Le Topos

éléments d’Aristote le feu sec et chaud de la consomption s’oppose au fruit froid et humide. « Le meilleur de mon âge » genre élégiaque déplore un bonheur perdu, idée que jeunesse période d’insouciance et de joie téméraire S6 mépris de Fortune => Topos de cette poésie du XVI comme le montre ce dizain de M.Scève « libre vivais en l’avril de mon âge ». N’a pas pu profiter de sa jeunesse. Se lamente sur le manque d’inspiration, « sans tirer autre fruit » montre que n’a pas renoncé à son désir de gloire

au vers 9. - Qualité de la lumière qui baigne ce paysage. Chaleur et intensité lumineuse se combinent. • L'évocation de l'île (v. 5- 8) - L'île est un topos littéraire. Elle est associée à un lieu paradisiaque, protégé de l'extérieur. Elle représente aussi l'aspiration à 1’ailleurs. C'est un lieu utopique. - Conformément au topos, cette île est nourricière. Les « fruits savoureux » y poussent en abondance. Cette île associe l'exotisme (« des arbres singuliers ») et la sensualité (« des fruits

mais opposition au langage cru de la comparaison avec la charogne : « vous serez semblable à cette ordure…horrible infection ». Comparaison cruelle et crue de la femme à la charogne. MAIS la charogne devenu l'objet poétique. =>  Renouvellement du topos, la femme est ici associé à une charogne tandis que dans la tradition elle est associé à une rose III – Puisque le temps détruit le réel, le poète le recompose par l’écrit et la création d’un autre monde A) l’art poetique - strophe 10 : les mots

existe depuis TAntiquité. I s'agit d'un topos faisant généralement référence & un lieu naturel d'une grande beauté, idéalisé, sécurisant et confortable. Traditionnellement, on trouve dans le /ocus amoenus, une nature luxuriante et généreuse, des parties ombragées, une source deau et une chaleur délicate. Les Hommes y vivent dans la douceur et I'harmonie. C'est un lieu qui est proche du paradis terrestre. De nombreuses ceuvres littéraires mettent en scéne ce topos. Ainsi, Virgile dans Les Bucoliques

« Rhénanes: MAI »Auteur et oeuvre : « Mai » est le second poème des 9 de l’ensemble des « Rhénanes », ces poèmes inspirés par le séjour d’Apollinaire entre 1901 et 1902. Le poète y décrit la nature des rives du Rhin tout en renouvelant le topos poétique de l’idylle printanière. Situation du passage  :A travers ses 17 vers organisés en 4 strophes à rimes embrassés, le poète exprime l’impossibilité d’un amour confiant. Mouvements du texte :

lesquelles il est essentiellement question de la femme _on peut supposer qu'il s'agit de Jeanne Duval, baptisée par Baudelaire comme la Vénus noire_ et la beauté qui exerce sa fascination et répulsion su le poète. Comment Baudelaire renouvelle le topos du mementomori en réussissant grâce à son art à extraire la fleur du laid? Plan : I. Un poème sur l'amour II. La description de la charogne III

attitudes des deux protagonistes (= personnages principaux) suggèrent une intense émotion qui gagne le lecteur. • Les attitudes : La princesse prononce son aveu en « se jetant à ses genoux »ligne 10 : attitude traditionnelle/ lieu commun (= topos) de la suppliante [on peut alors faire référence à l’histoire de Sophonisbe, reine punique ayant vécu à la fin du IIIème siècle av. JC, dont la supplique au roi Masinissa est restée célèbre et fait l’objet d’une réécriture par Melle de Scudéry, précieuse

autobiographique et l’universalité du chant poétique : Orphée chantant la perte d’Eurydice I. L’expérience d’un amour malheureux A. La mort d’un couple : un cadre ; la Seine ; le Pont ; Paris B. Réflexion sur le temps et sa fuite inexorable : topos poétique et lyrique (chp lex., comparaison) C. Expression de la mélancolie : tonalité élégiaque du poème (chp lex. ; rimes ; comparaison, répétitions) II. Universalité du chant poétique A. La figure de la dualité dans le poème (immobilité/mvt ;

phénomène de questionnement ; - accroche du lecteur. 2. L’univers monastique. - champ lexical de la religion : « religieuses » (l.7 et l.28), « saintes filles » (l.19), « catholique » (l.22), « Dieu » (l.26 et l.36) ; - présentation des carmélites → topos/cliché : « saintes filles agenouillées dans le cloitre » (l.19) → représente la prière ; - monastère présenté en personnage protagoniste ; - longueur des phrases qui simule la sérénité, la paix, le recueillement du lieu → style à l’image de l’état

l'emploi de "mais". ->certaine passivité de Genest, se laisse balloter par les deux, avec description de l'alternance de ses états d'âme.Acte IV, scène 7: extrait v1324 à v1372 mise en abîme+ fin de la fiction-métaphore filée: orage, écueil, port <-topos d'un bâteau en pleine mer+héros du Sublime= ambiguïté disparaîtEn quoi la fin du rôle de Genest est-elle marquée?I)v 1324 à 1330->le véritable Genest (rappel au titre)-passage du faux au vrai+ évolution de Genest par l'intervention divine (champ