Le Vicomte De Valmont

galantes. De la même façon, le fait que Valmont représente aux yeux de Mme de Volanges une “liaison dangereuse”, n’empêche absolument pas cette dernière de le fréquenter. La comédie sociale frappe donc tous les protagonistes. - L’opéra : C’est le lieu par excellence de l’interaction sociale et de la mise en abîme de la théâtralité. C’est dans la loge que la Marquise comprend la “conversation à double entente” que lui adresse Prévan, c’est aux Italiens que Valmont se rend accompagné d’Emilie, c’est

laquelle la mère maintient sa fille contribue au dévoiement de la jeune fille.   Cécile, libérée du modèle de sa mère, encouragée par Mme de Merteuil, ne voit plus ce qui lui arrive comme un drame, et se livre sans honte à la « débauche » avec Valmont. Elle est le personnage qui, symboliquement, représente le mieux la construction circulaire du roman : sortie vierge du couvent, elle y retourne, à la fin du roman, en fille rompue aux plaisirs libertins. Cependant, Caecilia (caecus : aveugle),

sur le pouvoir, l'intrigue et la séduction met en lumière deux libertins de la haute société : Le vicomte de Vlamont et la marquise de Merteuil, anciens amants et toujours complices, excellent dans l'art de la manipulation pour débaucher (salir la réputation) de jeunes personnes vertueuses (vierge). Ce roman reflète ainsi le relachement des moeurses du XVIIIe siècle. Madame de Merteuil demande à Valmont, pour se venger du futur mari de Cécile de Volanges (qui fut un de ses amants), de débaucher la

 dont se jouent deux libertins: la marquise de Merteuil et son acolyte, le vicomte de Valmont. Cécile, qui vient de sortir du couvent, est fiancée au Comte de Gercourt, ancien amant de la marquise de Merteuil. Etant fâchée contre le Comte de Gercourt qui l'a abandonnée, pour se venger, la marquise de Merteuil décide de corrompre Cécile avant son mariage. Mais elle a besoin d'un homme pour arriver à ses fins. Pendant ce temps, le vicomte de Valmont tente de séduire madame de Tourvel qui ne tombe pas sous son charme

qu’elle est un être ouvertement dominateur. I. La Marquise de Merteuil, une femme de tête. Dès le premier paragraphe de sa lettre la Marquise se réclame comme une personne qui réfléchit : l’une des premières choses qu’elle annonce au Vicomte de Valmont est qu’il lui « est venu une excellente idée. » – idée dont le contenu sera détaillé dans le second paragraphe, puisqu’il s’agit d’un projet de vengeance à l’encontre du Comte de Gercourt, et dont la jeune Volanges servira d’outil principal

Merteuil et du Vicomte de Valmont, deux libertins qui se font part de leurs hauts faits respectifs, dans un jeu complexe de défi et de séduction. Jouant la vertu, le vicomte a réussi à se faire aimer de l'austère et dévote Mme de Tourvel, dont l'époux, président au Parlement de Paris est retenu en province pour un procès. Jalouse de Mme de Tourvel et de l'amour qu'elle inspire à Valmont, la marquise de Merteuil a hâte que le coup de grâce soit donné à sa rivale. Elle propose au vicomte un modèle de

I l'archétype du libertin Le Vicomte de Valmont est avec la marquise de Merteuil le deuxième modèle libertin des _liaisons dangereuses , mais il incarne le libertin masculin modèle du dix-huitième siècle. Il n'est pas sans rappeler certains personnages dans d'autres œuvres comme Les égarements du cœur et de l'esprit_ de Crebillon fils. Le vicomte de Valmont est un séducteur hors pair, libertin de talent qui parvient à tromper la société de l'époque par l'art du regard, de la tenue, de la parole

de Valmont. De façon plus précise, on peut dire que la dame tient à toujours conserver un certain contrôle sur celui-ci et utilise ses sentiments amoureux pour le garder à ses pieds. La lettre écrite par la Marquise et destinée au Vicomte, du roman Les Liaisons Dangereuses, révèle premièrement la manipulation amoureuse qu’utilise Mme de Merteuil pour garder Valmont à ses côtés. La libertine, elle qui désir seulement avoir un homme à ses pieds, abuse des sentiments éprouvés par le Vicomte. «Plaisir»

lors de la campagne d’Italie, non pas sur le champ d’honneur mais de maladie. Composé de 175 lettres, Les liaisons dangereuses est un roman épistolaire, paru en 1782, mettant en scène deux libertins : la marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont. Deux confidents, deux ancien amants, ils multiplient les conquêtes amoureuses et nous font par de leurs exploits à travers des correspondances entre les différents personnages. Laclos fait le portrait de la haute société de son siècle, un monde

Madame de Merteuil et comment se manifeste sa supériorité envers le vicomte de Valmont. Elle demande par écrit à celui-ci de mettre fin à sa relation avec madame de Tourvel car, il est en train de tomber réellement amoureux. La lettre est représentée par la mise en abyme et peut être divisée en quatre parties. La première partie représente la mise en scène d`une séparation. Madame de Merteuil raconte une histoire au vicomte de Valmont, dans laquelle elle introduise des personnages fictifs, pour ridiculiser