Le Réalisme De L Homme Qui Rit

est typiquement heureux avec les deux amants réunis et sauvés, le roi destitué et le grand festin avec tout le peuple. Le rire est aussi omniprésent sur scène que la mort. La relation burlesque entre le roi et Aïrolo n’étant le point plus fort. On rit de l’impuissance du fort face au faible et de plus on voit des personnages qui rient sur scène, comme un miroir de ce qui devrait se passer dans la salle. « MESS TITYRUS : Je ris de ce réseau bizarre de caprices » (v. 715). Cependant le mélange

français. Son œuvre compte parmi les plus fascinantes du XIXe siècle => pour de nombreuses raisons, que l’on va détailler au fur et à mesure. Son père, François Ducasse, est chancelier au consulat général de France à Montevideo, mais aussi un homme d'une grande culture. Sa mère, Jacquette Davezac, décède en 1847 dans des circonstances mystérieuses (elle se serait suicidée). => donc seulement un an après la naissance d’Isidore, qui sera élevé par son père seul. Isidore Ducasse passe son enfance

[pic] | | Introduction I Hugo Homme de Théâtre II Hugo Peintre Dessinateur III Hugo Romancier IV Hugo Politicien V Hugo poète Conclusion Dessins et peinture Citations Source des documents |[pic] | Le XIX éme siècle fût celui de grands changements, nombreux philosophes, artistes critiquent les travers de la société à leur époque. Victor Hugo, né en 1802 et mort en 1885 fût l’un de ces personnages. Par son brillant talent il

domestiques ; il laisse son fils s'endetter et sa fille s'enfuir ; il veut cacher son argent, et on le lui vole ; il veut se marier, et on lui prend sa maîtresse ; il tâche d'être galant, et il est imbécile ; il pleure, et le spectateur rit. Que de moyens pour rendre un homme grotesque !» Il est bouffon devant Mariane, bouffon dans ses pauvres colères, bouffon dans sa naïveté lorsqu'il boit les flatteries de Frosine, bouffon quand il enterre sa cassette, bouffon surtout dans le fameux monologue de la scène

secrète ambition de Charlotte, flatte aussi habilement sa vanité et son désir d’ascension sociale, elle mérite mieux qu’ « un simple paysan ». II – Charmer La flatterie a d’autant plus de pouvoir qu’elle émane, dans le cas de Don Juan, d’un homme beau et paré de tous les prestiges de l’aristocrate. Il impressionne par sa prestance physique et la richesse de ses habits, qui nous ont été décrits précédemment. Sa désinvolture et l’élégance de ses manières tranchantes avec la balourdise et la rusticité

grandes pièces principales : Euripide, né à Salamine en 480 av. J.-C., mort en Macédoine en 406 av. J.-C., est un tragique grec. Son œuvre se caractérise par son innovation : les comportements humains et les situations sont représentés avec plus de réalisme. (-480 à -406, Grec), Médée. : Dans la mythologie grecque, Médée est la fille d'Éétès, roi de Colchide. Elle est magicienne, comme sa tante Circé .Particulièrement sombre, la légende de Médée est constituée d'une succession de meurtres ponctués de

domestiques ; il laisse son fils s'endetter et sa fille s'enfuir ; il veut cacher son argent, et on le lui vole ; il veut se marier, et on lui prend sa maîtresse ; il tâche d'être galant, et il est imbécile ; il pleure, et le spectateur rit. Que de moyens pour rendre un homme grotesque !» (Taine). Il est bouffon devant Mariane, bouffon dans ses pauvres colères, bouffon dans sa naïveté lorsqu'il boit les flatteries de Frosine, bouffon quand il enterre sa cassette, bouffon surtout dans le fameux monologue

_Passion et vertu (1837) Récit: _Trois contes (1877) III) Réflexion sur son œuvre Flaubert, qui se réfugie assez vite dans la littérature, homme double, balançant entre le romantisme entre réalisme, mais tiré à la fois par un immense besoin de lyrisme. Son unité « d’artiste » fasciné par le vrai et le beau. IV) Court résumé:

Swinburne qui l’invite chez un compatriote. Il y repère une main d’écorché qui, des années plus tard, lui inspirera deux contes (La Main d’écorché, La Main). Renvoyé du séminaire d’Yvetot pour sa façon de penser inadaptée à la religion, le jeune homme termine sa scolarité au lycée de Rouen. Il se rend alors à Paris pour entamer des études de droit. Il y a pour correspondant le poète Louis Bouilhet qui le mène chez Flaubert. Ses projets sont bouleversés, car en 1870, débute la guerre franco-prussienne

de devenir son élève. Arrivé sur le palier, il fait une étrange rencontre. « Un vieillard vint à monter l'escalier. À la bizarrerie de son costume, à la magnificence de son rabat(1) de dentelle, à la prépondérante sécurité de la démarche, le jeune homme devina dans ce personnage(2) ou le protecteur ou l'ami du peintre ; il se recula sur le palier pour lui faire place, et l'examina curieusement, espérant trouver en lui la bonne nature d'un artiste ou le caractère serviable des gens qui aiment les arts ;