Le Rire Satanique

les couleurs chaudes : robe rosée, Arnolphe beige • Ar. Fait des apartés v.1/35 = crées un lien/complicité avc le public qui est seul à entendre cette confidente. Au début Ar. Est despotique/tyrannique/satisfait/sûr de lui. V.35 colère, voc satanique, « suppôt de S »=serviteur du diable, !, ‘’ah !’’ il crie, fin : détestable, abominable = redondance • Comique naît : A. parle sans se rendre compte de la colère croissante d’Arnolphe : elle insiste sans savoir les conséquences v.5-6,57,28 ‘’notre

déjà évocateur de la folie du personnage : un être sadique et masochiste : il s'imagine la mort d'Esméralda des attitudes inappropriées et assez effrayantes : rire satanique, désirs morbides et de l'ordre du pervers « chemise mal nouée » désordre dans son esprit mais une lucidité assez monstrueuse à noter mélange des sentiments : rire, tristesse horreur frustration rage jalousie colère haine Figures animales : Par sa perversité, son côté pulsionnelle etc. : une certaine animalité De même

annoncer la problématique. Eventuellement on peut annoncer le plan que l’on va suivre. En BTS IG il y a deux thèmes, le thème 1 est : Rire, pour quoi faire ? Mots clés : - Fou rire – éclater de rire – rire aux anges – rire à chaudes larmes – mourir de rire – rire sous cape – rire du bout des lèvres – rire à gorge déployée – rire jaune. - Pince sans rire – boute-en-train – bouffon. - Divertissement – allégresse – joie – euphorie – exultation – bonheur – insouciance – gaieté – hilarité

pensée de l'œil qui prend. Baudelaire ne parut pas sur les bandeaux des livres qu'aujourd'hui on place dans les devantures : ce n'était pas alors l'usage. Mais il y a dans ses manières de modèle, dans ses minauderies faussement sataniques, un ridicule qui m'a toujours fait rire, une arrogance en baudruche (arrogance que des admirateurs fervents et inconditionnels mettront sur le compte d'une existence difficile et d'une exigence esthétique rigoureuse). C'est, au fond, toute l'ambiguïté du dandysme,

éléments du paratexte se rapportent au contenu de l’article lui-même. Nous avons d’abord le titre de l’article, « Vermine satanique ». Au-dessous du titre se trouve un chapeau qui éveille notre curiosité : « Au Congo, la chasse aux enfants est ouverte ». L’expression « chasse aux enfants » rejoint par sa force et la violence qu’elle contient les mots « diable », « vermine », « satanique » des titres du documentaire et de l’article. Tous ces termes ont un rôle d’accroche évident. 0186 C01 – 2/6 Question

ne peut l'égayer" (v.5), "ne distrait plus" (v.7). Il est dégoûté du pouvoir, indifférent aux avantages du pouvoir notamment le respect, les distractions royales (chasse, bouffon), l'art grotesque qui fait rire = comique absolu. Il dévoile à l'homme sa laideur morale et physique (satanique). Les plaisirs amoureux ne le touchent plus (v. 10-12); quels que soient les vêtements, il reste de marbre. On peut le constater grâce aux vers 11 et 12. Dans ces vers tous les efforts inutiles des femmes qui

apparaît comme un équivalent de rupture permettant d’accéder l’idéalité. Le poète voit dans la rencontre violente de l’idéalité avec l’élément diabolique – l’idée de grotesque – une nouvelle conception : l’absurde qui exprime sa souffrance par le rire. Dans cette idée, le rêve apparaît comme la « terrible logique de l’absurde ». L’absurde devient la perspective de cette réalité à laquelle Baudelaire veut accéder afin de répondre à limitation du réel. Dans cette limitation se trouve un des thèmes

Bernanos comme pour la Bible, Satan est également le père du Mensonge, auquel Dieu « n'a laissé pour défense qu'un unique et monotone mensonge... » (p 210). C’est dans le langage, dans la parole que Bernanos perçoit le plus évidemment ce mensonge satanique : Satan est ainsi le Maître du langage, mais seulement d'un langage mensonger et trompeur. En faisant de Satan le Père du Mensonge, en le faisant donc parler, Bernanos s’inscrit dans une longue tradition littéraire qui nous présente le diable comme

Chambres d'éternel deuil où vibrent de vieux râles,      Répondent les échos de vos De profundis.           Je te hais, Océan ! Tes bonds et tes tumultes,      Mon esprit les retrouve en lui ; ce rire amer      De l'homme vaincu, plein de sanglots et d'insultes,      Je l'entends dans le rire énorme de la mer.           Comme tu me plairais, ô nuit ! Sans ces étoiles      Dont la lumière parle un langage connu !      Car je cherche le vide, et le noir, et le nu !           Mais les ténèbres

nouveau thème des BTS Rire : pour quoi faire ? La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri. Chamfort Sébastien Roch Nicolas, dit Nicolas de Programme de la formation Matin : Quiz Introduction : l’évolution du rire, de l’antiquité à nos jours, sa dimension culturelle Les instructions officielles du BO Premier corpus traité : le rire irrévérencieux Analyse filmique : le nom de la Rose Projection d’un extrait de La vie est belle Deuxième étude de corpus : le rire dans la gravité