Le Vicomte De Valmont

Tourvel, par deux libertins: la marquise de Merteuil et son acolyte, le vicomte de Valmont. • Cécile, qui vient de sortir du couvent, est fiancée au Comte de Gercourt, ancien amant de la marquise de Merteuil. • Cette dernière, fâchée contre Gercourt qui l'a abandonnée, pour se venger, décide de corrompre Cécile avant son mariage. • La marquise a besoin d'un homme pour exécuté ce complot. • le vicomte de Valmont est occupé à tenter de séduire madame de Tourvel qui lui résiste. Non

 dont se jouent deux llibertins: la marquise de Merteuil et son accolyte, le vicomte de Valmont. Cécile, qui vient de sortir du couvent, est fiancée au Comte de Gercourt, ancien amant de la marquise de Merteuil. Etant fâchée contre le Comte de Gercourt qui l'a abandonnée, pour se venger, la marquise de Merteuil décide de corrompre Cécile avant son mariage. Mais elle a besoin d'un homme pour arriver à ses fins. Pendant ce temps, le vicomte deValmont tenter de séduire madame de Tourvel qui ne tombe pas sous

qui a très vite décidé de « venger son sexe ». Ses aventures amoureuses deviennent alors des conquêtes dont elle dispose à sa guise. Mariée jeune et veuve très rapidement, elle jouit d’une fortune importante. Par le passé, elle a été l’amante de Valmont et le roman nous apprendra qu’elle a été la seule femme capable de lui tenir tête. Au début du roman, elle entretient une liaison avec un Chevalier (Belleroche) mais après avoir tourné en ridicule le célèbre Prévan, elle trouve rapidement le moyen

du mal . Valmont en est l'incarnation : personnage qui dissimule les braises de l'amour sous une plume parfaitement pensées, tenant sa forme qu'à la froideur de son esprit, « qu'à la manière de la glace ».Il est en somme le principale vecteur des dangereuses liaisons, véritable noyau du roman qui tisse chacune des intrigues, s'affirmant comme « le protagoniste de l'action, le danger des liaisons » établient par « ses entreprises qu'il crée » selon les mots de René Pomeau.Alors le Vicomte, marionnettiste

chef-d’œuvre de Choderlos Laclos (1741-1803). Dans cette deuxième lettre de l’ouvrage, La Marquise de Merteuil s’adresse au Vicomte de Valmont, elle souhaite lui confier une mission qui lui tient à cœur : séduire Cécile de Volanges la promise du Comte de Gercourt, le Compte étant un ancien amant qui plusieurs années auparavant l’avait fait cocu avec la maîtresse du Vicomte de Valmont. En quoi cette lettre nous prouve-t-elle que Merteuil est un être supérieur ? Pour répondre à cette question nous verrons

tient compte de la relation houleuse qu’elle entretiendra avec le Vicomte de Valmont durant le reste du film, on peut penser que cette lettre a pour but de la prévenir du danger de cette future relation et qu’elle annonce, par la même occasion, une grande partie de l’intrigue. Il faut également se rappeler qu’à plusieurs reprises, dans le film, on aperçoit les personnages entrain de lire ou d’écrire une lettre. Par exemple, lorsque Valmont écrit une lettre destinée à Mme de Tourvel sur le postérieur de

la relation entre Valmont et Mme de Tourvel. Lettre 50 : la Présidente de Tourvel au Vicomte de Valmont. Dans la lettre 50, la Présidente oppose une fin de non recevoir très ferme aux précédentes tentatives de Valmont visant à la faire céder et à en faire son amante. En cette fin de première partie des Liaisons dangereuses (puisque la lettre 50 clôt cette dernière), elle remporte avec éclat la première manche de son combat contre le Vicomte. Lettre 137 : le Vicomte de Valmont à la Présidente

Présidente de Tourvel, par deux libertins: la Marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont. Cécile, qui vient de sortir du couvent, est fiancée au Comte de Gercourt, l'ancien amant de la Marquise de Merteuil. Celle-ci, fâchée contre Gercourt qui l'avait abandonnée, décide de corrompre Cécile avant son mariage pour se venger. Mais la Marquise a besoin d'un homme pour exécuter son projet. A ce moment même, le Vicomte de Valmont est occupé de séduire Madame de Tourvel qui lui résiste. Elle n’est non

seulement 24, mais, réellement amoureux, il l’épousera en1786 et reconnaîtra l’enfant. Marie-Soulange sera le grand amour de sa vie et lui donnera deux autres enfants. Choderlos de Laclos ne ressemble en rien au séducteur archétype du personnage de Valmont et n’en a aucune des tares. Il n’est en rien un séducteur, et on le décrit comme « un monsieur maigre et jaune » à la « conversation froide et méthodique ». Sa vie sentimentale se limite à son épouse Marie-Soulange à qui il est fidèle, de même qu’il

XVIIIe siècle. Dans un duo malsain et risqué, la marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont se jouent de leurs prochains. Séduire et bafouer l'honneur de leurs proies, tel est leur leitmotiv quotidien."Ah ! qu'elle se rende, mais qu'elle combatte ; que, sans avoir la force de vaincre, elle ait celle de résister ; qu'elle savoure à loisir le sentiment de sa faiblesse, et soit contrainte d'avouer sa défaite", clame le vicomte, à travers la récurrence d'un vocabulaire guerrier, au sujet de la chaste