Le Roi S Ennui

c’est un roman réel, un roman dit réaliste, et pourtant les dates sont quasiment absentes. La contexte Historique Le roman se situe sous la Monarchie de Juillet ; 1830 - 1848 Révolution du 27, 28 et 29 Juillet 1830 Louis Philippe Ier = Roi français ; Roi bourgeois = la branche d’Orléans = la Monarchie bourgeoise 1848 : la Révolution de 1848, la seconde République 1848 - 1852 2 décembre 1851 : coup d’état de Louis Napoléon Bonaparte 2 décembre 1852 : le second Empire jusqu’en 1870 Dates

Marguerite de Navarre (la soeur du Roi). Les affrontements entre le pouvoir religieux qui essaie de censurer et le pouvoir royal qui va promouvoir l’évangelisme vont etre permanents. Un moment de rupture en 1534 avec une affaire très importante : l’affaire des placards, octobre 1534. Placards : affiche. 2taient placardées un certain nb d’affiches dans Paris contre la messe. Affiches placardées jusque sur la porte de la chambre du roi. A partir de cette affaire, l’attitude du roi va changer. Il va beaucoup

Boileau, Colbert) à qui il confit des tâches plus ou moins importantes. La condition des paysans n’évolue pas tandis qu’à l’inverse celle des nobles évolue. Versailles est la place forte de la France et tous veulent y être pour s’attirer les faveurs du Roi Soleil. Du théâtre se dégage un idéal psychologique et moral : optimisme, grandeur d’esprit, passion noble. Cette conception est liée à l’époque. C’est le culte de l’honnête homme. C’est lors des soirées dans les salons où à la cour qu’est cultivé

lui causer que des ennuis. Ses connaissances et la pertinence de son analyse lui valent de se retrouver en prison. Libéré, il essaye de se consoler en s’adonnant à la philosophie. Il reçoit chez lui les savants de Babylone. Mais ce succès suscite la jalousie du courtisan Arimaze, qui le fait incarcérer. Innocenté, Zadig est libéré. Il devient le favori du roi et de la reine. Tout semble lui sourire, mais son sort semble dépendre du hasard. Il est nommé premier ministre du roi Moabdar et réussit

de destin exceptionnel. Charles X, qui règne de 1824 à 1830, est un roi intransigeant et conservateur aux mesures trop sévères, ce qui aboutit à la Révolution de juillet suivie notamment par Alexandre Dumas et Stendhal. Les intellectuels voient dans cette Révolution l'espoir d'une réforme libérale du régime, voire une évolution vers la République. Mais la Révolution avorte. C'est l'avènement de la Monarchie de juillet avec le roi Louis-Philippe. C'est une grande déception pour la classe intellectuelle

des châteaux''. Il aime Cunégonde, est ami avec son frère et écoute sans ennuie les théories de son maître Pangloss le philosophe qui lui enseigne que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ( Pangloss reprend Leibniz).Candide le croit, mais se fait chasser du plus beau des châteaux parce qu’il a donné un baiser à Cunégonde. Il se fait engager dans l'armée Bulgare. Le roi des Bulgares livre bataille au roi des Abares. Candide s’enfuit alors en Hollande. Là, le jeune garçon découvre

de son mieux le sert et le soigne jusqu’à ce qu’il soit rétabli. Plus tard, l’autre de s’aviser que perdre un œil est un grand dommage. « Ce vilain m’a éborgné et ne m’a pas dédommagé. Je vais contre lui porter plainte : il en aura mal et ennui. » Il s’en va donc se plaindre au maire qui lui fixe un jour pour l’affaire. Les deux parties, ce jour venu, comparaissent devant les juges. Celui qu’on avait éborgné parla le premier, c’était juste. « Seigneurs, dit-il, je porte plainte

Phèdre (personnage de la mythologie grecque) - Princesse grecque, fille de Minos, le roi de Crète , et de Pasiphaé, sœur d’Ariane, épouse, comme sa sœur, deThésée. Elle s'éprit d'une passion insurmontable pour son beau-fils Hippolyte, mais celui-ci ne répondit pas à son amour, et Phèdre, pour se venger, dénonça Hippolyte à Thésée, l'accusant d'avoir voulu attenter à son honneur. Thésée s'adressa alors àPoséidon et le pria de faire périr son fils Hippolyte. Poséidon fit sortir des flots undragon

le bien fondé de l'optimisme leibnizien ou prétendu tel. Voltaire s'en donne à coeur joie et le ridiculise sans ménagements. Dans sa première intervention, alors que Candide vient de faire une remarque de bon sens, il profite de la présence du mot Roi dans la réplique de son interlocuteur pour étaler son érudition sans que le sujet ne le justifie. Voltaire souligne ironiquement ce défaut par l'accumulation des noms de rois et surtout des noms de rois d'Israël aux sonorités inhabituelles pour le lecteur

d’attirer notre compassion, notre pitié. A travers les émotions qu’elle transmet au public, on discerne un courage sans faille. Elle ne laisse pas la pique de Pyrrhus percer ses défenses et lui répond avec franchise : « Sa mort avancera la fin de mes ennuis. » (Vers 376). Le sentiment d’impuissance, qui se dégage de ses paroles, et son courage sont très certainement liés, l’un renforçant l’autre. Toutefois, elle parvient à renverser le chantage dont l’afflige Pyrrhus en lui faisant part de la tristesse