Le Sacre Royal Au Moyen Age

Chapitre 1 : La formation de la France | I)Le cadre général A)Le Moyen-Age ( V-XV ème siècles) 1)V-Xème siècles France Gallo-Romaine, les peuples germaniques vont se constituer en royaumes, D. écrit disparaît pour n’être plus qu’un D. oral. a) Les royaumes barbares 3 royaumes : Wisigoths: l'Édit de Théodoric et la Loi Romaine des Wisigoths appelée aussi Bréviaire d’Alaric → loi reprise à travers toute la Gaulle après les conquêtes de Clovis en Aquitaine. Burgondes: Loi des

Jésus-Christ. En raison de la chute de l’Empire romain et du changement de souveraineté impériale en souveraineté royale, la maxime se modifie avec le temps : "prince" devient "roi". Elle associe le pouvoir royal à la production législative ; la loi apparait comme un domaine réservé du roi et comme si elle tirait sa force de la suprématie du souverain. Le roi est au Moyen-Âge le suzerain des suzerains, au sommet de la pyramide vassalique. Ses vassaux lui doivent fidélité. Il est humain par

sens est apparue au IXème quand les structures de l'état carolingien se sont effondrées. Le point fort des carolingiens est la pratique du sacre (initié par Pépin le Bref en 751). Il modifie la nature de l'autorité royale. Ce rite est très prestigieux : le roi carolingien reçoit l'onction des saintes huiles = il est roi par la grâce de dieu. L'autorité royale doit donc être mise au service de la justice et de la paix. Cette théocratie a pour but de faire régner le message chrétien sur un territoire

appartements, et en plus de ce caractère domestique, il a la garde du trésor royal. D’autres officiers n’ont que des missions publiques, comme le comte du palais chargé de l’instruction des affaires devant le tribunal du roi, ou le référendaire chargé de la rédaction et de l’authentification (sceau royal) des actes royaux ou le maire du palais chargé à l’origine de gérer les domaines royaux et de décider des dépenses royales, il aura par la suite un rôle politique important notamment au moment des

germanique : le haut Moyen-Âge A/ La conception patrimoniale du pouvoir mérovingien B/ La restauration impériale carolingienne II. La source canonique A/ Le droit canonique et la papauté B/ La pensée politique au sein de l’Église III. La source urbaine A/ L’organisation urbaine B/ La Cité-État 2e partie LA CONSTRUCTION DE L’ÉTAT MODERNE Section I LES PREMICES DE L’ÉTAT MODERNE I. Les développements du magistère royal A/ L’évolution de la théorie carolingienne B/ La portée du sacre chez les Capétiens

.............................................8 B) Le clergé régulier, une force en croissance..................................................................8 Section 2 Le pouvoir royal.........................................................................................................9 1. La légitimité royale...........................................................................................................9 A) L'héritage antique.....................................................

Introduction à l’histoire des institutions. I) Constitution d’ensemble de l’occident Chapitre 1: Les institutions globales de la fin de l’antiquité grecque. Chapitre 2: Elément d’unité en occident à la fin du Moyen-âge. Chapitre 3: Les institutions des rassemblements de l’occident dans les temps modernes. II) Chapitre 1: principe de la souveraineté. Chapitre 2: La justification de l’autorité publique. Loi fondamentale du royaume. Chapitre 3: L’adoption des principes de l’autorité

produit une explosion démographique en France. A/. L’évolution démographique française avant 1750 XIV siècle XVII siècle A partir de 1640se produit un nouvel accident climatique, un grand refroidissement qu’on appelle le petit âge glacier. Il est caractérise par la persistance du froid, un hiver long, automne précoce qui ne permet pas aux céréales de parvenir à maturité. Années les plus froides. La encore la famine s’installe et les révoltes paysannes se font de plus en plus

masculinité qui provoque la réaction du Parlement de Paris, ligueur lui-même et soutenu par le parti modéré. À partir du XVI ème siècle, le Parlement de Paris ne s’est pas contenté d’un simple contrôle technique de la régularité juridique des actes royaux, il s’est arrogé un véritable contrôle d’opportunité, critiquant ainsi le fond même de la mesure, et en particulier par le biais de sa conformité aux lois fondamentales du royaume, dont il se réservait l’interprétation. Ce texte est destiné au Roi

"Toute justice émane du roi",cet adage affirmé par Loysel fait écho à " si veut le Roi, le veut la loi"qui illustre la suprématie de la justice royale sur les justices seigneuriales ou ecclésiastiques. En effet, à l'époque monarchique et à l'époque féodale, il existait une confusion les pouvoirs, les magistrats de l'ancien régime pouvait se prononcer à la fois sur les actes judiciaires, administratifs, réglementaires et même législatifs. C'est alors que posséder le pouvoir judiciaire était devenue