « Petit Louis ») est un immigré italien, ayant fui son pays à cause du « çoumaze » (chômage). Maçon,il travaille principalement pour l'entreprise Taravella et Cavanna. Il est originaire du village de Bettola, qui se situe dans la province de Plaisance (Nord de l'Italie). -Sa mère Marguerite Chavrin

En approchant de son usine, le père Sorel appela Julien de sa voix de stentor ; personne ne répondit. Il ne vit que ses fils aînés, espèce de géants qui, armés de lourdes haches, équarrissaient les troncs de sapin, qu’ils allaient porter à la scie. Tout occupés à suivre exactement la marque noire tracée sur la pièce de bois, chaque coup de leur hache en séparait des copeaux énormes. Ils n’entendirent pas la voix de leur père. Celui-ci se dirigea vers le hangar ; en y entrant, il chercha vainement

la première fois. En approchant de son usine, le père Sorel appela Julien de sa voix de stentor¹ ; personne ne répondit. Il ne vit que ses fils aînés, espèces de géants qui, armés de lourdes haches, équarrissaient² les troncs de sapin, qu'ils allaient porter à la scie. Tout occupés à suivre exactement la marque noire tracée sur la pièce de bois, chaque coup de leur hache en séparait des copeaux énormes. Ils n'entendirent pas la voix de leur père. Celui-ci se dirigea vers le hangar ; en y entrant