Le Silence De La Mer

Charles Baudelaire (1821-1867), du recueil L’Albatros, 1857 L’Escale Portugaise L'escale fait sécher ses blancheurs aux terrasses où le vent s'évertue, Les maisons roses au soleil qui les enlace Sentent l’algue et la rue.   Les femmes de la mer, des paniers de poissons irisés sur la tête, Exposent au soleil bruyant de la saison La sous-marine fête.   Le feuillage strident a débordé le vert Sous la crue de lumière, Les roses prisonnières Ont fait irruption par les grilles de fer.

Sembene, Les Bouts de bois de Dieu * M. Shelley, Frankenstein J. Steinbeck, Des Souris et des hommes *, Les Raisins de la colère J. London, L'Appel de la forêt *, Le Vagabond des étoiles H. Melville, Moby Dick E. Hemingway, Le Vieil Homme et la mer * H. Lee, Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur * A. Koestler, Le Zéro et l'infini J. D. Salinger, L’Attrape-cœurs * F. Scott Fitzgerald, Gatsby le magnifique C. Brontë, Jane Eyre E. Brontë, Les Hauts de Hurlevent O. Wilde, Le portrait de Dorian Gray R

l’Algérie est, par excellence, la terre du tourisme. Nous l’avons dit, il faut le répéter sans cesse. La France a un intérêt puissant à 3 protéger partout cette incontestable vérité : en attirant de plus en plus dans son important domaine d’outre-mer le plus grand nombre possible d’étrangers, elle prend par la même ces derniers à témoin de son œuvre. Que n’a-t-on dit, en effet, dans le monde, contre la France ? Ah ! la légende du Français casanier, qui, nonchalamment, se complaît dans la douceur

sources; Jean de Florette Jules Vallès L'Enfant; Le Bachelier; L'Insurgé Joseph Joffo Un Sac de billes Jacques de Lacretelle Silbermann Anne Franck Journal Vercors Le Silence de la mer Robert Merle La Mort est mon métier; Malvil Martin Gray Au nom de tous les miens Claire Etcherelli Elise ou la vraie vie Bernad Clavel Le Silence des armes Camara Laye L'Enfant noir Daï Sijie Balzac et La Petite Tailleuse Chinoise Delphine de Vigan No et moi Amélie Nothomb Métaphysique des tubes, Stupeur et tremblement

géants allaient empiler les montagnes pour attaquer les Dieux. Les Dieux décidèrent de les punir. lycaon égorgé un des otages que lui avait envoyés le peuple des molosse,vaincu a la guerre. lycaon s'enfuit épouvanter seul des hurlement troublent le silence de la campagne,ses vêtement se changent en poil , ses bras deviennent des jambes . c'est desormait un loup cruel. le deluge Les Dieux décidèrent de mettre l’espèce humaine sous les eaux. il enferme l'Aquilon et tous les vents capable de chasser

d'ailleurs, Mondo le petit garçon qui passe, Lullaby la voyageuse, Jon, Juba le sage, Daniel Sindbad qui n'a jamais vu la mer, Alia, Petite Croix, et tant d'autres, nous sont délégués comme autant d'enfants-fées. Ils nous guident. Ils nous forcent à traverser les tristes opacités d'un univers où l'espoir se meurt. Ils nous fascinent par leur volonté tranquille, souveraine, accordée au silence des éléments retrouvés. Ils nous restituent la cadence limpide du souffle, clé de notre âme. Sujet : un enfant

phosphorique, comme un poison lumineux ; et toute cette lumière vivante pensait et disait : "Tu subiras éternellement l'influence de mon baiser. Tu seras belle à ma manière. Tu aimeras ce que j'aime et ce qui m’aime : l'eau, les nuages, le silence et la nuit ; la mer immense et verte ; l'eau uniforme et multiforme ; le lieu où tu ne seras pas ; l'amant que tu ne connaîtras pas ; les fleurs monstrueuses ; les parfums qui font délirer ; les chats qui se pâment sur les pianos et qui gémissent comme les

| | | |Date: | |Sujet: nous parlons des poissons et de la fête des mères Projet: nous créons un coin mer et invitons les mamans | |Discipline: Français Titre de l'activité: Lecture d’album «A la folie » | |

étaient martelés par les coups âpres de mes insomnies. Jamais au grand jamais, je n’ai pu songer à m’évader de cette désolation. Les marques virulentes sur mon corps étaient à jamais souillées dans ma peau. Ainsi, le tableau noir voguait sur la mer enfiévrée et caressait l’eau plus vite que la douleur dans mon corps. Je ne fis qu’un seul regard au sein de cet affolement. L’air froid arrivait toujours à mon œillade de façon continuelle et toujours de façon amère. Les premiers émois se sont

l’entouraient d’une ceinture verdoyante et servaient de pâturages à de nombreux troupeaux. Des chaussées élevées par la main des hommes, et qu’ils maintenaient avec une constante sollicitude, protégeaient le village contre les envahissements de la mer, tandis que des écluses pratiquées d’endroits en endroits, permettaient aux eaux bienfaisantes de se répandre librement sur les prairies, pendant les temps de sécheresse. À l’ouest et au midi, des champs de lin et de blé, de riches vergers annonçaient