Le Roi des truands

Society 2006 : The C.S.A Filmmaker Award. • Eddie Award 2007 du réalisateur de l'année. • César 2011 : César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière Résumé Après un hold-up raté, quatre cambrioleurs professionnels engagés par le même truand, ce retrouvent au point de rendez-vous fixé, deux des leurs sont déjà morts. Dans leurs têtes qu’une seule chose les préoccupent alors, trouver qui les a trahie. Tous cela ce finiras finalement en bain de sang… Avis personnel J’ai beaucoup aimée

Bernier, la chèvre ?   Durant sa cavale, Georges Figon interrogé par ses amis Jean Marvier et Anne-marie Coffinet sur le rôle de Bernier, le truand a répondu que Bernier avait été utilisé comme chèvre pour attirer le lion. Mais, s’interrogeant sur la sincérité de Bernier, il ajoutait : « Ou il est malin, et il fait semblant de ne pas savoir, ou c’est le roi des cons. » Alors Bernier savait-il que par son entremise Ben Barka devait être piégé et enlevé ? Un tas d’éléments troublants plaident en faveur

ARGUMENTATION : LES POLÉMIQUES LITTÉRAIRES (I) François RABELAIS : Gargantua (1534) Avant de raconter les aventures du géant Gargantua, fils de Grandgousier roi des Dipsodes, RABELAIS (1483-1553) met en garde son lecteur : qu’il ne se laisse pas prendre au piège d’un texte apparemment destiné à son seul divertissement. 1 Buveurs très illustres, et vous vérolés très précieux, — car c’est à vous, non aux autres, que je dédie mes écrits —, Alcibiade, dans un dialogue de Platon intitulé Le Banquet, faisant

révolution de 1830 11. Il est aussi un hommage à l'art gothique et à Hugo 12, au tapage - ou "bousin" qui se fait autour de son nom et de son oeuvre. Ces "hernanistes" se réuniront derechef le 22 novembre 1832 à l'occasion du nouveau drame de Hugo, Le Roi s'amuse 13. Hugo a su gré à Nerval de cette ferveur. Il semble avoir pris ce dernier sous sa protection. Hugo apparaît parmi les recommandations dont se prévaut Nerval lorsqu'il sollicite le renouvellement de ses droits de lecteur auprès de l'administration

la faillite et même l’emprisonnement pour dettes, il connaît le succès en 1655 en tant qu’auteur pour sa pièce l’Etourdi. Sa première comédie-ballet les Fâcheux jouée au Palais-Royal lui permet de s’attirer l’attention et la protection de Louis 14, roi des Français, à partir de 1661. Il parvient alors à atteindre au zénith de sa carrière, et écrit ses plus grands succès qui connaissent la consécration tels : L’Ecole des femmes (1663), Tartuffe (1669), Le Bourgeois Gentilhomme (1670) ou Les Fourberies

mentent, celui qui coupe les yeux de ceux qui sont trop curieux. Le titre Only God Forgives fait écho à cet inspecteur qui n'a pas le rôle de celui qui pardonne, mais le rôle de celui qui juge. Il ne faut pas interpréter son rôle comme étant celui d'un truand, il faut le voir comme un "ange de la mort" qui possède une autre fonction que celle de dieu. Ses habits noirs affirment son rôle. Il apparaît comme le bras vengeur de dieu, un bras armé d'un sabre. Parfois il sort son sabre de nulle part, lorsqu'il

retourne pas alors qu’elle tombe évanouie « sans connaissance ». En chemin pour la cour du roi, il va trouver une belle tente et une demoiselle qu’il va embrasser sans son consentement. Il va lui voler son anneau et la laisser honteuse et en pleurs. A la cour du roi  « qui fait les chevaliers », il arrive dans une cour où vient d’avoir lieu un outrage : un chevalier aux armes vermeilles a insulté la reine et volé au roi une coupe d’or. Se réalise alors la prophétie du fou qui avait dit qu’une jeune fille

truel Le bon, la brute et le truand se battent en truel (comme un duel mais à). Comme ils font les choses bien, ils ont tiré au sort l'ordre dans lequel ils doivent tirer: Le bon tirera en premier une balle, puis le truand, puis la brute. A condition, bien sûr, qu'il soit encore en vie. Et le tour reprendra dans le même ordre jusqu'à ce qu'il n'y ait qu'un seul survivant. Le bon ne tire pas très bien. Il n'atteint sa cible qu'une fois sur trois. Il sait que le truand tire un peu mieux que lui, et

attendant la suite. Enfin, l’inévitable Ennio Morricone, resté célèbre pour ses musiques de westerns, comme les mythiques Pour une poignée de dollars (Per un pugno di dollari) (1964), Et pour quelques dollars de plus (1965) et Le bon, la brute et le truand (1966), mais aussi celles de Le Clan des Siciliens (1969), Les Moissons du ciel (Days of Heaven) (1978), Cinéma Paradiso (Nuovo cinema Paradiso) (1989) et La Cité de la joie (City of Joy) (1992). Dans un autre registre, Dimitri Tiomkin, Alex North

arriver à vingt-deux mille huit cents francs (au lieu de deux mille francs). « Nous lâchâmes Haroun qu’à l’aube naissante. Il était ahuri. « Ma barbe arracherai, gémissait-il, mes joues larderai à coups d’ongles – les Hébreux ont été rois et Issa, roi des Hérétiques, a été crucifié par nos soins. Maintenant un Arabe roule un Juif – et dans le commerce des monnaies, ô Moïse ! » »[4] Nous avons ici quelques clichés sur les Juifs, tantôt évoqués par Driss et le Kilo, tantôt évoqués par Haroun Bitoun