Le Silence De La Mer Le Titre

Microsoft Word - Giovanna Corchia, P. Eluard[1].docGiovanna Corchia La Terre est bleue comme une orange. Paul Éluard: Lire la poésie. 2011Le bleu : c’est le ciel, c’est la mer, c’est le mariage entre ciel et mer. L’orange: c’est le fruit à la belle couleur chaude, c’est son goût , une fête pour le palais, c’est la rondeur, c’est la maternité, c’est la terre, mère nourricière, c’est le soleil pris au piège, c’est ce que nous arrivons à voir…

que l’on doit respecter, comme si la vie n’avait pas de sens. Marie Cordona est l’amie de Meursault. Elle veut se marier avec lui. Elle sait que Meursault est bizarre, mais elle dit que c'est pour cela qu’elle l'aime. («Après un autre moment de silence, elle a murmuré que j'étais bizarre, qu'elle m'aimait sans doute à cause de cela, mais que peut-être un jour je la dégouterais pour les mêmes raisons.») Elle se montre patiente face à l’indifférence de Meursault. Raymond est un ami de Meursault

lui-même, et voici qu’il l’emportait, comme sa proie, sur les flots, vers la terre ennemie ! « Chétive2, disait-elle, maudite soit la mer qui me porte ! Mieux aimerais-je mourir sur la terre où je suis née que vivre là-bas !... » 10 Un jour, les vents tombèrent, et les voiles pendaient dégonflées le long du mât. Tristan fit atterrir dans une île, et, lassés de la mer, les cent chevaliers de Cornouailles et les mariniers descendirent au rivage. Seule Iseut était demeurée sur la nef, et une petite

un espace lui-même « épuré » des mots et des vers. Mallarmé inaugure cette logique nouvelle de la poésie qui se veut une réflexion du langage. Une telle poétique exigeante repousse sans cesse les limites de l’écriture plus près du « blanc » et du silence. Mallarmé aurait donné naissance à une poésie qui, se retranchant du monde pour céder l’initiative aux mots, accomplirait « la disparition élocutoire du poète ». Dans cette lignée s’inscrivent certaines tentatives et réflexions de Paul Valéry

que les cymbales du soleil sur mon front » : Insiste sur la douleur due à la chaleur. La mer et le ciel - La mer : Nombreuses personnifications l.1 + 37 → La mer est un élément qui domine aussi le personnage. - Le ciel : L.38 « Le ciel s'ouvrait pour laisser pleuvoir du feu » → Métaphore. => Confusion des sens, les quatre éléments se confondent : Le feu ( soleil ), l'air ( ciel, souffle ), l'eau ( mer ), la terre ( la plage ). L.19 « l'air enflammé » → Ici l'air et le feu sont mélangés ainsi

ouverte sur la mer.3. [problématique]Comment Supervielle célèbre-t-il Marseille?Comment, à travers l´évocation de Marseille, le poète célèbre-t-il la vie et la poésie?4. [annonce du plan]I. Marseille, une divinité marineA. De la ville à la métaphore marineInterprétationsRelevésProcédésassimilation de Marseille et de la mer. Mer à l´origine de la vie sur terre. Accent mis sur l´"apparition" de la ville. Soudaineté du surgissement en deux mots ("Marseille sortie")"sortie de la mer" expansion nominale

cultures, il allait dire : «J'ai aimé et détesté cette ville plus que tout» - «Quand on vit dans une ville comme celle-là, le seul moyen d’échapper à l’univers urbain, c’est d’aller à la plage. Donc, d’écrire sur la plage, de parler de la plage et de la mer, puisqu’il y a ça à Nice.» - «Nice dans les années cinquante était d’une grande injustice sociale. Cela me faisait mal. Sous le soleil, la pauvreté. J’y ai vu mourir de faim des personnes âgées, de vieux Russes en exil, à une époque où il n’y avait

meurt peu après. 2. L’artiste et son œuvre Pour mieux comprendre comment fonctionne l’œuvre et saisir les intentions de l’artiste, on peut d’abord se référer au titre. Plight est un terme anglais qui désigne à la fois un état ou une situation critique, un piège, et l’idée de promesse ou d’engagement. Le titre de l’œuvre a donc une double signification qui peut paraître paradoxal mais qui s’éclaire dès lors que l’on connaît les évènements qui ont marqué la vie de l’artiste, ainsi que

cause de ses mains gantées. Un petit bruit derrière lui. La cigarette aux lèvres, il se retourna. Zagreus le regardait toujours, mais venait de fermer son livre. Mersault, pendant qu'il sentait le feu chauffer ses genoux jusqu'à la douleur, lut le titre à l'envers : L'Homme de cour, de Baltasar Gracian. Il se pencha sans hésiter vers le bahut et l'ouvrit. Noir sur blanc, le revolver luisait de toutes ses courbes, comme un chat soigné, et il maintenait toujours la lettre de Zagreus. Mersault prit celle-ci

vagues d’une mer prête à emporter les imprudents, un frêle esquif qu’un équipage malmené par la tempête essaye de ramener sur le côte. C’est un poème lyrique et non un film d’ethnologue, Flaherty passant sous silence les données sociologiques ou historiques. Les îles d’Aran ce sont des terres arides, sans végétation, où les habitants doivent fabriquer la terre avant de même de pouvoir semer. Les quelques patates qui peinent à pousser appellent les hommes à partir à l’assaut de la mer, furieuse, déchaînée