Le Schpountz 1938

et ordonnée des documents suivants : François RABELAIS : Gargantua (1534) Henri BERGSON : Le Rire, Essai sur la signification du comique (1900) Affiche du film de Charlie CHAPLIN Le Dictateur (The Great Dictator), 1940 Marcel PAGNOL : Le Schpountz (1938). DOCUMENT 1.AUX LECTEURS Amis lecteurs qui lisez ce livre, Dépouillez-vous de tout tourment; Et, le lisant, ne soyez pas scandalisés ; Il ne contient ni mal ni infection. Il est vrai qu’ici vous apprendrez Peu de perfection, sinon en

populaire et apprécié par les français, nous allons montrer que l’humour cache également une facette plus obscure et devient ainsi plus un besoin, une échappatoire à une morne vie qu’un véritable plaisir de rire Dans le film le Schpountz, réalisé par Marcel Pagnol en 1938, une séquence met en scène Irénée, un personnage naïf engagé pour jouer un rôle tragique qui fait, au final et contre toute attente, fait rire le public et Françoise, son amie qui lui apprend qu’il a fait rire. Dans ce dialogue

en 1934 sa propre société de production et ses studios de cinéma, et réalise de nombreux films avec les grands acteurs du moment (en particulier Raimu, Fernandel, Pierre Fresnay ou Louis Jouvet) : Angèle (1934), Regain (1937), La Femme du boulanger (1938)... Élu à l'Académie française en 1946, il abandonne le cinéma et le théâtre, et commence la rédaction de ses Souvenirs d'enfance avec notamment La Gloire de mon père et Le Château de ma mère. Il publie enfin, en 1962, L'Eau des collines, roman en

de propre à chaque individu. En effet, deux personnes différentes exposées à une même situation, ne rirons pas pareil, pour les mêmes raisons et de manière différentes. Comme l’expose Françoise dans la célèbre pièce de théâtre Le Schpountz, de Marcel Pagnol écrite en 1938, le rire est une sorte de thérapie. Elle explique à Irénée que les gens ont rit, ce n’était pas pour se moquer de lui mais parce qu’il a dit ou dégagé des effets comiques. Elle lui explique donc qu’il y a une différence entre l’acteur

Fernand Joseph Désiré Contandin Naissance 8 mai 1903 Marseille (Bouches-du-Rhône) Nationalité Drapeau de France Français Décès 26 février 1971 (à 67 ans) Paris Profession Chanteur acteur réalisateur humoriste Films notables François Ier Le Schpountz Topaze La Vache et le Prisonnier série Don Camillo Fernand Contandin, dit Fernandel1, est un acteur, humoriste, chanteur et réalisateur français né le 8 mai 1903 à Marseille et mort le 26 février 1971 à Paris. Issu du music-hall, il fut durant

BRUSATI : Luis BUNUEL : Tim BURTON : James CAMERON : Jane CAMPION : Franck CAPRA : L’extravagant Mr Deeds (1936) Les horizons perdus (1937) Monsieur Smith au Sénat (1939) L’homme de la rue (1941) Drôle de drame (1937) Le quai des brumes (1938) Les visiteurs du Soir (1942) Les enfants du paradis (1945) Les portes de la nuit (1946) Assaut (1976) New York 1997 (1980) Starman (1985) Le Beau Serge (1959) Les bonnes femmes (1960) Landru (1963) La femme infidèle (1969) Que la bête meure (1970)

du commerce du comique et analyse sa place dans notre société. Quant à l’essai d’Olivier Mongin, De quoi rions-nous ? Notre société et ses comiques, il tente de comprendre, en 2006, le succès de Jean-Marie Bigard. Enfin, Le Schpountz, une comédie de Marcel Pagnol datant de 1938, met en scène le personnage d’Irénée qui se désole de faire rire. Il aborde, par la même occasion, les clichés qui courent contre et le comique. On peut ainsi s’interroger sur la place du rire dans notre société. En effet

ordonnée des documents suivants :  François RABELAIS : Gargantua (1534)  Henri BERGSON : Le Rire, Essai sur la signification du comique (1900)  Affiche du film de Charlie CHAPLIN Le Dictateur (The Great Dictator), 1940  Marcel PAGNOL : Le Schpountz (1938). DOCUMENT 1.AUX LECTEURS Amis lecteurs qui lisez ce livre, Dépouillez-vous de tout tourment; Et, le lisant, ne soyez pas scandalisés ; Il ne contient ni mal ni infection. Il est vrai qu’ici vous apprendrez Peu de perfection, sinon en

les séquences 5 et 6. Corpus : Texte A – Molière, Le Bourgeois gentilhomme, Acte III, scènes 3 à 4 (1670) Texte B – Racine, Andromaque, Acte III, scène 6 (1667) Texte C – Jean Anouilh, Antigone (1944) (extraits) Texte annexe – Marcel Pagnol, Le Schpountz (1938) (extrait) Texte A : Molière, Le Bourgeois gentilhomme (1670). Covielle fait croire à M. Jourdain, un « snob » de son époque - c’est-à-dire un bourgeois qui se prend pour un noble (un « gentilhomme »)- que le fils du Grand Turc veut épouser

français « Atmosphère… atmosphère… est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ? » La plus célèbre des répliques du cinéma français est ainsi la première dans l’ordre alphabétique. Elle est dite par Arletty à Louis Jouvet dans Hôtel du Nord, un film de 1938 réalisé par Marcel Carné (dialogues d’Henri Jeanson). M. Edmond (Louis Jouvet) parle de partir aux colonies, proclamant qu’il a besoin de « changer d’atmosphère ». Et Mme Raymonde (Arletty) lui réplique avec sa gouaille inégalée : « C’est la première