Le Seigneur Sans Visage

Et Phèdre différait à le faire punir ! Le silence de Phèdre épargnait le coupable ! OENONE Phèdre épargnait plutôt un père déplorable. Honteuse du dessein d'un amant furieux Et du feu criminel qu'il a pris dans ses yeux, Phèdre mourait, Seigneur, et sa main meurtrière Eteignait de ses yeux l'innocente lumière. J'ai vu lever le bras, j'ai couru la sauver ; Moi seule à votre amour j'ai su la conserver, Et plaignant à la fois son trouble et vos alarmes, J'ai servi malgré moi d'interprète

chercher votre salut dans un relief bienfaisante : allez à tous les amis que vous avez à Ephèse , en vous faisant mendier ou emprunter pour ramasser le direct et , si non, votre mort est inévitable maire , prendre . votre garde . ALCAIDE . «Oui , mon seigneur . ( Le duc va avec l' arrêt de son savoir . ) Aegeon - ..- Aegeon - . Prend sa retraite sans espoir SOCO ¬ transport , et sa mort est simplement reporté . ( Salen ) . SCENE II PLACE PUBLIQUE Antipholus de Syracuse et Dromio , un marchand MERCADER

Tous ceux qui sur la terre, entourèrent JESUS de très près, tous se taisaient … Marie et Joseph conservaient et méditaient ces choses dans leur cœur. ♦ Nous aussi, en pèlerinage sur cette terre, avec Marie et Joseph : En silence adorons le SEIGNEUR ; En silence méditons la vie de JESUS : Suivons JESUS à Bethléem, à Nazareth, durant sa vie publique ; Suivons JESUS au long de sa passion ; Contemplons les merveilles de sa Résurrection et de sa vie de RESSUSCITÉ.

Si c’est un homme Vous qui vivez en toute quiétude
Bien au chaud dans vos maisons,
Vous qui trouvez le soir en rentrant
La table mise et des visages amis,
Considérez si c’est un homme
Que celui qui peine dans la boue,
Qui ne connaît pas de repos,
Qui se bat pour un quignon de pain,
Qui meurt pour un oui ou pour un non.
Considérez si c’est une femme
Que celle qui a perdu son nom et ses cheveux
Et jusqu’à la force de se souvenir,
Les yeux vides et le sein froid
Comme une grenouille en hiver.
N’oubliez

fixe inspirée de l’antiquité (les alexandrins font référence à Alexandre le Grand par exemple). La volonté d’éduquer le lecteur se perçoit par l’utilisation du ton didactique. On lit ainsi une gradation dans les exemples de l’auteur. L’apostrophe « Seigneur » au premier vers du sonnet prend à témoins Dieux mais aussi le lecteur. La première personne n’est utilisé que deux fois mais à des places qui la mette en valeur : une fois en début de poème avec « je » au vers 1 et une fois à la fin avec « me »

à regarder, et elle était, sous la forme féminine, si semblable à Elrond que Frodon devina une proche parente. Elle était jeune et en même temps pas. Les tresses de ses cheveux sombres n'étaient touchées d'aucun givre, ses bras blancs et son clair visage étaient lisses et sans défaut, et la lumière des étoiles brillait dans ses yeux, gris comme une nuit sans nuage; elle avait de plus un port de reine, la pensée et le savoir se révélaient dans son regard comme dans celui de quelqu'un qui a connu maintes

dire ; mais ils furent entièrement de son avis.

Un seigneur comme monsieur le marquis, continua-t-il , ne doit pas se dessécher le cerveau dans ces vaines études. Si un jour il a besoin d'un géomètre sublime, pour lever le plan de ses terres, il les fera arpenter pour son argent. S'il veut débrouiller l'antiquité de sa noblesse, qui remonte aux temps les plus reculés, il enverra chercher un bénédictin. Il en est de même de tous les arts. Un jeune seigneur heureusement né n'est ni peintre, ni musicien

montrant la petite porte à droite.               – avant de nous quitter, Dans cette chambre où sont les hommes de police, Voyez donc si les trois alguazils de service Sont éveillés. Ruy Blas. Il va à la porte, l'entr'ouvre et revient.               Seigneur, ils dorment. Don Salluste.                                           Parlez bas. 60 - J'aurai besoin de vous, ne vous éloignez pas. Faites le guet afin que les fâcheux nous laissent. Entre don César De Bazan. Chapeau défoncé. Grande cape déguenillée

L'ILE DES ESCLAVES, COMÉDIEL'ILE DES ESCLAVES COMÉDIE Représentée pour la première fois par les Comédiens Italiens du Roi, le Lundi 5 mars 1725. MARIVAUX, Pierre de (1688-1763) 1725 - 1 -Texte établi pas Paul FIEVRE, août 2011. Publié par Ernest, Gwénola et Paul Fièvre pour Théâtre-Classique.fr, Décembre 2020. Pour une utilisation personnelle ou pédagogique uniquement. Contactez l'auteur pour une utilisation commerciale des oeuvres sous droits. - 2 -L'ILE DES ESCLAVES COMÉDIE Représentée pour la

produira des épines et des ronces…C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain… jusqu’à ce que tu retournes à la terre d’où tu as été pris… » (Gen. 3 :17-19). Désormais, l’homme et toute sa descendance sont obligés de vivre dans les ténèbres de la mort. Dieu déverse sur eux tous les maux qui cependant ne marquent pas la fin de l’histoire. Ils préparent une prise de conscience pour le petit reste qui essaye de revenir au Seigneur en se convertissant. Ainsi, Dieu conclut une alliance avec