Le Triomphe de la Mort

comices tributes, contre deux rivaux redoutables (Servilius Isauricus et Q. Catulus), plus âgés et plus dignes que lui[30],[31]. Selon l’usage, César s’installe dans la demeure du pontife à la Regia, et exercera la fonction de grand Pontife jusqu’à sa mort. Désigné préteur urbain pour l’année suivante au moment de la conjuration de Catilina (63 av. J.-C.)[32], il ne fait rien pour la prévenir et est soupçonné de connivence[33]. Salluste, qui est un partisan de César, attribue ces soupçons à des manœuvres

sirènes, des princesses. Parfois, on le retrouve affligé d'une angoisse congénitale, pris dans des affres d'amour, de jalousie ou de mort, le coup de foudre pouvant se produire sans prévenir. Il a des valeurs transparentes, c’est-à- dire qu’il connaît ses valeurs. Il sait pourquoi il vit, il sait ce qu’il doit faire. Et, en général, il doit combattre jusqu’à la mort pour l’honneur. Son rôle étant social, il appartient à la collectivité, il est défini par elle, d’où il ne vit pas vraiment pour lui

Dom Juan utilise le pronom indéfini “on” qui lui permet de généraliser son propos et le pronom personnel “nous” qui permet d’impliquer les lecteurs/spectateurs. Pour évoquer la fidélité D.J utilise deus champs lexicaux : - Celui de la mort : “s’ensevelir, être mort, fini (...)”. - Celui du sommeil : “tranquillité, nous nous endormons (...)”. La fidélité est associée à un lexique péjoratif, ainsi D.J piétine les conventions morales et chrétiennes de la société. Par contre pour évoquer l’infidélité

Biographie de l’auteur : Jean Racine est né le 22 Décembre 1639 à la Ferté-Milon (Picardie) et mort le 21 Avril 1699 à l’âge de 60 ans à Paris et fut enterré à Port-Royal des champs suite à sa demande. Il est issu d’une petite famille bourgeoise de province, il fut très jeune orphelin et eu tout le soutien de sa famille qui était très soudée. Il eut une solide éducation littéraire et religieuse par les célèbres maîtres de Port-Royal. Par la suite son choix se porte sur le théâtre, il écrit des pièces

parvenue. Son génie comique est de nature satirique ; il n'a de cesse de fustiger les mœurs et la politique de son temps. 1. Sa vie On sait peu de choses sur la vie d'Aristophane. Il est né semble-t-il vers 445 avant J.-C. ; on ignore la date de sa mort. De parents athéniens, il manifeste un génie précoce. Il aurait écrit ses premières pièces (Les Convives, Les Babyloniens, Les Acharniens) à un âge qui ne lui permettait pas de les présenter sous son nom. Contemporain de la guerre du Péloponnèse,

vocabulaire de la mort et un certain goût pour la mise en scène Le prénom de Julien est très peu cité ici, et à aucun moment il est appelé "le mort". Pour Fouqué, c'est son ami (ligne 2), avec Mathilde, le pronom "le" ligne 6 peut suffir, il est aussi son amant ligne 30 et 37, et l'homme qu'elle avait tant aimé ligne 24) quand il concerne Mme de Renal, il est simplement Julien (ligne 40 - 43). Il y a une volonté ici de le garder encore un peu vivant par les uns ou par les autres. La mort est évoquée indirectement

tournant dramatique as cette histoire comme si il étais tout deux des pièce maîtresse dans l'équilibre dramatique-comique de cette pièce. La mort de Mercutio entraînera Roméo as tuer Tyblat le poussant as l’exil et au mariage de Juliette et Paris. Et la résignation de la Nourrice as cette union entraînera Juliette au désespoir le plus complet la poussant as simulé ça mort et donc le suicide de Roméo. Ces deux personnage on des similitude supplémentaire, ils n'ont pas de lien de parenté avec nos protagonistes

précédent. Le Roi lui-même le rencontre! Il rédige d’autres Fables mais aussi des poésies chrétiennes. Quand sa protectrice meurt il n’a pas de peine pour trouver un protecteur : Madame de La Sablière.Il publia « Second recueil » qui connut lui aussi un triomphe. Après une longue attente et de nombreux poèmes flatteurs pour le Roi il devint académicien, rôle qu’il exerça avec beaucoup de sérieux et d’énergie. Il tombe malade en 1692 et renie ses « Contes ». Il mourut en 1695 après avoir publié un an plus

à une œuvre, que l’avocat divisera en quatre tableaux : Le premier : celui des amours d’Emma et de sa chute avec Rodolphe Le second, une transition religieuse entre les deux adultères Le troisième, sa chute avec Léon Le dernier, la mort du personnage d’Emma La beauté d’Emma est une beauté de provocation, illustrée dans la totalité de l’œuvre de Flaubert. Ce passage est représentatif de la première chute d’Emma (redécouverte de sa personne, jeune initiée) : une glorification

Corneille vieillissant et joue à Rouen. Molière retourne à Paris en 1658. Il joue au Jeu de paume du Marais. Protégé par Monsieur, frère du roi, il joue alors devant Louis XIV une tragédie de Corneille, Nicomède, qui ennuie, et une farce, qui est un triomphe, Le Docteur amoureux. Molière dispose d'un grand talent comique : sa voix et ses mimiques déclenchent l’hilarité. La troupe de Molière jouit bientôt d'une réputation inégalée dans le comique, et le roi l’installe au Petit-Bourbon, où elle joue en