Le Sentiment Amoureux

amoureuse de Pétrarque et de Ronsard. Pour Pétrarque Laure incarne l’amour pur, l’amour envers une dame qui parait un ange. Pensant à elle, le poète perd le contact avec le réel, il vit dans le délire provoqué par ce sentiment amoureux très fort. Sans doute, l’auteur mêle ses sentiments aux éléments de la nature, de l’eau, de la forêt, des fleurs etc. Pour cela, il est très important de donner lieu à la présence de la nature dans Le Canzionere. La nature existe dans l’épique avant Pétrarque, mais

Séquence 2 : Le théâtre du XVIIe et du XXe siècleLes Fausses Confidences (1737)Texte 1 : Acte I, Scène 14 :Introduction : Cette scène est extrait de l’acte 1 scène 14 de la célèbre pièce Les Fausses Confidences du dramaturge français, Marivaux, joué pour la première fois en 1737. Marivaux était un célèbre moraliste français du XIIIe siècle qui s’inspirait beaucoup de la Comedia Del Arte ainsi que la société d’ordres dans laquelle vivait pour écrire ces œuvres

De la naissance de l'amour Stendhal donne la description aussi exacte que piquante des symptômes successifs et des phases de l'amour. Ici, il utilise le terme cristallisation qui désigne le sentiment amoureux produit par l’imaginaire de l’amant. Par extension, ce terme s’applique également à tout sentiment né de l’imagination personnelle (ou collective) qui se fixe sur un objet ou une personne pour le transfigurer Stendhal distingue sept époques et énumère ainsi ce qui se passe dans l'âme :

appelle ça les 3 moi : Le moi parent (discours de nos parents, comportements, préjugés, protecteurs, … Ex. : Les Français sont chauvins)), le moi adulte (rationnel, existe à tout âge, Ex. : Les adultes sont courtois) et le moi enfant (images d’enfant, sentiments, par rapport à notre enfance, Ex. : Les femmes sont couveuses). James et Jongeward, « Naitre gagnant », 2002. Le terme « gagnant » est fort utilisé en Analyse Transactionnelle. Ces gagnants sont sur d’eux, sont responsables, parfaits, etc. Les

conquêtes féminines. Certes, sa tante Gina, la brillante et pétulante duchesse de Sanseverina, éprouve pour lui un sentiment qu’il faut bien reconnaître comme étant celui de l’amour. Mais Fabrice lui-même n’aime pas. Incapable de s’attacher à l’une de ses maîtresses, nourrissant pour sa tante une affection et une complicité profondes, mais gêné de ce qu’il devine être en elle des sentiments auxquels il ne peut pas répondre, il se croit insensible à l’amour. Jusqu’à ce qu’il rencontre Clélia. Il l’avait

caractéristiques de la lettre d'amour 1- exaltation de son amour ¨ le registre lyrique + champ lexical ¨ métaphore du feu, clichés « ardeur dévorantes »... ¨ Désordre de l'organisation liée à la force du sentiment/délire = se présente comme fou amoureux < cf. « délire »... 2- reproche à l'adresse de Mme de Tourvel qu’il veut faire culpabiliser ¨ interpellation directe à sa destinataire plusieurs fois < cf. « Madame » ¨ souffrances qu'elle lui fait subir

l’expression des sentiments et à l’analyse psychologique. L’extrait étudié est la deuxième scène de l’Acte II, acte où les protagonistes qui ont noué le drame (enlèvement de Junie) paraissent. Néron est présent pour la première fois, bien que décrit dans les scènes précédentes notamment par sa mère Agrippine. Il apparaît ici comme un homme amoureux mais sadique à la fois montrant du désir à voir Junie souffrir. On se demandera en quoi cette tirade est révélatrice des sentiments de Néron. Après avoir

FRANÇAIS EXEMPLES DE PLANS COMPARATIFS 1. PLAN COMPARATIF 1 I. Les éléments que partagent les deux textes (ressemblances ou convergences) A. L’obsession des narrateurs devant la chevelure • chez Baudelaire • chez Maupassant B. L’expression du sentiment amoureux • chez Baudelaire • chez Maupassant II. Les caractéristiques qui opposent les deux textes (différences ou divergences) www.ccdmd.qc.ca/fr A. Des chevelures de nature différente • les cheveux d’une femme vivante chez Baudelaire • les cheveux

Le mouvement surréaliste a particulièrement puisé son inspiration parmi les sentiments passionnels et instinctifs tels que l'amour en les exprimant d'une manière totalement différente de la poésie classique. Ce fut le cas de Paul Eluard, symbole de la poésie surréaliste du milieu du Xxéme siècle, au côté d'Aragon ou encore Man Ray. Vers la fin de sa vie, en 1951, il publie son recueil Le Phénix, dans lequel il fait un éloge de son nouvel amour Dominique de 19 ans sa cadette. La muse est une nécessité

en Belgique. Ce poème est inspiré par une curiosité et un désir naissant de l’auteur pour les femmes, on y découvre une vision des rapports amoureux qui prend l'allure d'un jeu. Il est également dédicacé à une certaine « elle ». C’est un sonnet original tant par sa forme, qui bouleverse les règles classiques du genre, que par le contenu de ce « rêve amoureux », représentatif de la fantaisie du jeune poète. « Rêvé pour l’hiver » appartient au second « cahier ». Il s’agit d’un sonnet hétérométrique