Le Vieux Fusil

-J’allais justement te le dire. » Je mangeais tous les fruits que je trouvais, j’en volais même dans les vergers des voisins. J’avais adopté l’ancien chien de Violette, qui était partie sans lui. Je l’ai appelé Optimus Maximus. A l’aide de mon fusil je tuais des lapins, des renards, des animaux. Mon chien me ramenait le cadavre, je le remontais à l’aide d’une corde. Pour faire du feu j’assemblais du feuillage sec au pied d’un arbre puis je lançais une pomme de pin enflammée dedans. Ainsi, je pouvais

l'Europe. Sur cette photo nous pouvons voir des hommes sur la Canebière, ce sont surement des troupes françaises coloniales et américaines qui attendent les Allemands, ils sont en position d’attaque. Un homme est couché par terre est tien un fusil dans les bras et autre et positionné derrière un arbre et a aussi une arme dans les mains ainsi que d’autre personnes. On peut voir que les rues sont calme et qu’il n’y a presque plus de monde dans les rues. Cela doit donc signifier que c’est bientôt

centre d’une région très étendue, puisqu’on doit aller jusqu’à Tunbridge Wells, à dix ou quinze milles dans l’est, sur les confins du Kent, pour rencontrer une autre localité tant soit peu importante. À un demi-mille environ de la ville, dans un très vieux parc fameux par ses énormes hêtres, se dresse le manoir de Birlstone. Une partie de ce vénérable édifice date de la première croisade : au centre du domaine que lui avait octroyé Guilllaume le Roux, Hugo de Capus bâtit à l’époque une petite forteresse

Les flammes dansent derrière le hublot du poêle, éclai- rant par instants le papier peint du salon. Jean Ricouart m'a demandé ce que je voulais boire. Il a sorti toute une liasse de vieux papiers et j'ai reconnu, de mon bout de table, la carte postale éditée à la Libération, avec les por- traits des fusillés, en médaillons. Elle est posée sur une coupure de presse jaunie, un article de 1948 que j'avais lu et relu dans l'arrière-boutique de la librairie qui sert de bureau au Veilleur de la

pour vous le jour durant" marque les esprits grâce l'évocation d'une image particulière dont la signification est plus commune et plus droite puisqu'elle n'est en fait que l'indifférence. Au vers 31, la métaphore "Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent" tend elle aussi à étonner et à faire mémoriser le poème au lecteur. Aragon tente d'émouvoir son lecteur avec le cinquième et le sixième quintile où il fait référence au plaisir de la vie, à la personne qu'il va quitter ("Marie-toi sois

vêtements? Bibliques - c'était là son terme. Il me faudrait un mouton. Vivant. Et qui consente à se laisser tondre devant vous. Nagib en achetait un au marché, le faisait entrer dans la cuisine en le poussant de toutes ses forces. - Allez, entre, mon vieux, entre ! Fais comme chez toi. Ai-je dit que ma mère avait une tondeuse? Non, n'estce pas? D'ailleurs, elle n'eût pas su s'en servir. Mais elle avait une paire de ciseaux avec lesquels elle voulait me couper les oreilles et les clouer à la porte

L'aïeule regarda déshabiller l'enfant, Disant : "Comme il est blanc! approchez donc la lampe ! Dieu ! ses pauvres cheveux sont collés sur sa tempe !" Et quand ce fut fini, le prit sur ses genoux. La nuit était lugubre; on entendait des coups  De fusil dans la rue où l'on en tuait d'autres. - Il faut ensevelir l'enfant, dirent les nôtres. Et l'on prit un drap blanc dans l'armoire en noyer. L'aïeule cependant l'approchait du foyer,  Comme pour réchauffer ses membres déjà roides. Hélas! ce que la mort

bruit que vous entendez maintenant dans toutes vos horloges, c’est le battement du cœur de ce misérable. Un précédent est-il nécessaire ? en voici un : En 1851, un homme, à Jersey, tua un autre homme. Un nommé Jacques Fouquet tira un coup de fusil à un nommé Derbyshire. Jacques Fouquet fut déclaré coupable successivement par les deux jurys. Le 27 août 1851 la cour le condamna à mort. Devant l’imminence d’une exécution capitale, l’île s’émut. Un grand meeting eut lieu ; seize cents personnes

L’œil du loup 1ére de couverture 4ème de couverture Lecture suivie Date : . . /. . / . . Prénom : L’œil du loup Analyse globale du livre. ● Quel est le titre du livre ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ● Qui est l’auteur du livre ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ● Qui est l'illustrateur du livre ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ● Quel est le nom de l’éditeur ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Contact

d’augmenter et le bétail s’agrandit de jour en jour. En ce qui concerne l’Attaque du moulin , le père Merlier est un meunier veuf mais néanmoins très heureux puisqu’il est maire du village de Rocreuse et qu’il dispose d’un vieux moulin qui était une vraie gaieté et fortune pour lui. La verdure des bois de Gagny, l’eau descendant de La Morelle, la fraicheur de ce trou de verdure et les journées chaudes de juillet et aout, en résumé un petit paradis rend heureux le maire. Sa