Le Roi des truands

forces de police au métro Charonne et un autre mourra à l'hôpital. Quant à l'organisation terroriste OAS, elle fut réprimée par des moyens impitoyables : exécutions sommaires, tortures, polices parallèles, lesquelles n'hésitaient pas à recruter des truands, comme Georges Boucheseiche et Jean Augé. La Cour de sûreté de l'État fut créée en janvier 1963 pour en condamner les chefs, lesquels seront amnistiés quelques années plus tard (la Cour continue ensuite de juger des terroristes, jusqu'à sa suppression

l’autonoiation de l’Etat. Armée et impôt sont des marques de l’emprise du pouvoir de l’Etat. L'Etat met en place des institutions qui annonce le type d’Etat, capables de défaire les allégeances locales (basques, corse...) qui permet de briser les clans. Le roi met en place d'un intendant (le préfet) dans les régions et des sub délégués à plus petite échelle. Ils deviendront des départements. La structure large de l’Etat existait déjà pendant la période de l’ancien régime. Ensuite intervient étatisme selon

issue d'un Richard de Gaulle, écuyer du roi Philippe Auguste qui l'avait doté d’un fief à Elbeuf-en-Bray, en Normandie, en 1210. Vers 1420 un Jehan de Gaulle, après le désastre d’Azincourt, résista pendant près de deux ans aux Anglais à Vire, dans l’ouest de la Normandie, avant de s'exiler en Bourgogne2 où, aux xvie et xviie siècles, on retrouve trace de « capitaines-châtelains » de Gaulle à Cuisery : Gaspard de Gaulle, qualifié par le roi Charles IX de « chevalier », fut délégué

ici-bas, par quelque homme de génie. Mais je ne sais pas l’histoire, parce que je ne sais rien. Le diable m’emporte, si j’ai jamais rien appris ; et si pour n’avoir rien appris, je m’en trouve plus mal. J’étais un jour à la table d’un ministre du roi de France qui a de l’esprit comme quatre ; eh bien, il nous démontra clair comme un et un font deux, que rien n’était plus utile aux peuples que le mensonge ; rien de plus nuisible que la vérité. Je ne me rappelle pas bien ses preuves ; mais il

qui sont tirés de leur domaine respectif. A cette période ils sont souvent beaucoup plus riches que le roi. Les dépenses exceptionnelles initiées par le roi comme le financement d’une croisade ou le paiement d’une rançon, vont nécessiter le recours à l’impôt qui intervient de manière exceptionnelle. Cette situation va générer une modification entre les rapports entre le roi et ses féodaux. Le roi d’Angleterre (1215) Jean Sans Terre souhaite bénéficier d’une subvention exceptionnelle. Il se voit imposé

et en Amérique du sud.2 Tierno Monénembo est l’auteur, entre autres, des romans tels que Crapauds-brousse (1979), Un rêve utile (1991), Un attiéké pour Elgass (1993), Pelhourino (1995), Cinéma (1997), L’Aîné des orphelins (2000), Peuls (2004), Le Roi de Kahel (2008), Le Terroriste noir (2012) et d’une pièce de théâtre, La tribu des gonzesses (2006). Les œuvres des deux auteurs sont marquées par les épreuves de leur vie. Kourouma n’a de cesse de dénoncer la dictature, comme Monénembo, dont l’œuvre

modèle. Chez l'auteur des célèbres Remarques, ce modèle est double : outre « la plus saine partie de la Cour », sont distingués quelques écrivains, sans précision. Là seulement va se trouver le bon, le vrai français. La Cour, donc, avec ou sans le roi. Car la parole royale est trop sublime, trop parfaite, trop éblouissante pour servir de référence. La Cour qui entoure le monarque participe de son rayonnement solaire. Mais déjà, elle présente des éléments douteux, imparfaits, malsains, indignes de

espace, de disposer de l'autorité suffisante pour autoriser ces droits et prérogatives art 35. L'annexion peut être établit, ou prononcer par un traité après conquête avec les indigènes du pays se soumettant. Aussi le traité à l'amiable. Le roi Makoko qui possède un petit royaume au Congo qui cède ses territoires a Brazza. C'est le cas du sultan de Tadjoura a Djibouti qui fit un traité a l'amiable avec un officier français, contre tributs: argent, étoffe, armes, chèvres, et femmes.... Donc

sorte de génie du double jeu, don qu’il avait hérité de son père, lequel avait berné son monde jusqu’à sa mort avec d’héroïques histoires de réseaux résistants alors qu’il avait passé toute la guerre dans l’arrière-salle d’un restaurant marseillais. Roi du pseudonyme et des passés imaginaires, Laymé avait toujours mené de front cinq ou six vies sans jamais les mélanger. Personne à la Mensongerie n’aurait d’ailleurs pu dire avec certitude quel était son vrai nom, à supposer qu’il en eût un. Les impostures

venu ici-bas, par quelque homme de génie. Mais je ne sais pas l’histoire, parce que je ne sais rien. Le diable m’emporte, si j’ai jamais rien appris ; et si pour n’avoir rien appris, je m’en trouve plus mal. J’étais un jour à la table d’un ministre du roi de France qui a de l’esprit comme quatre ; eh bien, il nous démontra clair comme un et un font deux, que rien n’était plus utile aux peuples que le mensonge ; rien de plus nuisible que la vérité. Je ne me rappelle pas bien ses preuves ; mais il s’ensuivait